"Viktor Orbán, sorti renforcé des législatives d’avril, accélère depuis
son travail de sape contre la démocratie. Les oppositions parlementaires
comme la société civile peinent à trouver la meilleure manière de
s’opposer au premier ministre hongrois. Enquête à Budapest.
Quatre-vingts artistes se sont rassemblés par une chaude fin
d’après-midi, un dimanche d’octobre, sur le parvis du Parlement à
Budapest. Beaucoup d’écrivains parmi eux, comme György Dragomán, qui a
passé son enfance dans la Roumanie de Ceausescu, ou encore le génial
János Lackfi, dont la satire Homo hungaricus est traduite dans des dizaines de langues." La suite sur mediapart.fr (article payant)
dimanche 4 novembre 2018
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