"Au moment où l’Europe de l’Ouest s’inquiète d’une contagion « populiste », et pointe l’Europe centrale comme l’anti-modèle, des lumières apparaissent au bout du tunnel en Slovaquie, en Pologne, en Hongrie… Et si le national-populisme n’était bientôt plus qu’un mauvais souvenir ?
Éditorial – Sauf accident, la Slovaquie devrait se
doter samedi d’une présidente à mille lieues d’un Viktor Orbán, l’homme
qui se veut le fer de lance de la région. En la personne de Zuzana
Čaputová, une femme, issue de la société civile, avocate
environnementaliste, progressiste (lire son portrait ici)." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr
samedi 30 mars 2019
Tour de Normandie 2019 : le Hongrois Barnabás Peák remporte la cinquième étape
"Un groupe de six hommes a fait la course en tête durant une bonne partie
de cette cinquième étape entre Alençon et Bagnoles de l'Orne. C'est le
coureur de l'équipe néerlandaise SEG Racing Academy qui a franchi le
premier la ligne d'arrivée.
Si l'équipe du maillot jaune Ole Forfang, le Team Joker, a mené le peloton sur cette cinquième étape du Tour de Normandie 2019, elle ne comptait aucun homme dans l'échappée de six coureurs qui a fait la course en tête une partie des 172 kilomètres du parcours entre Alençon et Bagnoles-de-l'Orne.
Parmi eux, le coureur hongrois, Barnabás Peák, âgé de 20 ans qui finira par franchir le premier la ligne d'arrivée. L'équipe continentale néerlandaise réalise un joli coup sur cette cinquième étape puisqu'elle réussit à placer un autre de ses coureurs: l'italien Alberto Dainese, vainqueur de la deuxième étape, monte sur la deuxième marche." La suite sur francetvinfo.fr
Si l'équipe du maillot jaune Ole Forfang, le Team Joker, a mené le peloton sur cette cinquième étape du Tour de Normandie 2019, elle ne comptait aucun homme dans l'échappée de six coureurs qui a fait la course en tête une partie des 172 kilomètres du parcours entre Alençon et Bagnoles-de-l'Orne.
Parmi eux, le coureur hongrois, Barnabás Peák, âgé de 20 ans qui finira par franchir le premier la ligne d'arrivée. L'équipe continentale néerlandaise réalise un joli coup sur cette cinquième étape puisqu'elle réussit à placer un autre de ses coureurs: l'italien Alberto Dainese, vainqueur de la deuxième étape, monte sur la deuxième marche." La suite sur francetvinfo.fr
Péter Szijjarto : Les relations entre la Hongrie et l’Azerbaïdjan sont stratégiques
"Bakou, 29 mars, AZERTAC
En Azerbaïdjan, il existe un grand respect pour la diversité religieuse et on l’apprécie très. Les représentants de toutes les religions accomplissent de manière libre leurs rituels dans ce pays, a déclaré Péter Szijjarto, ministre hongrois des Affaires étrangères et du Commerce extérieur, lors de sa conférence à l’Université ADA le 29 mars.
Abordant les liens entre l'Azerbaïdjan et la Hongrie, le ministre Péter Szijjarto a réitéré le caractère stratégique des relations entre les deux pays. Il a dit qu’il fallait souligner particulièrement la coopération entre l'Azerbaïdjan et la Hongrie dans les domaines du commerce des produits alimentaires et de l'énergie." La suite sur azertag.az
En Azerbaïdjan, il existe un grand respect pour la diversité religieuse et on l’apprécie très. Les représentants de toutes les religions accomplissent de manière libre leurs rituels dans ce pays, a déclaré Péter Szijjarto, ministre hongrois des Affaires étrangères et du Commerce extérieur, lors de sa conférence à l’Université ADA le 29 mars.
Abordant les liens entre l'Azerbaïdjan et la Hongrie, le ministre Péter Szijjarto a réitéré le caractère stratégique des relations entre les deux pays. Il a dit qu’il fallait souligner particulièrement la coopération entre l'Azerbaïdjan et la Hongrie dans les domaines du commerce des produits alimentaires et de l'énergie." La suite sur azertag.az
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Lisieux. La Hongrie fait danser 200 enfants avec les jumelages
"Vendredi 29 mars 2019, le Comité des jumelages de
Lisieux a fêté l’Europe en partenariat avec le centre culturel hongrois.
Les musiciens hongrois ont fait danser et chanter 200 enfants des
écoles.
Demandez à un Hongrois de dresser la liste des choses qui lui
manquent dans son pays d’adoption et il vous répondra invariablement
quelque chose du genre : « La famille et les amis, la gastronomie, le climat, la langue, et la chanson ! » Car en Hongrie, on aime chanter et danser, ensemble et à haute voix. La fête ne commence vraiment qu’avec l’arrivée des musiciens !"La suite sur ouest-france.fr
Le Sziget Festival se tiendra du 7 au 13 août 2019 à Budapest
"Du 7 au 13 août 2019, la 27ème édition du Sziget Festival se tiendra à Budapest, pour une semaine de musique et de fête. Un grand rassemblement qui a vu le jour en 1993 et qui rassemble chaque année, 500 000 festivaliers dont 50 000 français.
Le Sziget Festival se déroulera du 7 au 13 août 2019 sur l’Ile d’Obuda, à Budapest. Ce grand rendez-vous attire chaque année un demi-million de festivaliers, venus de toute l’Europe. Parmi eux, environ 10% de français qui font le déplacement spécialement pour passer une semaine de fête, entouré de musiques et de couleurs." La suite sur monsieurvintage.com
Le Sziget Festival se déroulera du 7 au 13 août 2019 sur l’Ile d’Obuda, à Budapest. Ce grand rendez-vous attire chaque année un demi-million de festivaliers, venus de toute l’Europe. Parmi eux, environ 10% de français qui font le déplacement spécialement pour passer une semaine de fête, entouré de musiques et de couleurs." La suite sur monsieurvintage.com
vendredi 29 mars 2019
Hongrie: taux de chômage en légère baisse à 3,6%
"Le taux de chômage en Hongrie a marqué une légère baisse à 3,6% entre
décembre 2018 et février 2019, son plus bas niveau historique, a annoncé
jeudi le Bureau central des statistiques KSH. Le taux de chômage
hongrois avait déjà atteint ce plus bas niveau historique en septembre
2018 avant de marquer une légère hausse à 3,7% entre novembre 2018 et
janvier 2019." La suite sur lefigaro.fr
jeudi 28 mars 2019
« Il ne faut pas réduire Orbán à un phénomène propre à la Hongrie »
"Comment l’étudiant libéral est devenu aussi conservateur et autoritaire ?
Comment le dirigeant d’un petit pays de dix millions d’habitants a
réussi à s’imposer comme une figure politique majeure en Europe ? La
journaliste Amélie Poinssot, auteure de l’essai « Dans la tête de Viktor
Orbán », nous raconte son enquête en Hongrie . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)
Libellés :
Analyse,
Politique,
Union européenne
Bernard Guetta : « Les Hongrois ont peur des démocraties libérales »
"Le journaliste et désormais candidat sur la liste LRM-Modem aux
élections européennes s’est lancé dans un tour du monde. Première étape
dans l’Europe illibérale, avec « L’Enquête hongroise ». Nous l’avons
interrogé avant qu’il ne soit candidat.
En juillet 2018, Bernard Guetta annonçait qu’il arrêtait la chronique géopolitique qu’il tenait depuis 1991 dans la matinale de France Inter, et reprenait la route. Il commençait alors un tour du monde, dont L’Enquête hongroise, qui paraît cette semaine, est la première étape : une centaine de pages de reportage dans la Hongrie de Viktor Orban, suivies de plus courtes enquêtes dans trois autres pays où l’extrême droite joue un rôle clé – la Pologne, l’Autriche et l’Italie.
Sur un ton allègre, qui rend palpable le plaisir que Bernard Guetta a pris à cette plongée dans l’Europe des tentations autoritaires, malgré l’angoisse politique dont elle est le fruit, se mêlent rencontres, ambiances, impressions, analyses, rappels historiques, souvenirs personnels. L’ensemble, porté par une volonté de comprendre qui accepte d’être travaillée par le doute, voire le désarroi, se noue autour d’un questionnement jamais tari sur le destin de la liberté, sans laquelle, selon le journaliste et désormais candidat sur la liste LRM-Modem aux élections européennes, l’Europe serait une promesse trahie." La suite sur lemonde.fr (article payant)
En juillet 2018, Bernard Guetta annonçait qu’il arrêtait la chronique géopolitique qu’il tenait depuis 1991 dans la matinale de France Inter, et reprenait la route. Il commençait alors un tour du monde, dont L’Enquête hongroise, qui paraît cette semaine, est la première étape : une centaine de pages de reportage dans la Hongrie de Viktor Orban, suivies de plus courtes enquêtes dans trois autres pays où l’extrême droite joue un rôle clé – la Pologne, l’Autriche et l’Italie.
Sur un ton allègre, qui rend palpable le plaisir que Bernard Guetta a pris à cette plongée dans l’Europe des tentations autoritaires, malgré l’angoisse politique dont elle est le fruit, se mêlent rencontres, ambiances, impressions, analyses, rappels historiques, souvenirs personnels. L’ensemble, porté par une volonté de comprendre qui accepte d’être travaillée par le doute, voire le désarroi, se noue autour d’un questionnement jamais tari sur le destin de la liberté, sans laquelle, selon le journaliste et désormais candidat sur la liste LRM-Modem aux élections européennes, l’Europe serait une promesse trahie." La suite sur lemonde.fr (article payant)
La Hongrie, mouton noir de l'UE
"Viktor Orban règne en maître en Hongrie. Le populiste a été suspendu du
PPE, le parti européen de droite, à force de provocations.
Sur les hauteurs de Budapest (Hongrie), de jeunes militants du Fidesz, parti conservateur de Viktor Orban rendent hommage à un étudiant hongrois condamné à mort par le régime communiste des années 50. Dénoncer l'URSS d'hier permet aussi de s'en prendre à l'UE d'aujourd'hui. Cette commémoration a eu lieu le jour où le PPE, la coalition de droite européenne, a décidé de suspendre Viktor Orban pour ses multiples provocations." La suite et vidéo (4'08") sur francetvinfo.fr
Sur les hauteurs de Budapest (Hongrie), de jeunes militants du Fidesz, parti conservateur de Viktor Orban rendent hommage à un étudiant hongrois condamné à mort par le régime communiste des années 50. Dénoncer l'URSS d'hier permet aussi de s'en prendre à l'UE d'aujourd'hui. Cette commémoration a eu lieu le jour où le PPE, la coalition de droite européenne, a décidé de suspendre Viktor Orban pour ses multiples provocations." La suite et vidéo (4'08") sur francetvinfo.fr
mercredi 27 mars 2019
Dans la tête de Viktor Orbán
À partir d’une enquête
approfondie menée à Budapest et d’entretiens avec des conseillers
actuels ou passés de Viktor Orbán, Amélie Poinssot nous fait entrer dans
la tête de ce dirigeant d’un petit pays de près de 10 millions
d’habitants, membre de l’UE depuis 2004.
Comment l’étudiant en droit passionné par Solidarność, comment le fougueux libertaire qui prenait la parole en 1989 devant une foule immense pour exiger le départ des troupes soviétiques, s’est-il métamorphosé en chantre de l’“illibéralisme”, réélu triomphalement en 2018, ami de Poutine, coqueluche d’un Salvini ou d’un Bolsonaro ?
À la différence des extrêmes droites occidentales, Viktor Orbán et son parti, le Fidesz, toujours membre du PPE, le grand parti de droite européen, n’ont jamais entendu se “normaliser” ni se “dédiaboliser” pour accéder ou se maintenir au pouvoir. C’est au contraire en parvenant aux plus hautes fonctions de l’État que leur discours s’est radicalisé et a fait peu à peu tomber toutes les digues du “politiquement correct”.
Farouchement opposé – alors même qu’il n’envisage aucunement de quitter l’UE ni de perdre ses subventions – à toute politique européenne d’accueil des réfugiés, ne manquant jamais une occasion de mettre en avant les racines chrétiennes de son pays, bâtisseur d’un État autoritaire, Viktor Orbán fait sien l’héritage de la droite hongroise nationaliste de l’entre-deux-guerres.
Avec lui au pouvoir, le prix Nobel Imre Kertész craignait le pire et notait déjà en 2001 : “Qu’elle est singulière cette Hongrie chrétienne, nationale, irrédente et démocratique ! Elle ne rappelle ni le pays des grands Hongrois du XIXe siècle, ni la démocratie, ni la liberté, mais la pire Hongrie pré-fasciste.
Comment l’étudiant en droit passionné par Solidarność, comment le fougueux libertaire qui prenait la parole en 1989 devant une foule immense pour exiger le départ des troupes soviétiques, s’est-il métamorphosé en chantre de l’“illibéralisme”, réélu triomphalement en 2018, ami de Poutine, coqueluche d’un Salvini ou d’un Bolsonaro ?
À la différence des extrêmes droites occidentales, Viktor Orbán et son parti, le Fidesz, toujours membre du PPE, le grand parti de droite européen, n’ont jamais entendu se “normaliser” ni se “dédiaboliser” pour accéder ou se maintenir au pouvoir. C’est au contraire en parvenant aux plus hautes fonctions de l’État que leur discours s’est radicalisé et a fait peu à peu tomber toutes les digues du “politiquement correct”.
Farouchement opposé – alors même qu’il n’envisage aucunement de quitter l’UE ni de perdre ses subventions – à toute politique européenne d’accueil des réfugiés, ne manquant jamais une occasion de mettre en avant les racines chrétiennes de son pays, bâtisseur d’un État autoritaire, Viktor Orbán fait sien l’héritage de la droite hongroise nationaliste de l’entre-deux-guerres.
Avec lui au pouvoir, le prix Nobel Imre Kertész craignait le pire et notait déjà en 2001 : “Qu’elle est singulière cette Hongrie chrétienne, nationale, irrédente et démocratique ! Elle ne rappelle ni le pays des grands Hongrois du XIXe siècle, ni la démocratie, ni la liberté, mais la pire Hongrie pré-fasciste.
Éditions Actes Sud
Mars 2019 / 11,5 x 19,5 / 192 pages
ISBN 978-2-330-11903-4
prix indicatif : 19, 50€
Mars 2019 / 11,5 x 19,5 / 192 pages
ISBN 978-2-330-11903-4
prix indicatif : 19, 50€
La Hongrie parmi les 7 pays de l’UE apparentés à des paradis fiscaux
"Mardi, les eurodéputés ont approuvé un paquet de recommandations afin
de lutter contre les fraudes et l'évasion fiscale au sein de l'Union
européenne. Ils ont pointé du doigt sept pays membres de l’Union
européenne aux pratiques fiscales douteuses.
La Hongrie compte parmi les sept pays européens de l’Union qui « présentent les traits d'un paradis fiscal », selon la conclusion d'une commission spéciale du Parlement européen contre les crimes financiers, les fraudes et l'évasion fiscale . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)
La Hongrie compte parmi les sept pays européens de l’Union qui « présentent les traits d'un paradis fiscal », selon la conclusion d'une commission spéciale du Parlement européen contre les crimes financiers, les fraudes et l'évasion fiscale . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)
Les paradoxes hongrois
"Bernard Guetta, journaliste
Me voilà dînant avec un journaliste « de centre droit » dans une brasserie où l’on ne serait pas surpris de croiser Sissi, celle de Romy Schneider. « Ce fut le rendez-vous de l’intelligentsia hongroise avant la fin de l’Autriche-Hongrie », me dit Ablonczy Balínt, et j’ai repensé à Stefan Zweig car, absolument intact et vaguement poussiéreux, c’était, oui, ce Monde d’hier dont le brutal naufrage avait provoqué cent ans de séisme permanent. […]
« Trois crises ont fait le succès d’Orbán, m’explique-t-il, et la première est celle du projet commun, en 2004. » L’année précédente, par référendum, près de 84 % des Hongrois avaient ratifié l’entrée dans l’Union. Les affiches en faveur du « oui » vantaient et détaillaient le bonheur à portée de main. « Est-ce que je pourrai ouvrir une pâtisserie à Vienne ? » Mais voyons, oui, bien sûr que vous le pourrez, et, pour la majorité des gens, ce devait être la fin du purgatoire après ces si longues années de négociations et de sacrifices exigés par la transition.
« La Hongrie, me dit Balínt, pensait devenir l’Autriche, notre Occident à nous puisque Vienne est restée notre Ville lumière » mais, entrés dans le club, les Hongrois ne s’y sentent guère à l’aise. Non seulement ils « avaient imaginé l’Union dans sa version germanique, plus conservatrice, plus continentale et moins grand large que les versions française et britannique, celles d’anciens empires qui pensent monde et non pas Mitteleuropa », mais ils ne sont naturellement pas devenus aussi riches que les si riches Autrichiens avec lesquels la Hongrie s’était inconsciemment vue revenir aux plus belles heures de l’Empire." La suite sur le1hebdo.fr
Me voilà dînant avec un journaliste « de centre droit » dans une brasserie où l’on ne serait pas surpris de croiser Sissi, celle de Romy Schneider. « Ce fut le rendez-vous de l’intelligentsia hongroise avant la fin de l’Autriche-Hongrie », me dit Ablonczy Balínt, et j’ai repensé à Stefan Zweig car, absolument intact et vaguement poussiéreux, c’était, oui, ce Monde d’hier dont le brutal naufrage avait provoqué cent ans de séisme permanent. […]
« Trois crises ont fait le succès d’Orbán, m’explique-t-il, et la première est celle du projet commun, en 2004. » L’année précédente, par référendum, près de 84 % des Hongrois avaient ratifié l’entrée dans l’Union. Les affiches en faveur du « oui » vantaient et détaillaient le bonheur à portée de main. « Est-ce que je pourrai ouvrir une pâtisserie à Vienne ? » Mais voyons, oui, bien sûr que vous le pourrez, et, pour la majorité des gens, ce devait être la fin du purgatoire après ces si longues années de négociations et de sacrifices exigés par la transition.
« La Hongrie, me dit Balínt, pensait devenir l’Autriche, notre Occident à nous puisque Vienne est restée notre Ville lumière » mais, entrés dans le club, les Hongrois ne s’y sentent guère à l’aise. Non seulement ils « avaient imaginé l’Union dans sa version germanique, plus conservatrice, plus continentale et moins grand large que les versions française et britannique, celles d’anciens empires qui pensent monde et non pas Mitteleuropa », mais ils ne sont naturellement pas devenus aussi riches que les si riches Autrichiens avec lesquels la Hongrie s’était inconsciemment vue revenir aux plus belles heures de l’Empire." La suite sur le1hebdo.fr
Présidentielle en Slovaquie : le principal parti hongrois soutient Čaputová
"Le parti de la minorité hongroise, pourtant membre de la coalition
qui gouverne la Slovaquie, a appelé à voter pour Zuzana Čaputová au
second tour de la présidentielle ce samedi.
Most-Híd, le principal des deux partis issus de la minorité des hongrois de Slovaquie s'est une fois encore montré bien distant vis-à-vis de ses partenaires de la coalition gouvernementale, le SMER de Robert Fico et le Parti national slovaque (SNS) d'Andrej Danko . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)
Most-Híd, le principal des deux partis issus de la minorité des hongrois de Slovaquie s'est une fois encore montré bien distant vis-à-vis de ses partenaires de la coalition gouvernementale, le SMER de Robert Fico et le Parti national slovaque (SNS) d'Andrej Danko . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)
Sunset - la critique du film
"Là où on attendait du cinéaste hongrois László Nemes la même puissance
que son premier long-métrage, le film faillit désespérément dans une
succession de séquences, peu ou pas convaincantes, dont on peine à
trouver un fil conducteur.
La suite sur avoir-alire.com
Résumé : 1913, au
cœur de l’empire austro-hongrois. Irisz Leiter revient à Budapest après
avoir passé son enfance dans un orphelinat. Son rêve de travailler dans
le célèbre magasin de chapeaux, autrefois tenu par ses parents, est
brutalement brisé par Oszkar Brill le nouveau propriétaire. Lorsqu’Írisz
apprend qu’elle a un frère dont elle ne sait rien, elle cherche à
clarifier les mystères de son passé. A la veille de la guerre, cette
quête sur ses origines familiales va entraîner Irisz dans les méandres
d’un monde au bord du chaos.
Notre avis :
Il est encore difficile d’imaginer que l’un des conflits les plus
sanguinaires dans l’Histoire de l’humanité, a fortiori de l’Europe, ait
été déclenché par l’assassinat de l’archiduc François Ferdinand et de sa
femme la duchesse de Hohenberg en 1914. C’est sans doute l’ambition de
László Nemes que de faire se rencontrer, dans son second long-métrage,
deux histoires : celle de la jeune Irisz Leiter, revenue sur les traces
du magasin de chapeaux de ses parents décédés, et celle d’une guerre
immense qui se prépare, où il est tout autant question de revendications
nationalistes que du besoin désespéré des classes laborieuses d’accéder
à une vie décente."La suite sur avoir-alire.com
La vraie-fausse suspension de Viktor Orbán provoque un clash à Strasbourg
"Le chef des libéraux Guy Verhofstadt a vivement dénoncé au Parlement européen l'hypocrisie du PPE, après la sanction fictive du Premier ministre hongrois.
Guy Verhofstadt, patron du groupe des libéraux (Alde) au Parlement européen, n'en est pas à son premier coup d'éclat à Strasbourg. Mais sa sortie du jour a été bien préparée : photos à l'appui, il a démontré que Viktor Orbán n'a absolument pas arrêté sa campagne contre le président de la Commission européenne Jean-Claude Juncker, qui est aussi son condisciple au sein du Parti populaire européen (PPE). Mieux encore, l'eurodéputé belge affirme que la « suspension consentie » par le parti hongrois Fidesz n'est pas appliquée par Manfred Weber, le chef du groupe et Spitzenkandidat (tête de liste) du PPE. Le chef de l'Alde (Alliance des démocrates et des libéraux pour l'Europe) a même produit une lettre adressée à tous les Hongrois par le gouvernement Orbán reprenant les accusations mensongères sur la prétendue collusion entre le milliardaire hongrois George Soros et Juncker pour imposer aux Hongrois une immigration de masse." La suite sur lepoint.fr
Guy Verhofstadt, patron du groupe des libéraux (Alde) au Parlement européen, n'en est pas à son premier coup d'éclat à Strasbourg. Mais sa sortie du jour a été bien préparée : photos à l'appui, il a démontré que Viktor Orbán n'a absolument pas arrêté sa campagne contre le président de la Commission européenne Jean-Claude Juncker, qui est aussi son condisciple au sein du Parti populaire européen (PPE). Mieux encore, l'eurodéputé belge affirme que la « suspension consentie » par le parti hongrois Fidesz n'est pas appliquée par Manfred Weber, le chef du groupe et Spitzenkandidat (tête de liste) du PPE. Le chef de l'Alde (Alliance des démocrates et des libéraux pour l'Europe) a même produit une lettre adressée à tous les Hongrois par le gouvernement Orbán reprenant les accusations mensongères sur la prétendue collusion entre le milliardaire hongrois George Soros et Juncker pour imposer aux Hongrois une immigration de masse." La suite sur lepoint.fr
Municipales : l’opposition a de bonnes chances de conquérir Budapest à l’automne prochain
"La capitale hongroise sera-t-elle dirigée par un écologiste après les
élections locales d'automne prochain ? Tout porte à croire que les
astres sont en train de s'aligner pour l'opposition à Budapest. La
gauche et ses alliés seraient en mesure de rafler le siège de
bourgmestre principal ainsi qu'une majorité d'arrondissements au Fidesz
de Viktor Orbán.
Budapest - Si l'opposition s'en donne les moyens, elle a de bonnes chances de ravir Budapest à l'actuelle majorité Fidesz-KDNP, aux manettes de la capitale hongroise depuis la vague conservatrice de 2010. C'est en tout cas ce que mettent en évidence plusieurs enquêtes d'opinion parues en ce début de semaine . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)
Budapest - Si l'opposition s'en donne les moyens, elle a de bonnes chances de ravir Budapest à l'actuelle majorité Fidesz-KDNP, aux manettes de la capitale hongroise depuis la vague conservatrice de 2010. C'est en tout cas ce que mettent en évidence plusieurs enquêtes d'opinion parues en ce début de semaine . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)
Hongrie : « Ce qui est bon pour l’Église est bon pour l’État, et inversement »
"Dans l'ombre d'un Fidesz omnipotent, on oublierait presque qu'il
existe un petit partenaire de coalition, le KDNP. Une quasi coquille
vide qui se rappelle parfois au souvenir des électeurs pour vanter les
bienfaits de l’Église pour la société hongroise.
Zsolt Semjén, le président du Parti populaire chrétien-démocrate (KDNP), qui gouverne en coalition avec le Fidesz depuis 2010, n'est pas un poids lourd de la politique hongroise mais son rôle symbolique est relativement fort. En déplacement ce dimanche . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)
Zsolt Semjén, le président du Parti populaire chrétien-démocrate (KDNP), qui gouverne en coalition avec le Fidesz depuis 2010, n'est pas un poids lourd de la politique hongroise mais son rôle symbolique est relativement fort. En déplacement ce dimanche . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)
mardi 26 mars 2019
Josef Nadj - Mnémosyne du 16 au 21 avril 2019 au Centquatre Paris
Nouvelle création de Josef Nadj, Mnémosyne
est une proposition hybride au dispositif très original, à la fois
installation photographique et performance scénique. Au plus près du
public, le chorégraphe et plasticien se met ici lui-même en scène dans
un vaste écrin constellé d’images. Jouant sur plusieurs niveaux de
temporalité et de perception, la pièce sollicite notre regard autant que
notre mémoire et dépose en nous une empreinte indélébile.
Comme interprète puis comme chorégraphe, Josef Nadj a pleinement participé à l’avènement de la danse contemporaine en France durant les années 80 et, par la suite, a affirmé toujours davantage la poétique singularité de son univers. Situées dans un espace à part entre rêve et réalité, tradition et modernité, ses pièces témoignent d’une insigne liberté de geste et d’un constant désir de renouvellement des formes. Ayant plusieurs cordes à son arc sensible, Josef Nadj développe une importante œuvre de plasticien/photographe en parallèle de sa recherche chorégraphique et en correspondance étroite avec elle. Présentée en création à la Biennale de danse de Lyon 2018, Mnémosyne est un projet qui s’inscrit au croisement exact de ces deux voies. Au plus près du public, Josef Nadj se met ici lui-même en scène et livre une performance très dense, qui fait écho à son parcours personnel et artistique. La performance intimiste se déroule dans une boîte noire, pareille à une camera obscura, autour duquel se déploie une foisonnante exposition photographique. Jouant sur plusieurs niveaux de temporalité et de perception, Mnémosyne, dont le titre fait référence à l’atlas inachevé de l’historien d’art Aby Warburg, sollicite notre regard autant que notre mémoire et dépose en nous une empreinte indélébile.
Tarifs
exposition :
mardi : 18h > 20h30
mercredi à dimanche : 14h > 20h30
Comme interprète puis comme chorégraphe, Josef Nadj a pleinement participé à l’avènement de la danse contemporaine en France durant les années 80 et, par la suite, a affirmé toujours davantage la poétique singularité de son univers. Situées dans un espace à part entre rêve et réalité, tradition et modernité, ses pièces témoignent d’une insigne liberté de geste et d’un constant désir de renouvellement des formes. Ayant plusieurs cordes à son arc sensible, Josef Nadj développe une importante œuvre de plasticien/photographe en parallèle de sa recherche chorégraphique et en correspondance étroite avec elle. Présentée en création à la Biennale de danse de Lyon 2018, Mnémosyne est un projet qui s’inscrit au croisement exact de ces deux voies. Au plus près du public, Josef Nadj se met ici lui-même en scène et livre une performance très dense, qui fait écho à son parcours personnel et artistique. La performance intimiste se déroule dans une boîte noire, pareille à une camera obscura, autour duquel se déploie une foisonnante exposition photographique. Jouant sur plusieurs niveaux de temporalité et de perception, Mnémosyne, dont le titre fait référence à l’atlas inachevé de l’historien d’art Aby Warburg, sollicite notre regard autant que notre mémoire et dépose en nous une empreinte indélébile.
Tarifs
- plein tarif 15 €
- tarif réduit 12 €
- tarif abonné 104 10 €
exposition :
mardi : 18h > 20h30
mercredi à dimanche : 14h > 20h30
Le Centquatre Paris
5 rue Curial - 75019 Paris
billetterie : 01 53 35 50 00 / billetterie.104.fr
Source et plus d'infos sur 104.fr
5 rue Curial - 75019 Paris
billetterie : 01 53 35 50 00 / billetterie.104.fr
Source et plus d'infos sur 104.fr
Libellés :
Chorégraphie,
Danse,
Performance,
Photographie
Les populismes en Europe (1/9) : en Hongrie, Viktor Orban, "Viktator"
"À deux mois des élections européennes, franceinfo tente de comprendre la
montée des populismes en Europe. En Hongrie, Viktor Orban est l'une des
figures les plus emblématiques de ce courant.
Premier ministre de la Hongrie depuis 2010, "Viktator", comme disent ses opposants, flirte avec la ligne rouge en Europe et souvent la franchit. Mais il parvient à rester membre du Parti populaire européen (PPE), majoritaire au parlement.
Viktor Orban est aujourd'hui une figure du populisme, chantre de la "démocratie illibérale", mais il n'en a pas toujours été ainsi. En juin 1989, sur la place des Héros de Budapest, un jeune homme de 26 ans dénonce la dictature communiste. Viktor Orban est à cette époque figure de proue d'une jeunesse éprise de démocratie." La suite sur francetvinfo.fr
Premier ministre de la Hongrie depuis 2010, "Viktator", comme disent ses opposants, flirte avec la ligne rouge en Europe et souvent la franchit. Mais il parvient à rester membre du Parti populaire européen (PPE), majoritaire au parlement.
Viktor Orban est aujourd'hui une figure du populisme, chantre de la "démocratie illibérale", mais il n'en a pas toujours été ainsi. En juin 1989, sur la place des Héros de Budapest, un jeune homme de 26 ans dénonce la dictature communiste. Viktor Orban est à cette époque figure de proue d'une jeunesse éprise de démocratie." La suite sur francetvinfo.fr
Libellés :
Démocratie,
Élections,
Libertés,
Parlement européen,
Politique
Macron fustige le compromis du PPE
"Le Président français, Emmanuel Macron, a critiqué la décision du PPE
de suspendre le parti Fidesz du Premier ministre hongrois, Viktor
Orbán, plutôt que de l’exclure de la famille politique.
À la suite de la campagne « anti-Juncker » menée par le Premier ministre hongrois dans son pays, de nombreux partis affiliés au PPE avaient appelé à l’expulsion immédiate du parti hongrois Fidesz. Emmanuel Macron a répondu aux questions de la presse au sujet de la décision de suspendre le parti hongrois plutôt que de l’exclure.
Le président français a d’abord tenu à rappeler qu’il n’était pas affilié au PPE. Son parti, La République en marche (LREM) est vu comme étant proche du groupe libéral ALDE, bien qu’il n’en soit pas officiellement membre. Le président français a toutefois exprimé son incompréhension face à la décision du PPE." La suite sur euractiv.fr
À la suite de la campagne « anti-Juncker » menée par le Premier ministre hongrois dans son pays, de nombreux partis affiliés au PPE avaient appelé à l’expulsion immédiate du parti hongrois Fidesz. Emmanuel Macron a répondu aux questions de la presse au sujet de la décision de suspendre le parti hongrois plutôt que de l’exclure.
Le président français a d’abord tenu à rappeler qu’il n’était pas affilié au PPE. Son parti, La République en marche (LREM) est vu comme étant proche du groupe libéral ALDE, bien qu’il n’en soit pas officiellement membre. Le président français a toutefois exprimé son incompréhension face à la décision du PPE." La suite sur euractiv.fr
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Lisieux. Les jumelages au rythme de la Hongrie
Pour la fête de l’Europe, le Comité des jumelages a déjà reçu le groupe hongrois en juin. | OUEST-FRANCE |
"Après la grande réussite de la fête de l’Europe, qui a
réuni plus de 700 personnes en juin, le Comité des jumelages de Lisieux
organise une journée, vendredi 29 mars 2019, en partenariat avec le
centre culturel hongrois.
Après la grande réussite de la fête de l’Europe, qui a réuni plus de 700 personnes en juin dernier,
le Comité des jumelages de Lisieux organise une journée, le vendredi
29 mars, en partenariat avec le centre culturel hongrois. À partir de
17 h, une conférence tout public sur la musique et les traditions
hongroises sera proposée, à la salle Mosaïc, avec présentation des
instruments et démonstration de danses." La suite sur ouest-france.fr
La drôle de diplomatie d’Emmanuel Macron en Hongrie
"Le dirigeant hongrois Viktor Orbán est l’adversaire numéro un désigné par Emmanuel Macron. Dans les faits, la diplomatie française se montre plutôt conciliante avec « l’épouvantail » hongrois.
Le « nationalisme revendiqué » menace l’Europe et c’est le Hongrois Viktor Orbán qui l’incarne. Lors de la conférence des ambassadeurs et ambassadrices le 27 août dernier à Paris, c’est avec gravité et solennité que le président français Emmanuel Macron désignait ainsi l’ennemi, en amont des élections européennes du mois de mai.
Nommée en juillet dernier pour remplacer Éric Fournier, accusé d’accointances avec le pouvoir hongrois, la nouvelle ambassadrice de France à Budapest, Pascale Andréani, devait incarner une inflexion dans les relations entre la France et la Hongrie et mettre en œuvre la feuille de route guerrière du président français face au premier ministre hongrois." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr
Le « nationalisme revendiqué » menace l’Europe et c’est le Hongrois Viktor Orbán qui l’incarne. Lors de la conférence des ambassadeurs et ambassadrices le 27 août dernier à Paris, c’est avec gravité et solennité que le président français Emmanuel Macron désignait ainsi l’ennemi, en amont des élections européennes du mois de mai.
Nommée en juillet dernier pour remplacer Éric Fournier, accusé d’accointances avec le pouvoir hongrois, la nouvelle ambassadrice de France à Budapest, Pascale Andréani, devait incarner une inflexion dans les relations entre la France et la Hongrie et mettre en œuvre la feuille de route guerrière du président français face au premier ministre hongrois." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr
lundi 25 mars 2019
Rita KORTSHOK aux Ateliers de la Boucle de Seine - 6/7 avril 2019 et 13/14 avril 2019
Les Ateliers de la Boucle : Parcours des Artistes et Artisans
d'Arts professionnels de Houilles, Carrières sur Seine, Chatou, Croissy
sur Seine et Le Vésinet.
Rita KORTSHOK vous
ouvre son atelier à l'occasion des Ateliers de la Boucle de Seine qui
réunit les artistes et artisans d'arts du pays des impressionnistes.
Nouveautés
2019 : l'évènement ser passe sur 5 Villes : Chatou, Carrières, Croissy,
Houilles et Le Vésinet et pendant 2 weekends, les 6/7 et 13/14 Avril, de
14h à 19h.
Au total 37 artistes et artisans d'arts vous
ouvrent les portes de leurs ateliers et feront des démonstrations de
leurs talents.
Au programme : dessin, peinture, sculpture,
photographie, mais aussi ferronnerie d'art, orfèvrerie, aquascaping,
tapisserie, reliure, vitraux, dentelle de papier...
L'atelier de Rita (dessin et peinture) est au n° 15 sur le parcours, au 18B Rue du Général Leclerc, 78420 Carrières-sur-Seine.
Plus d'infos sur :
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Photographie,
Sculpture
Handball - LdC (M) Les Hongrois en bonne position
"Les deux clubs hongrois sont sortis victorieux de leur huitième de finale aller de Champions League cet après-midi. Szeged et Veszprem
ont poussé le mimétisme jusqu’à repartir à la maison avec le même
avantage, de deux buts. A Lisbonne, face au Sporting, Veszprem a compté
jusqu’à trois buts de retard en milieu de seconde période. Mais les
arrêts d’Arpad Sterbik ont permis aux siens de reprendre le dessus dans
les dix dernières minutes, tandis que Kentin Mahé trouvait le chemin des
filets à deux reprises, six de moins que Petar Nenadic. Szeged a
également été malmené du côté de Plock, avant de prendre le dessus sur
la fin (22-20)." La suite sur handnews.fr
FootballL Qualifications Euro-2020 : la Croatie piégée en Hongrie, l'Allemagne s'arrache
"La Croatie, malgré une grosse domination, a été battue en Hongrie ce dimanche (2-1), dans le cadre des éliminatoires de l'Euro-2020, alors que l'Allemagne a arraché une victoire précieuse aux Pays-Bas.
Quel coup de massue ! Le vice-champion du monde est à terre, dès son deuxième match de qualification pour l'Euro-2020. La Croatie a pourtant dominé son match face à la Hongrie, mais a été piégée par les Magyars (2-1)." La suite sur republicain-lorrain.fr
Quel coup de massue ! Le vice-champion du monde est à terre, dès son deuxième match de qualification pour l'Euro-2020. La Croatie a pourtant dominé son match face à la Hongrie, mais a été piégée par les Magyars (2-1)." La suite sur republicain-lorrain.fr
Nicolas Sarkozy et Éric Zemmour à Budapest aux côtés de Viktor Orbán
"Le Sommet de Budapest sur les migrations, organisé par le Mathias Corvinus Collegium, se déroule du vendredi au dimanche, en présence du Premier ministre hongrois et de l’ancien président français.Budapest –
Mis au réfrigérateur momentanément par le Parti Populaire européen
mercredi, le dirigeant hongrois reste un homme entouré, comme en
témoigne le casting du colloque international qui se déroule tout au
long du week-end à Budapest. Parmi les invités, on trouve de nombreuses
personnalités connues pour leurs critiques de la place de l’Islam en
Occident ou leur positions franchement islamophobes." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr
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Réfugiés,
Xénophobie
dimanche 24 mars 2019
Remise du Prix Hungarica 2018 -12 avril 2019 à 19h30 Institut hongrois
Institut hongrois 92, rue Bonaparte 75006 Paris
Réservation obligatoire : reservation@instituthongrois.fr
+33 1 43 26 06 44
Réservation obligatoire : reservation@instituthongrois.fr
+33 1 43 26 06 44
Le 15e Prix Hungarica, créé en 2004 par
l’Association des Amis de l’Institut hongrois, sera remis au lauréat
préalablement sélectionné par le jury. Le ou la lauréate sera invité à
commenter sa recherche.
Le Prix 2018, d’un montant de 4000 euros (et/ou 2000 euros pour l’accessit), bénéficie du soutien généreux de Mazars Hongrie.
Le Prix 2018, d’un montant de 4000 euros (et/ou 2000 euros pour l’accessit), bénéficie du soutien généreux de Mazars Hongrie.
Entrée libre
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« A Woman Captured » de Bernadett Tuza-Ritter avec la musique de Csaba Kalotás triomphe à Aubagne
"Documentaire réaliste et émouvant, A Woman Captured est le premier long-métrage documentaire de la réalisatrice hongroise, Bernadett Tuza-Ritter. La musique minimale de Csaba Kalotás, soulignant le témoignage de l’héroïne de 52 ans, esclave contemporaine, a séduit le jury du Festival Music & Cinema d’Aubagne pour remporter le grand prix de la 20e édition.
Marish, 52 ans sert une famille depuis 10 ans. Elle est forcée de travailler sans recevoir de rémunération : juste de quoi manger, dormir et des cigarettes. La réalisatrice la suit pendant un an et demie et l’interaction créative donne à cette esclave européenne d’aujourd’hui le courage de fuir… Et le documentaire se transforme en thriller …" La suite sur toutelaculture.com
Marish, 52 ans sert une famille depuis 10 ans. Elle est forcée de travailler sans recevoir de rémunération : juste de quoi manger, dormir et des cigarettes. La réalisatrice la suit pendant un an et demie et l’interaction créative donne à cette esclave européenne d’aujourd’hui le courage de fuir… Et le documentaire se transforme en thriller …" La suite sur toutelaculture.com
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Documentaire,
musique
Lire András Schiff pour mieux l’écouter
"Cet ouvrage hybride autour d’András Schiff, moitié livre d’entretiens et moitié recueil de textes du pianiste, permet d’approcher au plus près le musicien hongrois.
Il s’agit sûrement d’un effet du hasard, mais le livre que nous proposent les éditions Alma Nuvis, expertement traduit de l’allemand par Maud Chignier, semble suivre le plan de la forme sonate. Dans l’exposition, András Schiff attaque par un premier thème exigeant et musclé, celui de sa conception générale de la musique, de son interprétation, de son enseignement. Les questions de Martin Meyer sont tellement élaborées qu’on lit parfois un véritable dialogue entre le pianiste et le journaliste. Non sans quelques contradictions (notamment lorsqu’il explique longuement ce qu’est un bon enseignement juste après avoir dit qu’il n’enseignait pas par aversion pour les aspects administratifs de cette activité…), András Schiff déploie une pensée mûrie, qui n’est pas sans originalité pour peu qu’elle s’attache à des compositeurs ou des sujets musicaux précis. Puis Martin Meyer attaque le second thème, plus mélancolique, plus étalé, celui de la jeunesse du pianiste, y compris l’histoire de sa famille, de son pays pendant la période soviétique, des institutions musicales hongroises etc. Ce changement de trajectoire peut être frustrant au premier abord, mais il offre une respiration bienvenue, et les protagonistes n’oublient pas de parler de musique tout au long du parcours de Budapest à l’Italie, en passant par l’Angleterre et New York, assurant l’indispensable unité de style." La suite sur resmusica.com
Il s’agit sûrement d’un effet du hasard, mais le livre que nous proposent les éditions Alma Nuvis, expertement traduit de l’allemand par Maud Chignier, semble suivre le plan de la forme sonate. Dans l’exposition, András Schiff attaque par un premier thème exigeant et musclé, celui de sa conception générale de la musique, de son interprétation, de son enseignement. Les questions de Martin Meyer sont tellement élaborées qu’on lit parfois un véritable dialogue entre le pianiste et le journaliste. Non sans quelques contradictions (notamment lorsqu’il explique longuement ce qu’est un bon enseignement juste après avoir dit qu’il n’enseignait pas par aversion pour les aspects administratifs de cette activité…), András Schiff déploie une pensée mûrie, qui n’est pas sans originalité pour peu qu’elle s’attache à des compositeurs ou des sujets musicaux précis. Puis Martin Meyer attaque le second thème, plus mélancolique, plus étalé, celui de la jeunesse du pianiste, y compris l’histoire de sa famille, de son pays pendant la période soviétique, des institutions musicales hongroises etc. Ce changement de trajectoire peut être frustrant au premier abord, mais il offre une respiration bienvenue, et les protagonistes n’oublient pas de parler de musique tout au long du parcours de Budapest à l’Italie, en passant par l’Angleterre et New York, assurant l’indispensable unité de style." La suite sur resmusica.com
La Hongrie cherche à ouvrir un centre culturel à Hanoï
"Hanoï, 23 mars (VNA) - Le 22 mars, Nguyen Van Suu, vice-président du
Comité populaire de Hanoï, a eu une séance de travail avec le secrétaire
d'État adjoint au ministère des Affaires étrangères et du Commerce
extérieur de Hongrie, Bezetei Akos, pour discuter de l’établissement
d’un centre culturel et communautaire hongrois dans la capitale
vietnamienne.
M. Akos a déclaré que la partie hongroise était très intéressée par l'endroit prévu pour le centre hongrois recommandé par les autorités de Hanoi. Le pays espère que ce point précis sera concrétisé par un document officiel." La suite sur vietnamplus.vn
M. Akos a déclaré que la partie hongroise était très intéressée par l'endroit prévu pour le centre hongrois recommandé par les autorités de Hanoi. Le pays espère que ce point précis sera concrétisé par un document officiel." La suite sur vietnamplus.vn
À Budapest, Sarkozy prend la défense de son "ami" Orban
"L'ancien président français participait à un colloque sur les migrations, en présence du Premier ministre hongrois.
Nicolas Sarkozy a pris ce samedi 23 mars à Budapest la défense de son "ami" Viktor Orban et plaidé pour le "rassemblement" et le "compromis" au sein de l'Union européenne, alors que le Fidesz, parti du Premier ministre hongrois, a été suspendu mercredi par le Parti populaire européen (PPE).
"La Hongrie, c'est le pays de mon père. C'est un grand pays. Un pays qui est fort de son Histoire. C'est un grand peuple. Un peuple courageux, qui osa se lever seul -le Fidesz était à la tête de ce mouvement- contre la dictature communiste et contre le totalitarisme. La Hongrie est profondément européenne par son histoire, sa culture, ses valeurs. Et la Hongrie, c'est un grand pays démocratique", a déclaré Nicolas Sarkozy lors d'un colloque sur les migrations, en présence de Viktor Orban." La suite sur huffingtonpost.fr
Nicolas Sarkozy a pris ce samedi 23 mars à Budapest la défense de son "ami" Viktor Orban et plaidé pour le "rassemblement" et le "compromis" au sein de l'Union européenne, alors que le Fidesz, parti du Premier ministre hongrois, a été suspendu mercredi par le Parti populaire européen (PPE).
"La Hongrie, c'est le pays de mon père. C'est un grand pays. Un pays qui est fort de son Histoire. C'est un grand peuple. Un peuple courageux, qui osa se lever seul -le Fidesz était à la tête de ce mouvement- contre la dictature communiste et contre le totalitarisme. La Hongrie est profondément européenne par son histoire, sa culture, ses valeurs. Et la Hongrie, c'est un grand pays démocratique", a déclaré Nicolas Sarkozy lors d'un colloque sur les migrations, en présence de Viktor Orban." La suite sur huffingtonpost.fr
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samedi 23 mars 2019
Mytheresa s'associe à Nanushka autour d'une capsule féminine et fonctionnelle
"Nouvelle collaboration en vue - et non des moindres - pour la
plateforme de luxe Mytheresa, qui présente une collection exclusive avec
la marque en vogue Nanushka. À la clé ? Une capsule féminine qui met à
l'honneur l'esprit fonctionnel de la griffe de prêt-à-porter hongroise. À
découvrir dès avril prochain sur www.mytheresa.com.
Sandra Sandor, créatrice de Nanushka, a construit sa marque de prêt-à-porter autour de l'idée que la fonctionnalité l'emporte sur tout le reste, ou plus précisément qu'elle joue un rôle primordial sur l'esthétique et la perception du vêtement. Un concept qui semble plaire aux femmes au regard du succès que la marque, basée à Budapest, connaît sur le marché international." La suite sur ladepeche.fr
Sandra Sandor, créatrice de Nanushka, a construit sa marque de prêt-à-porter autour de l'idée que la fonctionnalité l'emporte sur tout le reste, ou plus précisément qu'elle joue un rôle primordial sur l'esthétique et la perception du vêtement. Un concept qui semble plaire aux femmes au regard du succès que la marque, basée à Budapest, connaît sur le marché international." La suite sur ladepeche.fr
Le peintre Miklos Bokor est mort
"L’artiste d’origine hongroise, rescapé des camps nazis et installé à
Paris depuis 1960, laisse une œuvre marquée par l’horreur de
l’extermination.
Le peintre français d’origine hongroise Miklos Bokor est mort à Paris, lundi 18 mars, à l’âge de 92 ans. Né à Budapest le 2 mars 1927 dans une famille bourgeoise, il est déporté avec les siens à Auschwitz en 1944, tous victimes de l’extermination des Juifs de Hongrie entreprise par les nazis à partir de mars 1944, et qui causa plus d’un demi-million de morts. L’histoire en a été écrite par Imre Kertész, que l’on ne peut manquer de citer à propos de Bokor.
Longtemps après, ce dernier racontait dans son atelier de La Ruche à Paris : « Mon père savait ce qui allait arriver. Mais il n’a pas voulu partir, il n’a pas voulu quitter tout ce qu’il avait construit par lui- même. » Il racontait aussi le « tri » à Bergen-Belsen, son père du côté de ceux qui sont gazés dans les heures qui suivent, lui de l’autre côté parce que jugé apte au travail, le père qui donne au fils sa casquette, le dernier geste dont Bokor se souvenait. Sa mère a été assassinée auparavant à Auschwitz, son père et lui transférés d’Auschwitz à Buchenwald, puis Tröglitz, Rhemsdorf et Bergen-Belsen. Il est au camp de Theresienstadt quand celui-ci est libéré en mai 1945. Rapatrié à Budapest par la Croix Rouge, il est soigné dans plusieurs hôpitaux jusqu’en 1947: il a 20 ans et sa famille a été anéantie. Il quitte la ville pour des villages dont il dessine et peint les habitants. « Ces paysans, disait-il, c’est le seul monde que j’ai aimé. Je vivais au milieu d’eux… Eux et les gitans. »" La suite sur lemonde.fr (article payant)
Le peintre français d’origine hongroise Miklos Bokor est mort à Paris, lundi 18 mars, à l’âge de 92 ans. Né à Budapest le 2 mars 1927 dans une famille bourgeoise, il est déporté avec les siens à Auschwitz en 1944, tous victimes de l’extermination des Juifs de Hongrie entreprise par les nazis à partir de mars 1944, et qui causa plus d’un demi-million de morts. L’histoire en a été écrite par Imre Kertész, que l’on ne peut manquer de citer à propos de Bokor.
Longtemps après, ce dernier racontait dans son atelier de La Ruche à Paris : « Mon père savait ce qui allait arriver. Mais il n’a pas voulu partir, il n’a pas voulu quitter tout ce qu’il avait construit par lui- même. » Il racontait aussi le « tri » à Bergen-Belsen, son père du côté de ceux qui sont gazés dans les heures qui suivent, lui de l’autre côté parce que jugé apte au travail, le père qui donne au fils sa casquette, le dernier geste dont Bokor se souvenait. Sa mère a été assassinée auparavant à Auschwitz, son père et lui transférés d’Auschwitz à Buchenwald, puis Tröglitz, Rhemsdorf et Bergen-Belsen. Il est au camp de Theresienstadt quand celui-ci est libéré en mai 1945. Rapatrié à Budapest par la Croix Rouge, il est soigné dans plusieurs hôpitaux jusqu’en 1947: il a 20 ans et sa famille a été anéantie. Il quitte la ville pour des villages dont il dessine et peint les habitants. « Ces paysans, disait-il, c’est le seul monde que j’ai aimé. Je vivais au milieu d’eux… Eux et les gitans. »" La suite sur lemonde.fr (article payant)
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Les présidents polonais et hongrois discutent de l'avenir de leurs pays dans l'UE
"Le président hongrois Janos Ader s'est
joint vendredi à son homologue polonais Andrzej Duda à Kielce, dans le
sud-est de la Pologne, pour célébrer la journée de l'amitié
polono-hongroise.
"Nous avons
également parlé de la perspective des élections au Parlement européen,
donc de notre avenir dans l'Union européenne (UE) et de l'avenir de l'UE
elle-même. Dans ce contexte, il était difficile de ne pas parler du
Brexit", a déclaré M. Duda lors d'une conférence de presse après sa
rencontre avec M. Ader.
Les deux
présidents ont également discuté de la coopération des deux pays avec
les Etats-Unis, dans le cadre de l'Initiative des trois mers et de
l'OTAN, et notamment des achats prévus pour moderniser l'armée
polonaise, a précisé M. Duda." La suite sur china.org.cn
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Hongrois de Roumanie : plaidoyer pour une réconciliation historique
"La
réconciliation entre Roumains et Hongrois est essentielle. Mais pour
traiter les frustrations de la mémoire collective, il s’agit d’assumer
les erreurs du passé et du présent. C’est là qu’élus, intellectuels et
mouvements civiques entrent en jeu, afin de faciliter la coopération et
mettre en place des outils permettant une cohabitation fructueuse.
Le vibrant plaidoyer de l’historien T. Szabó Csaba.
T. Szabó Csaba est historien de l’Antiquité, assistant à l’Université Lucian Blaga de Sibiu, au département d’Histoire, Patrimoine et Théologie protestante. Je viens de Satu Mare, une ville de Transylvanie qui n’a probablement jamais été homogène. Il y a cent ans, la ville était habitée par des Hongrois, des Roumains, des Souabes, des Juifs et des Roms. La multiculturalité de la ville a toujours été une réalité historique et sociologique. Aujourd’hui, 37% de Hongrois, 59% de Roumains et 1,1% d’Allemands habitent Satu Mare (Szatmárnémeti en hongrois). Je viens d’une famille où on ne parlait que le hongrois, mais..." La suite sur courrierdesbalkans.fr (article payant)
Le vibrant plaidoyer de l’historien T. Szabó Csaba.
T. Szabó Csaba est historien de l’Antiquité, assistant à l’Université Lucian Blaga de Sibiu, au département d’Histoire, Patrimoine et Théologie protestante. Je viens de Satu Mare, une ville de Transylvanie qui n’a probablement jamais été homogène. Il y a cent ans, la ville était habitée par des Hongrois, des Roumains, des Souabes, des Juifs et des Roms. La multiculturalité de la ville a toujours été une réalité historique et sociologique. Aujourd’hui, 37% de Hongrois, 59% de Roumains et 1,1% d’Allemands habitent Satu Mare (Szatmárnémeti en hongrois). Je viens d’une famille où on ne parlait que le hongrois, mais..." La suite sur courrierdesbalkans.fr (article payant)
Le Conseil vivement critiqué pour son incapacité à protéger les valeurs de l'UE en Hongrie
"Les députés de la commission des libertés civiles ont condamné l'inaction du Conseil concernant les valeurs de l'UE en Hongrie.
Lors d'un débat avec le premier vice-président de la Commission, Frans Timmermans, et le représentant permanent au comité politique et de sécurité, Calin Stoica, au nom de la présidence roumaine du Conseil, la plupart des députés de la commission des libertés civiles ont exprimé leur frustration concernant le manque de volonté d'agir du Conseil pour protéger les valeurs de l'UE ou pour coopérer avec le Parlement en ce sens." La suite sur newspress.fr
Lors d'un débat avec le premier vice-président de la Commission, Frans Timmermans, et le représentant permanent au comité politique et de sécurité, Calin Stoica, au nom de la présidence roumaine du Conseil, la plupart des députés de la commission des libertés civiles ont exprimé leur frustration concernant le manque de volonté d'agir du Conseil pour protéger les valeurs de l'UE ou pour coopérer avec le Parlement en ce sens." La suite sur newspress.fr
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La Hongrie veut conclure des accords bilatéraux avec le Liban
"L'ambassadeur hongrois au Liban, Geza
Mihalyi, a souligné vendredi qu'il est nécessaire que son pays conclue
des accords bilatéraux avec le Liban, a rapporté l'Agence de presse
nationale.
"Nous voulons non
seulement faire augmenter le commerce agricole entre la Hongrie et le
Liban et stimuler le tourisme religieux, mais aussi conclure des accords
bilatéraux", a déclaré M. Mihalyi lors de sa rencontre avec le ministre
d'État libanais chargé du Commerce extérieur, Hassan Mourad." La suite sur china.org.cn
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Politique étrangère,
Religion,
Tourisme
Hongrie: un Syrien membre présumé de l'EI arrêté
"Un Syrien de 27 ans, soupçonné d'être membre de l'organisation
djihadiste Etat islamique (EI) et d'avoir été impliqué dans des
exécutions en Syrie, a été arrêté en Hongrie, a indiqué aujourd'hui le
parquet de Budapest.
L'homme, qui avait reçu en Grèce le statut de réfugié, «a été membre de l'organisation Etat islamique depuis 2016», selon un communiqué du parquet. Selon la même source, il est soupçonné d'avoir participé à l'assassinat de vingt membres d'une même famille dans la ville syrienne de Homs en 2016. Les victimes ont été décapitées pour avoir refusé de rejoindre l'EI, a précisé le parquet." La suite sur lefigaro.fr
L'homme, qui avait reçu en Grèce le statut de réfugié, «a été membre de l'organisation Etat islamique depuis 2016», selon un communiqué du parquet. Selon la même source, il est soupçonné d'avoir participé à l'assassinat de vingt membres d'une même famille dans la ville syrienne de Homs en 2016. Les victimes ont été décapitées pour avoir refusé de rejoindre l'EI, a précisé le parquet." La suite sur lefigaro.fr
vendredi 22 mars 2019
Décès du peintre Miklos Bokor
"Le peintre d’origine hongroise Miklos Bokor est décédé à Paris le 18 mars 2019.
Né à Budapest en 1927, Miklos Bokor est déporté à Auschwitz et Buchenwald en 1944 où est assassinée une grande partie de sa famille. Il s’installe définitivement en France en 1960. Très proche des poètes Yves Bonnefoy et André du Bouchet, l’œuvre de Miklos Bokor est peuplée de silhouettes qui surgissent de la mémoire du peintre, depuis les origines de l’humanité à l’histoire la plus contemporaine. Miklos Bokor partageait sa vie entre son atelier parisien de la Ruche et le Lot où il avait racheté l’église de Maraden qu’il avait entièrement restaurée par la réalisation de fresques sur les murs intérieurs. Miklos Bokor a exposé régulièrement à la Galerie Ditesheim à Neuchâtel en Suisse, et à la Galerie Guillaume à Paris. En 2014, le musée d’Art moderne de la Ville de Paris avait exposé onze très grands formats de Bokor. La dernière exposition de l’artiste a eu lieu à la Galerie Guillaume en novembre 2018." Source : connaissancedesarts.com
Né à Budapest en 1927, Miklos Bokor est déporté à Auschwitz et Buchenwald en 1944 où est assassinée une grande partie de sa famille. Il s’installe définitivement en France en 1960. Très proche des poètes Yves Bonnefoy et André du Bouchet, l’œuvre de Miklos Bokor est peuplée de silhouettes qui surgissent de la mémoire du peintre, depuis les origines de l’humanité à l’histoire la plus contemporaine. Miklos Bokor partageait sa vie entre son atelier parisien de la Ruche et le Lot où il avait racheté l’église de Maraden qu’il avait entièrement restaurée par la réalisation de fresques sur les murs intérieurs. Miklos Bokor a exposé régulièrement à la Galerie Ditesheim à Neuchâtel en Suisse, et à la Galerie Guillaume à Paris. En 2014, le musée d’Art moderne de la Ville de Paris avait exposé onze très grands formats de Bokor. La dernière exposition de l’artiste a eu lieu à la Galerie Guillaume en novembre 2018." Source : connaissancedesarts.com
«Sunset»: un dédale au crépuscule de la Belle Epoque
"Une jeune chapelière recherche son frère dans Budapest, ville
caniculaire couvant les feux de la Première Guerre. Un film
esthétiquement splendide et résolument hermétique.
Dans la touffeur de l’été 1913, à Budapest, Irisz Leiter (Juli Jakab) se présente pour un poste de modiste chez le plus fameux chapelier de la ville, un commerce qui appartenait jadis à ses parents. La jeune femme est éconduite. Ozkar Brill, le nouveau propriétaire, lui donne un billet pour Trieste et bon vent! Têtue comme une mule, Irisz reste en ville pour rechercher son frère, Kalman. Elle est agressée par un cocher brutal, elle fraie avec des gens dangereux, se faufile dans des cercles aristocratiques où le sexe et la cruauté vont de pair. Elle est témoin d’émeutes et de massacres. Le comte Rédey a été assassiné et démembré, sa veuve a perdu la raison. Des brigands entrent en action. Des anarchistes fomentent des attentats. Des têtes couronnées viennent acheter des chapeaux. Saura-t-on jamais qui est Kalman? Et ce qui se passe?" La suite sur letemps.ch
Dans la touffeur de l’été 1913, à Budapest, Irisz Leiter (Juli Jakab) se présente pour un poste de modiste chez le plus fameux chapelier de la ville, un commerce qui appartenait jadis à ses parents. La jeune femme est éconduite. Ozkar Brill, le nouveau propriétaire, lui donne un billet pour Trieste et bon vent! Têtue comme une mule, Irisz reste en ville pour rechercher son frère, Kalman. Elle est agressée par un cocher brutal, elle fraie avec des gens dangereux, se faufile dans des cercles aristocratiques où le sexe et la cruauté vont de pair. Elle est témoin d’émeutes et de massacres. Le comte Rédey a été assassiné et démembré, sa veuve a perdu la raison. Des brigands entrent en action. Des anarchistes fomentent des attentats. Des têtes couronnées viennent acheter des chapeaux. Saura-t-on jamais qui est Kalman? Et ce qui se passe?" La suite sur letemps.ch
Juifs d’Europe centrale : Nos institutions critiquées crient à l’antisémitisme
"Se cacher derrière des allégations de racisme est un moyen facile de détourner l'attention des affaires financières douteuses, disent les critiques juifs locaux.
JTA – En novembre, un magazine hongrois a publié un article sur la prétendue mauvaise gestion de l’argent des contribuables par la plus grande fédération juive du pays.
L’article du magazine de droite Figyelo sur l’organisation juive Mazsihisz a provoqué un tollé local et international. Mais ce n’était pas sur les problèmes que l’article cherchait à exposer.
Celles-ci ont été éclipsées par des réactions passionnées sur l’image qui figurait sur la couverture du magazine. Il s’agissait
d’un photomontage du président de Mazsihisz, Andras Heisler, entouré de
billets de banque. L’organisation juive a dit qu’il s’agissait d’une
« diffamation » qui « fait revivre des stéréotypes séculaires » sur les
juifs et l’argent." La suite sur timesofisrael.com
JTA – En novembre, un magazine hongrois a publié un article sur la prétendue mauvaise gestion de l’argent des contribuables par la plus grande fédération juive du pays.
L’article du magazine de droite Figyelo sur l’organisation juive Mazsihisz a provoqué un tollé local et international. Mais ce n’était pas sur les problèmes que l’article cherchait à exposer.
« Diavolina » de György Spiró
• Diavolina, de György Spiró, Traduit du hongrois par Natalia Zaremba-Huzsvai et Charles Zaremba, Actes Sud, 232 p., 21,50 €
"Les souvenirs ébouriffants de la confidente de Maxime Gorki, inventés par un écrivain hongrois pour railler l’horreur soviétique. C’est du joli !
L’ancienne employée de maison – bonne, nounou, infirmière et plus, car il y eut affinité… – du grand
écrivain « soviétique » Maxime Gorki (1868-1936), se souvient. Nous sommes en 1951. Le stalinisme vit ses ultimes sursauts scélérats. Mais la plume est libre, comme le fut toujours le caquet de cette femme de cœur et du peuple, dont le nom de famille, Tchertkova, sonne quasiment comme sorcière en russe (tchertovka). La voilà baptisée, lors d’un des nombreux séjours italiens de l’homme de lettres, « Diàvola » (diablesse), très vite nanti d’un diminutif : Diavolina. D’où le titre du livre.
Hongrie.Le parti d’Orbán suspendu du PPE, coup de maître ou supercherie ?
"Le Parti Populaire Européen a voté mercredi 20 mars la suspension de la
formation du Premier ministre magyar en réponse à la récente campagne
diffamatoire de Budapest visant Bruxelles et Jean-Claude Juncker. La
presse progouvernementale parle d’une victoire consacrant l’importance
du Fidesz au sein du PPE tandis que les titres d’opposition dénoncent une supercherie.
La rupture n’a pas eu lieu. Alors que treize partis membres de l’aile libérale du PPE réclamaient l’expulsion du Fidesz en réponse aux affiches polémiques anti-Juncker ayant provoqué un tollé, la droite européenne s’est contentée de le suspendre avec l’assentiment de Viktor Orbán venu soumettre cette possibilité devant l’assemblée politique du mercredi 20 mars qui arbitrait son destin." La suite sur courrierinternational.com (article payant)
La rupture n’a pas eu lieu. Alors que treize partis membres de l’aile libérale du PPE réclamaient l’expulsion du Fidesz en réponse aux affiches polémiques anti-Juncker ayant provoqué un tollé, la droite européenne s’est contentée de le suspendre avec l’assentiment de Viktor Orbán venu soumettre cette possibilité devant l’assemblée politique du mercredi 20 mars qui arbitrait son destin." La suite sur courrierinternational.com (article payant)
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jeudi 21 mars 2019
La suspension du Fidesz, « une immense victoire » selon la presse pro-Orbán
"Les médias du Fidesz louent l'"immense victoire" remportée mercredi
par leur leader Viktor Orbán face au Parti Populaire européen... qui a
pourtant suspendu la formation hongroise.
Victoire ou défaite pour le dirigeant hongrois ? Victoire sans conteste, pour la presse de droite en Hongrie, et même « immense victoire ». Une dépêche de l'agence de presse hongroise MTI, reprise par . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)
Victoire ou défaite pour le dirigeant hongrois ? Victoire sans conteste, pour la presse de droite en Hongrie, et même « immense victoire ». Une dépêche de l'agence de presse hongroise MTI, reprise par . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)
En Suisse, des députés protestent contre le «régime populiste» hongrois
"Des parlementaires de gauche ont boudé la visite à Berne du président du parlement hongrois, László Kövér.
C'est tout à fait inédit ce qui s'est passé mercredi à Berne, la capitale de la confédération helvétique. Dans une action spontanée, une majorité de députés de gauche issus PS et des Verts s'est levé et a quitté le Conseil national, tournant le dos au président du Parlement hongrois en visite, László Kövér..." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)
C'est tout à fait inédit ce qui s'est passé mercredi à Berne, la capitale de la confédération helvétique. Dans une action spontanée, une majorité de députés de gauche issus PS et des Verts s'est levé et a quitté le Conseil national, tournant le dos au président du Parlement hongrois en visite, László Kövér..." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)
« Sunset » : Laszlo Nemes filme un monde qui sombre
"Le réalisateur du « Fils de Saul » peint la veille de la première guerre mondiale à Budapest.
Souvenons-nous d’octobre 2015. Auréolé du Grand Prix du Festival de Cannes et bientôt de l’Oscar du meilleur film étranger, Le Fils de Saul, premier film d’un Hongrois inconnu âgé de 40 ans, sortait sur nos écrans. Il s’y agissait, en toute simplicité, de filmer en immersion totale les deux derniers jours de la vie de Saul Ausländer, Sonderkommando d’Auschwitz affecté à la maintenance de l’extermination de ses codétenus, alors qu’il concevait le projet dément d’enterrer selon le rite juif son fils abattu sous ses yeux. La sortie de ce film devait, en toute logique, affoler les boussoles cinéphiliques, comme à chaque fois qu’un réalisateur entreprend de filmer l’infilmable pourriture humaine que fut Auschwitz." La suite sur lemonde.fr
Souvenons-nous d’octobre 2015. Auréolé du Grand Prix du Festival de Cannes et bientôt de l’Oscar du meilleur film étranger, Le Fils de Saul, premier film d’un Hongrois inconnu âgé de 40 ans, sortait sur nos écrans. Il s’y agissait, en toute simplicité, de filmer en immersion totale les deux derniers jours de la vie de Saul Ausländer, Sonderkommando d’Auschwitz affecté à la maintenance de l’extermination de ses codétenus, alors qu’il concevait le projet dément d’enterrer selon le rite juif son fils abattu sous ses yeux. La sortie de ce film devait, en toute logique, affoler les boussoles cinéphiliques, comme à chaque fois qu’un réalisateur entreprend de filmer l’infilmable pourriture humaine que fut Auschwitz." La suite sur lemonde.fr
Retailleau (LR) "n'assume" pas la "démocratie illibérale" d'Orbán
"Paris (AFP) - Le chef de file des Républicains au Sénat, Bruno
Retailleau, a expliqué mercredi n'assumer ni "la politique d'ouverture
des frontières (de) Mme Merkel", ni "la démocratie +illibérale+ de M.
Orbán", qu'il a qualifié de "pathologie de la démocratie".
Le Parti Populaire européen (PPE), qui réunit les formations de droite de l'UE, dont LR, doit décider mercredi d'une suspension temporaire ou d'une exclusion définitive du parti de Viktor Orbán, le Fidesz, notamment en raison des dérapages populistes contre l'immigration ou Bruxelles de la part du Premier ministre hongrois d'extrême droite.
La droite française s'est jusqu'alors montrée réservée quant à l'opportunité de sanctions à l'endroit du leader nationaliste, sans préciser sa position sur ce vote." La suite sur nouvelobs.com
Le Parti Populaire européen (PPE), qui réunit les formations de droite de l'UE, dont LR, doit décider mercredi d'une suspension temporaire ou d'une exclusion définitive du parti de Viktor Orbán, le Fidesz, notamment en raison des dérapages populistes contre l'immigration ou Bruxelles de la part du Premier ministre hongrois d'extrême droite.
La droite française s'est jusqu'alors montrée réservée quant à l'opportunité de sanctions à l'endroit du leader nationaliste, sans préciser sa position sur ce vote." La suite sur nouvelobs.com
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A Prague, le leader hongrois divise aussi
"Si le Premier ministre tchèque revendique sa proximité avec Viktor Orbán et envie sa marge de manœuvre, il reste beaucoup plus mesuré que son homologue.
Le 11 septembre, le vote du Parlement européen demandant le déclenchement de l’article 7 du traité de l’Union contre la Hongrie en raison de «risques de violation grave de l’Etat de droit» a été suivi d’un autre vote venu de Prague. Le 2 octobre, les députés tchèques ont adopté un texte qualifiant cette décision de «fautive et malheureuse», ajoutant que la démarche des eurodéputés ne pouvait que contribuer à aggraver «le fossé et la défiance entre les anciens et les nouveaux membres de l’Union européenne». Proposé par le Parti démocratique civique (ODS, extrême droite), il a été adopté notamment grâce aux voix des députés ANO, le parti de centre-droit du Premier ministre tchèque, Andrej Babis. Car ce dernier ne manque jamais de le rappeler : Viktor Orbán est son «ami» et, par conséquent, l’ami du pays. Quant à la Hongrie, elle est «un partenaire proche et traditionnel de la République tchèque», comme il a tenu à le rappeler lors de la visite de Viktor Orbán à Prague, en novembre." La suite sur liberation.fr
Le 11 septembre, le vote du Parlement européen demandant le déclenchement de l’article 7 du traité de l’Union contre la Hongrie en raison de «risques de violation grave de l’Etat de droit» a été suivi d’un autre vote venu de Prague. Le 2 octobre, les députés tchèques ont adopté un texte qualifiant cette décision de «fautive et malheureuse», ajoutant que la démarche des eurodéputés ne pouvait que contribuer à aggraver «le fossé et la défiance entre les anciens et les nouveaux membres de l’Union européenne». Proposé par le Parti démocratique civique (ODS, extrême droite), il a été adopté notamment grâce aux voix des députés ANO, le parti de centre-droit du Premier ministre tchèque, Andrej Babis. Car ce dernier ne manque jamais de le rappeler : Viktor Orbán est son «ami» et, par conséquent, l’ami du pays. Quant à la Hongrie, elle est «un partenaire proche et traditionnel de la République tchèque», comme il a tenu à le rappeler lors de la visite de Viktor Orbán à Prague, en novembre." La suite sur liberation.fr
En Hongrie, les hirondelles ne font plus le printemps
"Environ deux millions d’hirondelles manquent à l’appel en Hongrie. La
population de ces oiseaux a été divisée par deux depuis le début des
années 2000. Une raréfaction due à la fois au réchauffement climatique
et à la disparition progressive des prairies et des forêts qui modifie
l’environnement des hirondelles. L’entrée dans l’Union européenne a
entraîné une concentration de l’agriculture et un agrandissement des
surfaces cultivés. De quoi réduire les endroits où nicher.
Zoltan Orban de l'association ornithologique de Hongrie explique : "On voit arriver dans l'agriculture de plus en plus d’insectes du monde entier, particulièrement du sud et en parallèle, de nouvelles maladies véhiculées par les moustiques apparaissent, à cause de la baisse du nombre d’hirondelles. Il n’est pas compliqué d’estimer mathématiquement les conséquences : en Hongrie, une hirondelle mange environ un kilo d’insecte par an. Donc si on estime que 2 millions d’hirondelles manquent à l’appel, ça veut dire que ça veut dire qu’on a deux tonnes d’insectes qui ne disparaissent pas chaque année"." La suite et vidéo sur euronews.com
Zoltan Orban de l'association ornithologique de Hongrie explique : "On voit arriver dans l'agriculture de plus en plus d’insectes du monde entier, particulièrement du sud et en parallèle, de nouvelles maladies véhiculées par les moustiques apparaissent, à cause de la baisse du nombre d’hirondelles. Il n’est pas compliqué d’estimer mathématiquement les conséquences : en Hongrie, une hirondelle mange environ un kilo d’insecte par an. Donc si on estime que 2 millions d’hirondelles manquent à l’appel, ça veut dire que ça veut dire qu’on a deux tonnes d’insectes qui ne disparaissent pas chaque année"." La suite et vidéo sur euronews.com
“Sunset” de László Nemes, nouveau visage de la Mitteleuropa
"Le réalisateur hongrois, oscarisé pour “Le Fils de Saul”, revient avec
“Sunset”, une déambulation labyrinthique dans le Budapest décadent de
1913 aux côtés d’une orpheline, Juli Jakab, à la recherche de ses
origines. Troublant et cauchemardesque.
Qui est cette femme chapeautée, altière, qui marche hardiment à travers la ville, s’évertuant à dévoiler une vérité, qui sans cesse se dérobe ? Une sorte de revenante, débarquée dans la Budapest prospère de 1913. Orpheline, elle souhaite se faire engager dans le prestigieux magasin de chapeaux qui appartenait jadis à ses parents, lesquels ont péri dans un incendie. Le magasin a été sauvé et repris par un patriarche sec, qui semble voir d’un mauvais œil le retour de cette Irisz Leiter. Même s’il prend soin de ne pas la recevoir comme n’importe qui, le notable repousse sa candidature et l’incite à quitter Budapest. La jeune femme s’y refuse, car elle apprend peu après, par un cocher, qu’elle a un frère dans la ville…" La suite sur telerama.fr
Qui est cette femme chapeautée, altière, qui marche hardiment à travers la ville, s’évertuant à dévoiler une vérité, qui sans cesse se dérobe ? Une sorte de revenante, débarquée dans la Budapest prospère de 1913. Orpheline, elle souhaite se faire engager dans le prestigieux magasin de chapeaux qui appartenait jadis à ses parents, lesquels ont péri dans un incendie. Le magasin a été sauvé et repris par un patriarche sec, qui semble voir d’un mauvais œil le retour de cette Irisz Leiter. Même s’il prend soin de ne pas la recevoir comme n’importe qui, le notable repousse sa candidature et l’incite à quitter Budapest. La jeune femme s’y refuse, car elle apprend peu après, par un cocher, qu’elle a un frère dans la ville…" La suite sur telerama.fr
Viktor Orban, l'ancien dissident devenu maître controversé de la Hongrie
"Autocrate pour les uns, défenseur de la nation pour les autres,
Viktor Orban dirige et divise la Hongrie depuis neuf ans au prix de
dissensions croissantes avec ses partenaires européens, déchirés sur le
cas de cet ancien libéral devenu pourfendeur de l'immigration.
Jamais la relation orageuse entre le Premier ministre de 55 ans et la droite européenne, sa famille politique, n'a semblé aussi près de se rompre: mercredi, le parti Fidesz, cofondé et dirigé par Viktor Orban, affronte une menace d'exclusion du Parti Populaire européen (PPE), groupe majoritaire au Parlement de Strasbourg.
Le temps est loin où le numéro un hongrois était l'un des espoirs du camp libéral dans une Europe bouleversée par la chute du rideau de fer. En juin 1989, cheveux au vent et chemise blanche, c'est en jeune progressiste de 26 ans que Viktor Orban défiait le régime communiste à Budapest avec un discours enflammé pour la liberté, lors d'un hommage aux victimes du Soulèvement de 1956.
Trente ans plus tard, après quatre mandats à la tête de la Hongrie, dont trois d'affilée, l'ancien protégé d'Helmut Kohl est la figure de proue des droites nationalistes en Europe et outre-Atlantique, qualifié de "héros" par Steve Bannon, ancien conseiller du président américain Donald Trump." La suite sur boursedirect.fr
Jamais la relation orageuse entre le Premier ministre de 55 ans et la droite européenne, sa famille politique, n'a semblé aussi près de se rompre: mercredi, le parti Fidesz, cofondé et dirigé par Viktor Orban, affronte une menace d'exclusion du Parti Populaire européen (PPE), groupe majoritaire au Parlement de Strasbourg.
Le temps est loin où le numéro un hongrois était l'un des espoirs du camp libéral dans une Europe bouleversée par la chute du rideau de fer. En juin 1989, cheveux au vent et chemise blanche, c'est en jeune progressiste de 26 ans que Viktor Orban défiait le régime communiste à Budapest avec un discours enflammé pour la liberté, lors d'un hommage aux victimes du Soulèvement de 1956.
Trente ans plus tard, après quatre mandats à la tête de la Hongrie, dont trois d'affilée, l'ancien protégé d'Helmut Kohl est la figure de proue des droites nationalistes en Europe et outre-Atlantique, qualifié de "héros" par Steve Bannon, ancien conseiller du président américain Donald Trump." La suite sur boursedirect.fr
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Transylvania · Membra Jesu Nostri jeudi 28 mars 2019 à 20 h 30 Église Notre Dame des Blancs Manteaux
Double programme de présentation. Le premier programme TRANSYLVANIA est une présentation du travail effectué par l'ensemble sur la musique baroque Hongroise et le Codex Caioni.
La deuxième partie est consacrée au Membra Jesu Nostri de Butehude.
Église Notre Dame des Blancs Manteaux
12, rue des Blancs-Manteaux 75004 Paris
Événement Facebook
Tarif : à partir de 13 € Billetterie
La deuxième partie est consacrée au Membra Jesu Nostri de Butehude.
Église Notre Dame des Blancs Manteaux
12, rue des Blancs-Manteaux 75004 Paris
Événement Facebook
Tarif : à partir de 13 € Billetterie
Éva Vámos : « La francophonie, ça permet une ouverture d’esprit incroyable »
"En Hongrie, toute une communauté d'intellectuels, de chercheurs, et de
journalistes fait vivre au quotidien la langue française. Rédactrice en
chef du Journal francophone de Budapest depuis sept ans, Éva Vámos en
fait assurément partie. Portrait.
Journaliste depuis plus de quarante ans, Éva Vámos a appris le français très jeune, à l'école primaire. "J'ai appris à lire et à écrire avec une méthode expérimentale et chaque jour, on avait un cours de français", raconte-t-elle. Lorsque les Soviétiques font de la Hongrie un de leurs pays satellites, l'enseignement du français à l'école primaire est supprimé pour être remplacé par le russe . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)
Journaliste depuis plus de quarante ans, Éva Vámos a appris le français très jeune, à l'école primaire. "J'ai appris à lire et à écrire avec une méthode expérimentale et chaque jour, on avait un cours de français", raconte-t-elle. Lorsque les Soviétiques font de la Hongrie un de leurs pays satellites, l'enseignement du français à l'école primaire est supprimé pour être remplacé par le russe . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)
Hongrie : le Fidesz a été suspendu du Parti populaire européen
"Le sort du Fidesz au sein du Parti populaire européen a été longuement
débattu par l'assemblée politique du PPE cet après-midi. Après une
longue délibération, une majorité de membres s'est prononcée en faveur
d'une suspension du parti de Viktor Orbán.
L'assemblée politique du Parti populaire européen a ratifié en début de soirée la résolution de la direction du PPE en faveur d'une suspension du Fidesz, le parti de Viktor Orbán. Un comité compose de trois personnalités qualifiées et dirigé par Herman Van Rompuy devrait être réuni afin de surveiller l'évolution de la situation politique en Hongrie et surtout le comportement du premier ministre hongrois. L'ancien président du conseil européen devrait être assisté de l'ancien président du Parlement européen Hans-Gert Pöttering et de l'ancien chancelier autrichien Wolfgang Schüssel . . ."
La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)
L'assemblée politique du Parti populaire européen a ratifié en début de soirée la résolution de la direction du PPE en faveur d'une suspension du Fidesz, le parti de Viktor Orbán. Un comité compose de trois personnalités qualifiées et dirigé par Herman Van Rompuy devrait être réuni afin de surveiller l'évolution de la situation politique en Hongrie et surtout le comportement du premier ministre hongrois. L'ancien président du conseil européen devrait être assisté de l'ancien président du Parlement européen Hans-Gert Pöttering et de l'ancien chancelier autrichien Wolfgang Schüssel . . ."
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mercredi 20 mars 2019
Le Parti populaire européen suspend la formation du premier ministre hongrois Viktor Orban
"La droite européenne a renoncé à exclure totalement le Fidesz, qui est
placé sous surveillance. M. Orban est sanctionné pour ses campagnes
diffamatoires et conspirationnistes à l’encontre de Bruxelles.
Pas d’exclusion définitive, mais une suspension. La droite européenne s’est finalement prononcée sur une sanction à l’encontre du dirigeant hongrois Viktor Orban. A l’issue d’une réunion à Bruxelles, le Parti populaire européen (PPE) a voté à 190 voix pour et 3 contre, mercredi 20 mars, en faveur d’une suspension avec effet immédiat du parti du premier ministre, le Fidesz, en raison de ses campagnes diffamatoires et conspirationnistes à l’encontre de Bruxelles.
Cette suspension, avec effet immédiat, implique que le Fidesz ne pourra plus participer à aucune réunion du PPE, n’aura plus de droit de vote ni le droit de proposer des candidats à des postes au sein du parti, a précisé le président du PPE." La suite sur lemonde.fr
Pas d’exclusion définitive, mais une suspension. La droite européenne s’est finalement prononcée sur une sanction à l’encontre du dirigeant hongrois Viktor Orban. A l’issue d’une réunion à Bruxelles, le Parti populaire européen (PPE) a voté à 190 voix pour et 3 contre, mercredi 20 mars, en faveur d’une suspension avec effet immédiat du parti du premier ministre, le Fidesz, en raison de ses campagnes diffamatoires et conspirationnistes à l’encontre de Bruxelles.
Cette suspension, avec effet immédiat, implique que le Fidesz ne pourra plus participer à aucune réunion du PPE, n’aura plus de droit de vote ni le droit de proposer des candidats à des postes au sein du parti, a précisé le président du PPE." La suite sur lemonde.fr
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Hongrie.PPE : Pourquoi Berlin ne peut pas lâcher Orbán
"L’analyse par Azonnali du vrai-faux affrontement entre
le Fidesz du premier ministre hongrois et le Parti populaire européen.
Le second a trop besoin du premier, écrit le portail d’actualité, qui
rappelle que Berlin a fait preuve de moins de mansuétude avec Alexis
Tsipras et Athènes.
Pitié et colère nous viennent en même temps à l’esprit face aux contorsions de l’opportuniste Manfred Weber [membre de la CSU bavaroise, tête de liste du Parti Populaire européen (PPE) aux européennes 2019] concernant le cas du Fidesz. Douze formations issues de neuf États membres réclament son exclusion du PPE. Seulement voilà, ces modestes écuries n’ont que peu de poids, à l’exception des Grecs de Nouvelle Démocratie, et la majorité d’entre elles perdront vraisemblablement des sièges à l’issue du scrutin de mai." La suite sur courrierinternational.com (article payant)
Pitié et colère nous viennent en même temps à l’esprit face aux contorsions de l’opportuniste Manfred Weber [membre de la CSU bavaroise, tête de liste du Parti Populaire européen (PPE) aux européennes 2019] concernant le cas du Fidesz. Douze formations issues de neuf États membres réclament son exclusion du PPE. Seulement voilà, ces modestes écuries n’ont que peu de poids, à l’exception des Grecs de Nouvelle Démocratie, et la majorité d’entre elles perdront vraisemblablement des sièges à l’issue du scrutin de mai." La suite sur courrierinternational.com (article payant)
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La Hongrie d'Orban, neuf ans de réformes controversées
"Le Premier ministre conservateur hongrois Viktor Orban, menacé d'une
exclusion du Parti populaire européen (PPE, droite) en raison de ses
provocations anti-Bruxelles, a multiplié ces dernières années les
mesures controversées. Celles-ci lui ont valu un désaveu inédit du
Parlement européen, qui a pointé du doigt en septembre une violation des
"valeurs" de l'UE.
Le think tank américain Freedom House a par ailleurs récemment considéré que la Hongrie était le seul pays de l'UE à n'être que "partiellement libre" en raison d'"attaques répétées" contre "l'opposition, les médias, les groupes religieux, les universités, les ONG, les tribunaux, les demandeurs d'asile et le secteur privé".
Contre-pouvoirs affaiblisDès son retour au pouvoir en 2010, M. Orban a engagé une vaste révision constitutionnelle gravant dans le marbre les valeurs du "christianisme" et de la "famille traditionnelle".
La réforme accroît l'emprise du gouvernement sur la justice et cimente le pouvoir de son parti Fidesz sur les institutions et sur les médias, contrôlés pour la plupart par des proches. La Cour constitutionnelle a vu ses attributions limitées et une juridiction spécifique a été créée cet hiver pour les dossiers sensibles comme les appels d'offres publics ou les contentieux électoraux, alimentant les craintes de nouvelles atteintes à l'indépendance de la justice." La suite sur boursedirecte.fr
Le think tank américain Freedom House a par ailleurs récemment considéré que la Hongrie était le seul pays de l'UE à n'être que "partiellement libre" en raison d'"attaques répétées" contre "l'opposition, les médias, les groupes religieux, les universités, les ONG, les tribunaux, les demandeurs d'asile et le secteur privé".
Contre-pouvoirs affaiblisDès son retour au pouvoir en 2010, M. Orban a engagé une vaste révision constitutionnelle gravant dans le marbre les valeurs du "christianisme" et de la "famille traditionnelle".
La réforme accroît l'emprise du gouvernement sur la justice et cimente le pouvoir de son parti Fidesz sur les institutions et sur les médias, contrôlés pour la plupart par des proches. La Cour constitutionnelle a vu ses attributions limitées et une juridiction spécifique a été créée cet hiver pour les dossiers sensibles comme les appels d'offres publics ou les contentieux électoraux, alimentant les craintes de nouvelles atteintes à l'indépendance de la justice." La suite sur boursedirecte.fr
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La Hongrie inaugure une représentation commerciale à Jérusalem
"Dix mois après le transfert de l’ambassade américaine
à Jérusalem, la Hongrie a inauguré mardi 19 mars une représentation
commerciale dotée du statut diplomatique dans la ville. C’est la
première mission diplomatique européenne à s’y installer. Pour le
gouvernement israélien, c’est un pas de plus vers la reconnaissance de
Jérusalem comme capitale, une question au cœur du conflit
israélo-palestinien.
Le chef de la diplomatie hongroise Peter Szijjarto a
inauguré mardi à Jérusalem la nouvelle représentation commerciale de son
pays, dotée du statut diplomatique.Pour le gouvernement israélien, il s’agit d’un pas de plus de la part d’un pays d’Europe centrale vers la reconnaissance de Jérusalem comme capitale d’Israël." La suite sur ouest-france.fr
La droite européenne se penche sur le cas du Hongrois Viktor Orban
"Le
Parti populaire européen (PPE) doit décider mercredi s'il suspend ou
exclut le parti du premier ministre hongrois - accusé de multiples
dérapages - de ses rangs.
Que faire de Viktor Orban? C'est à cette épineuse
question que les membres du Parti populaire européen (PPE), devront
répondre, ce mercredi, à partir de 14 heures. Trois choix s'offrent aux
délégués du parti conservateur: l'exclusion, la suspension ou le statu
quo. Les membres de la droite européenne reprochent au premier ministre hongrois de s'être attaqué à l'un de ses membres les plus éminents, Jean-Claude Juncker. Dans le cadre de sa campagne pour les élections européennes, le Fidesz, parti d'Orban, avait déployé une affiche représentant le président de la Commission aux côtés du milliardaire d'origine hongroise George Soros, avec comme slogan: «Vous aussi avez le droit de savoir ce que Bruxelles vous prépare». Budapest accuse l'Union européenne de vouloir imposer des réfugiés sur son territoire." La suite sur lefigaro.fr
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À Budapest, immersion au sein de la section bilingue francophone du lycée Kölcsey
"Au lycée Kölcsey dans le sixième arrondissement de Budapest, des élèves
hongrois planchent pour apprendre la langue française. En espérant
qu'elle leur ouvrira les portes sur une autre culture et, pourquoi pas,
sur une carrière professionnelle internationale. Reportage.
"- Comment tu as fait pour trouver cette conjugaison, toi ?", "- J'ai traduit à partir du hongrois", "- Ah, tu as traduit, t'es un malin. Mais ça ne marche pas". Ambiance taquine dans une classe du lycée Kölcsey. En ce début de matinée, ce petit groupe de terminale de la section bilingue francophone corrige des exercices de grammaire. Une petite dizaine d'élèves se concentrent sur la concordance des temps. "C'est ce qui pose le plus de problèmes généralement", explique avec un sourire Kata Törley, leur professeure de français "c'est comme le genre, ça n'existe pas en hongrois, il faut donc qu'ils l'apprennent pour chaque nom commun, c'est difficile . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)
"- Comment tu as fait pour trouver cette conjugaison, toi ?", "- J'ai traduit à partir du hongrois", "- Ah, tu as traduit, t'es un malin. Mais ça ne marche pas". Ambiance taquine dans une classe du lycée Kölcsey. En ce début de matinée, ce petit groupe de terminale de la section bilingue francophone corrige des exercices de grammaire. Une petite dizaine d'élèves se concentrent sur la concordance des temps. "C'est ce qui pose le plus de problèmes généralement", explique avec un sourire Kata Törley, leur professeure de français "c'est comme le genre, ça n'existe pas en hongrois, il faut donc qu'ils l'apprennent pour chaque nom commun, c'est difficile . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)
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Mardis hongrois - Rencontre avec Alain Sobel autour de "Fragments d'exil" le mardi 2 avril 2019 à partir de 20 h 30 à la Brasserie le Saint-André
Alain Sobel présentera et dédicacera son livre "Fragments D’exil. Les Carnets D’un émigré (1914-1946)"
Brasserie Le Saint-André 2, rue Danton 75006 Paris
Métro - RER station Saint-Michel
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Le chemin de l'exil dans l'Europe en lambeaux des années 20, débute pour Maurice Gros dans les collines de Transylvanie et traverse un empire Austro-Hongrois démembré après la défaite. L'émigration est la seule réponse possible au chambardement politique et social, empreint d'antisémitisme. A Paris, le jeune émigré, qui se croyait conquérant, affronte la solitude, la langue nouvelle, l'étrangeté d'être un intrus dans la cité, sans racines, sans histoire, sans culture commune. Les difficultés des études et de la vie quotidienne éphémère sont les premières épreuves de l'exil parfois suspendu par la rencontre de photojournalistes géniaux, presque tous juifs hongrois. Jeune médecin, Maurice Gros raconte avec étonnement les évènements politiques majeurs, également commentés par les prévisions apocalyptiques de Joseph Roth qu'il écoute, fasciné. L'émigration c'est la précarité et le travail sans répit. Mais aussi l'expérience de la xénophobie et de l'antisémitisme, les changements de noms et l'intégration progressive qui fait de l'étudiant solitaire le chef de famille à l'identité changeante. Tout est à refaire pendant la deuxième guerre mondiale et l'Occupation qui transforment l'homme mûr et enfin enraciné, en un réfugié à nouveau méprisé et menacé. L'émotion et le lyrisme sont constamment maîtrisés dans ce récit précis et efficace où les compromis successifs sont des conditions indispensables au combat acharné pour survivre. A chaque tourmente, répond une « salve d'avenir », une résistance nouvelle.
Alain Sobel est Professeur de Médecine. Formé en immunochimie théorique en Californie, il bascule vers la clinique du Sida dès 1983 devant l’urgence dramatique de l’épidémie qui se déploie. Au Conseil National du Sida, il seconde Françoise Héritier en 1989 avant de lui succéder cinq ans plus tard sur proposition de François Mitterrand.
format : 14x21,5
264 pages
ISBN : 9782356875921
Prix de vente public : 20.00€
Éditions Le bord de l'eau
Brasserie Le Saint-André 2, rue Danton 75006 Paris
Métro - RER station Saint-Michel
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Le chemin de l'exil dans l'Europe en lambeaux des années 20, débute pour Maurice Gros dans les collines de Transylvanie et traverse un empire Austro-Hongrois démembré après la défaite. L'émigration est la seule réponse possible au chambardement politique et social, empreint d'antisémitisme. A Paris, le jeune émigré, qui se croyait conquérant, affronte la solitude, la langue nouvelle, l'étrangeté d'être un intrus dans la cité, sans racines, sans histoire, sans culture commune. Les difficultés des études et de la vie quotidienne éphémère sont les premières épreuves de l'exil parfois suspendu par la rencontre de photojournalistes géniaux, presque tous juifs hongrois. Jeune médecin, Maurice Gros raconte avec étonnement les évènements politiques majeurs, également commentés par les prévisions apocalyptiques de Joseph Roth qu'il écoute, fasciné. L'émigration c'est la précarité et le travail sans répit. Mais aussi l'expérience de la xénophobie et de l'antisémitisme, les changements de noms et l'intégration progressive qui fait de l'étudiant solitaire le chef de famille à l'identité changeante. Tout est à refaire pendant la deuxième guerre mondiale et l'Occupation qui transforment l'homme mûr et enfin enraciné, en un réfugié à nouveau méprisé et menacé. L'émotion et le lyrisme sont constamment maîtrisés dans ce récit précis et efficace où les compromis successifs sont des conditions indispensables au combat acharné pour survivre. A chaque tourmente, répond une « salve d'avenir », une résistance nouvelle.
Alain Sobel est Professeur de Médecine. Formé en immunochimie théorique en Californie, il bascule vers la clinique du Sida dès 1983 devant l’urgence dramatique de l’épidémie qui se déploie. Au Conseil National du Sida, il seconde Françoise Héritier en 1989 avant de lui succéder cinq ans plus tard sur proposition de François Mitterrand.
format : 14x21,5
264 pages
ISBN : 9782356875921
Prix de vente public : 20.00€
Éditions Le bord de l'eau
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Émigration,
Histoire,
Littérature,
Soirée des Mardis hongrois
Le compositeur Béla Bartók mis à l'honneur
"Le Conservatoire à rayonnement
départemental d'Agen (CRDA) met l'accent cette semaine sur un
compositeur hongrois moins connu que Franz Liszt, certes, mais tout
autant génial.
Béla Bartók ne vous évoque peut-être pas grand-chose,
à moins que vous ne soyez des mélomanes avertis. Pianiste et
compositeur hongrois, il sera mis à l'honneur dans notre ville pour
cette deuxième moitié du mois.Samedi après-midi, les élèves du Conservatoire à rayonnement départemental d'Agen (CRDA) ont fait découvrir ses œuvres au public, lors de l'audition qui ouvrait l'événement." La suite sur lepetitbleu.fr
Iván Fischer et l´Orchestre du Festival de Budapest (BFZ): une mise en bouche avant d´aborder la saison 2019-2020.
Par Pierre Waline
"Il l´appelle son „appartement de scène” (színházlakás): le logement de famille où Iván Fischer passa son enfance, situé face à l´Opéra. Bien qu´il n´y réside plus, le chef hongrois a décidé de le garder tel quel pour en faire un lieu de rencontres. D´autant plus accueillant qu´il offre un cadre intime.
C´est là que le chef hongrois nous a reçus autour d´une collation pour nous présenter le programme de l´orchestre du Festival de Budapest (BFZ) pour la saison 2019-20. En compagnie de son nouveau directeur, l’Allemand Martin Hoffmann et de son adjointe Orsolya Erdődy. Présentation de presse marquée par le mot de ralliement: „Partageons pleinement la communauté !” („Éljük át a közösséget!”), leitmotiv choisi pour accompagner cette nouvelle saison." La suite sur francianyelv.hu
"Il l´appelle son „appartement de scène” (színházlakás): le logement de famille où Iván Fischer passa son enfance, situé face à l´Opéra. Bien qu´il n´y réside plus, le chef hongrois a décidé de le garder tel quel pour en faire un lieu de rencontres. D´autant plus accueillant qu´il offre un cadre intime.
C´est là que le chef hongrois nous a reçus autour d´une collation pour nous présenter le programme de l´orchestre du Festival de Budapest (BFZ) pour la saison 2019-20. En compagnie de son nouveau directeur, l’Allemand Martin Hoffmann et de son adjointe Orsolya Erdődy. Présentation de presse marquée par le mot de ralliement: „Partageons pleinement la communauté !” („Éljük át a közösséget!”), leitmotiv choisi pour accompagner cette nouvelle saison." La suite sur francianyelv.hu
La liberté universitaire menacée en Hongrie?
"À deux mois des élections européennes, le premier ministre hongrois, Viktor Orbán, apparaît comme le leader d’une Europe opposée à l’immigration, au multiculturalisme et au fédéralisme européen. Simple représentant d’une droite autoritaire ou d’un véritable mouvement qui veut redonner sa place à une Europe centrale méprisée ? Le Devoir est allé prendre le pouls de ce petit pays guère plus populeux que le Québec. Dernier de trois textes.
L’homme
n’a rien perdu de sa superbe. Au-dessus de son bureau trône une photo
de lui en compagnie du président américain Barack Obama. Loin, bien loin
de cette époque où il a voulu devenir premier ministre du Canada,
Michael Ignatieff est aujourd’hui recteur de la Central European
University (CEU) à Budapest. Un peu comme son grand-père, George Monro
Grant, qui fut président de l’Université Queen’s à Toronto. Ou encore
cet arrière-grand-père, Pavel Nicolaïevitch Ignatiev, qui fut ministre
de l’Éducation sous Nicolas II." La suite sur ledevoir.com
Libellés :
Enseignement supérieur,
Libertés,
Université
La CEDH ordonne à la Hongrie de nourrir tous les migrants en détention
"La législation hongroise n'oblige pas les autorités à nourrir les
personnes majeures retenues dans les zones de transit. Les adultes
déboutés de leur demande d’asile ne reçoivent pas de nourriture
gratuite, car elles sont considérées comme immigrants clandestins
Le 15 mars, la Cour a de nouveau ordonné au gouvernement hongrois de donner de la nourriture à tous les migrants en détention dans la zone de transit à la frontière méridionale de la Hongrie . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)
Le 15 mars, la Cour a de nouveau ordonné au gouvernement hongrois de donner de la nourriture à tous les migrants en détention dans la zone de transit à la frontière méridionale de la Hongrie . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)
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Hongrie : « Deux racistes décorés la même année, ça fait beaucoup »
"Parmi les personnalités décorées à l'occasion de la fête nationale
par le ministre des Ressources humaines, Miklós Kásler, on trouve deux
personnes controversées. Au grand dam de la principale organisation
représentative des juifs de Hongrie.
« Deux racistes la même année, cela fait beaucoup. A notre avis, cela devrait être dilué un peu. Nous demandons au gouvernement de ne décorer qu'un seul raciste lors de la prochaine fête nationale, c'est largement suffisant pour une commémoration ». L’Association des communautés juives hongroises, le Mazsihisz, a choisi l’ironie pour faire part de sa réprobation . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)
« Deux racistes la même année, cela fait beaucoup. A notre avis, cela devrait être dilué un peu. Nous demandons au gouvernement de ne décorer qu'un seul raciste lors de la prochaine fête nationale, c'est largement suffisant pour une commémoration ». L’Association des communautés juives hongroises, le Mazsihisz, a choisi l’ironie pour faire part de sa réprobation . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)
mardi 19 mars 2019
Laszlo Nemes, sous les chapeaux le chaos
" « Sunset » le nouveau film du réalisateur Hongrois nous tend un miroir où convergent progrès et régression.
Voilà une œuvre qui prolonge à sa manière, celui du langage purement cinématographique, une part des échanges entendus entre le président Emmanuel Macron et une soixantaine d’intellectuels sur cette antenne. Un film qui fait écho aux grandes interrogations de notre temps et trouve un espace non seulement pour les formuler, mais pour que nous nous les formulions. Nous spectateurs.
« Sunset » qui sortira en salle demain n’est pas un film qui pratique le fléchage. Laszlo Nemes, jeune réalisateur hongrois, Grand Prix à Cannes en 2015 pour « Le Fils de Saul », n’y livre ni sa vision de l’histoire ni son regard sur le régime autoritaire de Viktor Orban. Mais à travers cette fresque dans la Budapest des années 1910, on aura rarement aussi bien senti l’ambivalence qui nous traverse aujourd’hui." La suite et à écouter sur franceculture.fr
Voilà une œuvre qui prolonge à sa manière, celui du langage purement cinématographique, une part des échanges entendus entre le président Emmanuel Macron et une soixantaine d’intellectuels sur cette antenne. Un film qui fait écho aux grandes interrogations de notre temps et trouve un espace non seulement pour les formuler, mais pour que nous nous les formulions. Nous spectateurs.
« Sunset » qui sortira en salle demain n’est pas un film qui pratique le fléchage. Laszlo Nemes, jeune réalisateur hongrois, Grand Prix à Cannes en 2015 pour « Le Fils de Saul », n’y livre ni sa vision de l’histoire ni son regard sur le régime autoritaire de Viktor Orban. Mais à travers cette fresque dans la Budapest des années 1910, on aura rarement aussi bien senti l’ambivalence qui nous traverse aujourd’hui." La suite et à écouter sur franceculture.fr
La Hongrie, un pays qui se vide de ses forces vives
"À deux mois des élections européennes, le premier ministre hongrois, Viktor Orbán, apparaît comme le leader d’une Europe opposée à l’immigration, au multiculturalisme et au fédéralisme européen. Simple représentant d’une droite autoritaire ou d’un véritable mouvement qui veut redonner sa place à une Europe centrale méprisée ? Le Devoir est allé prendre le pouls de ce petit pays guère plus populeux que le Québec.
« Je
fais partie de ces dizaines de milliers de Hongrois qui ont dû s’exiler
pour travailler. » À 36 ans, Ferenc Laczo est professeur assistant
d’histoire à l’Université de Maastricht, aux Pays-Bas. Après avoir aussi
travaillé à Gênes, en Italie, voilà près d’une décennie qu’il vit en
exil avec sa femme et son fils. Cet enfant de Budapest a pourtant été
formé à grands frais par son pays, où la qualité de la formation
universitaire est reconnue. « Pourtant, dit-il, en Hongrie, les plus
talentueux et les mieux formés s’en vont par dizaines de milliers. On
assiste à un véritable exode. »" La suite sur ledevoir.com
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Émigration,
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Minorités,
Roms
Christchurch : « la haine ne connaît pas de frontières », déplore Viktor Orbán
"Le dirigeant hongrois, porte-voix majeur de la théorie du « grand
remplacement » qui a inspiré le terroriste de Christchurch, a adressé un
message de condoléances aux autorités néo-zélandaises. Le polémiste du
Fidesz Zsolt Bayer voit lui dans cette tragédie un complot destiné à
embarrasser le mouvement anti-immigration dans la perspective des
élections européennes.
Après l'attentat qui a coûté la vie à cinquante personnes, des immigrés musulmans pour la plupart, vendredi 15 mars à Christchurch en Nouvelle-Zélande, le président de la République hongroise János Áder a . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)
Après l'attentat qui a coûté la vie à cinquante personnes, des immigrés musulmans pour la plupart, vendredi 15 mars à Christchurch en Nouvelle-Zélande, le président de la République hongroise János Áder a . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)
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Terrorisme
À la vie, à la mort ! Les alliés slovènes de Viktor Orbán pourraient le suivre hors du PPE
"Alors que de nombreuses voix du Parti populaire européen demandent
l'exclusion du Fidesz de Viktor Orbán, plusieurs ténors de la droite
slovène ont rappelé leur soutien au premier ministre hongrois. A deux
jours de la décision de l'assemblée politique du PPE, le principal parti
d'opposition de Slovénie, le SDS de Janez Janša, menace même de quitter
la formation européenne si son allié hongrois en était écarté.
Ljubljana, correspondance - Alors que la brouille est consommée entre le président de la Commission européenne Jean-Claude Juncker et Viktor Orbán, le Fidesz est désormais sous la menace d'être exclu du Parti populaire européen (PPE), mais cette option ne fait pas l'unanimité parmi les partis membres..." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)
Ljubljana, correspondance - Alors que la brouille est consommée entre le président de la Commission européenne Jean-Claude Juncker et Viktor Orbán, le Fidesz est désormais sous la menace d'être exclu du Parti populaire européen (PPE), mais cette option ne fait pas l'unanimité parmi les partis membres..." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)
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lundi 18 mars 2019
Cinéma - Délivrez-nous du mal, réalisé par Pál Sándor 17 avril 2019 à 19h30 Institut hongrois
Institut hongrois 92, rue Bonaparte 75006 Paris
Réservation obligatoire : reservation@instituthongrois.fr
+33 1 43 26 06 44
Réservation obligatoire : reservation@instituthongrois.fr
+33 1 43 26 06 44
Littérature et cinéma en Hongrie (1949-2000) : Passages, résonances, surgissements
Szabadíts meg a gonosztól de Pál Sándor - 1978 - 86 min, VOSTFR
Ce cycle vise à questionner l’adaptation
cinématographique d’œuvres littéraires en Hongrie à partir de 1949 et
jusqu’au début des années 2000. Explorant trois périodes historiques
(empire austro-hongrois, Seconde Guerre mondiale, période communiste),
les films proposés cette année donnent l’occasion d’interroger l’enjeu
du temps historique au cinéma. Dans quelle mesure, à partir de récits
littéraires, les cinéastes poétisent-ils l’Histoire, entremêlant dans le
présent du film le temps d’avant et le « temps d’après » (J. Rancière) ?
Cycle conçu et animé par Mario Adobati, Damien Marguet et Mathieu
Lericq.
Alors que Budapest est en état de siège
et que les croix fléchées font régner la terreur, la responsable du
vestiaire d’une école de danse part avec sa famille à la recherche d’un
manteau volé et croise dans son périple une série de personnages
malfaisants et corrompus. Conçue par l’écrivain Iván Mándy, cette
fresque dépeint avec férocité la déchéance morale d’une société plongée
dans la guerre et la terreur. Dessinant avec Le Cinquième Sceau (Az
ötödik pecsét, 1976) de Zoltán Fábri et Confiance (Bizalom, 1980)
d'István Szabó une sorte de trilogie sur cette période historique, le
film de Pál Sándor répond à sa manière à la question qui traverse ces
trois films : comment sauvegarder sa dignité dans une époque de barbarie
?
Séance présentée par Damien Marguet.
Entrée libre
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