"Le 1er janvier, la Hongrie va occuper, pour la première fois de son histoire, la présidence semestrielle tournante de l’Union européenne dont elle est membre depuis 2004. L’ennui, c’est qu’un nouveau « coup de Budapest », moins sanglant, mais tout aussi liberticide, vient d’y avoir lieu, un coup mené non par les communistes, mais par les populistes conservateurs du Fidesz. En clair, les Vingt-sept vont être présidés par un pays qui n’est plus une démocratie parlementaire classique, mais, à tout le moins une démocratie autoritaire si ce n’est déjà une dictature molle." La suite sur bruxelles.blogs.liberation.fr
vendredi 24 décembre 2010
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