"Par Catherine Feidt
Le dernier post de Pierre Waline m’incite à évoquer également le phénomène de « pécule de reconnaissance ». Merci Pierre pour cette traduction percutante ! Je cherchais depuis longtemps une expression…expressive.Je voudrais donc vous en parler comme témoin direct, de l’intérieur
du système puisque j’ai exercé la médecine pendant plusieurs années,
avant et après les changements politiques dans une spécialité, la
gynécologie, particulièrement touchée par cette pratique. Cependant,
ayant choisi une patientèle et un domaine d’activité particuliers, les
adolescentes et leur vie sexuelle, je n’ai pas été exposée au problème.
La mentalité du corps médical hongrois est un héritage ambigu, lourd,
extrêmement difficile à vivre au jour le jour et à faire partager. Elle
lui vient partiellement des hypocrisies, des fautes du régime
communiste, d’une hiérarchie sévère « à la prussienne » comme les
médecins hongrois aiment le dire eux-mêmes et aussi de la pénurie
actuelle, de la frilosité des politiques, quelle que soit leur
orientation, à toucher à ce monde explosif. Peut-être comptent-ils
d’ailleurs sur une implosion silencieuse !" La suite sur hu-lala.org
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