"Créés en octobre 2010 pour prendre le pouls des Hongroises et Hongrois invités jusqu’au 21 décembre à s’exprimer sur la défense des familles, ces simili-référendums postaux illustrent la confiscation politique du pays.
La procédure n’a pas changé d’un iota depuis les prémices. Comme tous
les ans ou presque depuis le retour de Viktor Orbán aux responsabilités
en mai 2010, les huit millions d’électrices et électeurs hongrois
reçoivent dans leur boîte aux lettres un questionnaire assorti d’une
lettre signée de la main du Premier ministre. Détrôné en 2002 par les
socialistes alors qu’il était devenu l’un des plus jeunes chefs de
gouvernement européens de l’histoire peu avant que Zizou ne soulève la
Coupe du monde, Orbán instaura durant la campagne législative de 2006 un
dialogue avec l’ensemble du pays
entre forums et QCM postaux sondant le peuple «délaissé» par la gauche.
Ainsi naquirent les fameuses «consultations nationales»." La suite sur slate.fr
samedi 10 novembre 2018
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