"Cellule de crise au chevet de l'euro. Mardi 16 août, face à des marchés impatients et affolés par le surendettement des pays de l'union monétaire, Nicolas Sarkozy et Angela Merkel se sont réunis à Paris pour trouver des réponses à cette crise inédite : refonte de la gouvernance et création d'une taxe sur les transactions financières. Et à terme, peut-être, la mise en place d'euro-obligations pour mutualiser les dettes des pays membres. Elle a été évoquée du bout des lèvres par le président français.
Pour le financier américano-hongrois, George Soros, 81 ans, les dirigeants avancent. Mais ce spécialiste des monnaies affirme qu'il faut aller plus loin, pour gagner la bataille contre les spéculateurs." La suite sur lemonde.fr
vendredi 9 septembre 2011
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Drôle d'impression! Soros qui recommande d'aller plus loin pour contrer les spéculateurs... Si mes souvenirs lointains sont bons, son immense fortune a été générée par la spéculation!...
RépondreSupprimerEffectivement, il est l'inventeur des Hedge Funds, fonds hautement spéculatifs pour autant que j'y comprenne quelque chose. Il est connu comme étant "l'homme ayant fait vaciller la banque d'Angleterre". J'ai donc tendance à penser qu'il sait de quoi il parle. C'est un personnage étonnant même s'il fait partie des grands vautours qui entrainent le monde à la barbarie. Il mérite sans doute d'être écouté.
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