"D’une manière générale, le peuple ne s’exprime pas sur les raisons de son vote. Mais il est clair, qu’il en avait plein les bottes de la corruption, de la pauvreté et des promesses non tenues par les gouvernements post-communistes et les libéraux des années 90. Il croit en Orbán, parce que lui a une vision", assène András Lánczi, professeur de philosophie politique.
De son bureau au design moderne, situé dans un des bâtiments de l’Université Corvinus de Budapest, il a une vue imprenable sur le Danube. Si, en tant qu’universitaire, il se défend de tout parti pris, il est pourtant considéré comme une des figures intellectuelles majeures de la Fidesz [le parti libéral-conservateur du Premier ministre Viktor Orbán]. Au cours de l’entretien, son téléphone sonne à trois reprises." La suite sur presseurop.eu
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