Par Pierre Waline
„Rajoutez deux lettres à Paris et vous aurez le Paradis”disait Jules Renard. Boutade habile, certes, mais exagérée. Si Paris peut faire l’objet de mille comparaisons parfois des plus flatteuses, ce n’est pas au „paradis” que je penserais pour la qualifier. Car, en regard des nombreuses déclarations d’amour dont elle peut se flatter, Paris peut également faire l’objet de critiques, parfois dures et amères. Quoi qu’il en soit, aimée ou tenue en aversion (...jalousée?...), voilà une ville qui ne laisse pas indifférent. S’il fallait dresser un catalogue des ouvrages consacrés dans le monde à Paris, celui-ci occuperait sans nul doute plusieurs volumes bien épais. Les ouvrages disponibles en langue hongroise n’étant pas en reste. Mais pour combien d’ouvrages de réelle qualité? Parmi ceux récemment parus, je citerai la touchante confession de Kati Marton „Párizs, szerelmeim története” („Paris, ville de mes amours”), véritable déclaration d’amour." La suite sur francianyelv.hu
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