"La Hongrie de nouveau dans le collimateur de Bruxelles : non seulement le premier ministre Viktor Orbán méprise les réfugiés mais il évoque aussi, publiquement, le rétablissement de la peine de mort.
«Pensez-vous que la Hongrie pourrait faire l’objet d’une attaque
terroriste ces prochaines années?» «Savez-vous que le nombre de réfugiés
arrivant dans le pays a récemment augmenté de vingt fois?» «Êtes-vous
d’accord que la mauvaise gestion des flux migratoires par Bruxelles a un
lien avec le terrorisme en Europe?» «Êtes-vous d’accord que l’État
consacre plus de moyens aux familles hongroises plutôt qu’aux réfugiés?»
Voilà
quelques unes des 12 questions, toutes du même acabit, que le
gouvernement hongrois de Viktor Orbán entend envoyer à tous ses citoyens
en guise de sondage." La suite à lire ou écouter sur franceculture.fr
mardi 5 mai 2015
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