par Catherine Feidt
"Après une escale à Prague je débarquai à Budapest dans le no man’s land, le désert mental que je ressentais chaque fois que j’arrivais dans un nouveau pays : le temps de parcourir le trajet entre la sortie de l’avion et la sortie de l’aéroport.
Le temps où les dernières impressions de l’endroit que l’on quitte doivent laisser la place aux premières impressions de l’endroit que l’on trouve. Un moment de vide, d’attente, d’insécurité et d’excitation. J’étais d’autant plus perplexe que je ne savais pas où j’arrivais, qui j’allais rencontrer, comment je reconnaîtrais les personnes qui m’attendaient. Et pourtant confiante, surtout confiante en moi-même et optimiste, j’avançais avec assurance entre les deux rangées de militaires armés de leur kalachnikov." La suite sur hu-lala.org
samedi 10 décembre 2016
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