"Un pied dans la danse, un autre dans la diffusion, le danseur et
chorégraphe hongrois installé à Genève est sur tous les fronts. A
Antigel et aux Journées de danse contemporaine suisse, il cosigne Creature avec József Trefeli.
Ne vous fiez pas à son allure placide. Derrière le regard bleu pâle et
la douceur des mots du danseur et chorégraphe se cache un fonceur
invétéré. Ce qui se vérifie sur scène dans Creature, que Gabor
Varga cosigne avec József Trefeli, encore à voir ce vendredi au
Palladium (Genève) dans le cadre d'Antigel et des Journées de danse
contemporaine suisse. L'anecdote qu'il nous raconte dans un café
genevois, face au MEG où il avait déjà présenté la pièce,
est assez éloquente. On remonte à l'enfance de l'artiste hongrois en
Ukraine, où il naît au début des années 1980. Là, à l'école, la musique
provenant d'une salle de classe l'interpelle. On y répète un spectacle
de danse. «Si ça t'intéresse, viens nous rejoindre», lui proposent les
participants. Il a tout juste sept ans. Le soir même, le jeune garçon
s'inscrit dans la petite école d'art juste en face, de sa propre
initiative et sans l'autorisation de ses parents. «Quand je décide
quelque chose, je peux aller très loin», sourit-il." La suite sur lecourrier.ch
samedi 4 février 2017
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