"Le narrateur du dernier roman de Pablo Urbanyi, né en Hongrie et exilé en Argentine tout comme l'auteur, déroule ses souvenirs d'une enfance vécue dans l'Europe de l'Est pendant la Seconde guerre mondiale. L'horreur des scènes se mêle à l'ingénuité restituée de celui qui n'était alors qu'un jeune garçon.
Il y a ce silence d’avant la catastrophe, que les personnages apprennent à reconnaître parce que c’est un «autre silence», une absence de bruit qui s’épaissit : les bombardements auraient donc l’absurde politesse de s’annoncer ? À Ipolysag, village de Hongrie ravagé par la Seconde Guerre mondiale, le petit Fénix observe les adultes, gouvernés par l’obsession de «ce qui va se passer». Exilé en Argentine avec ses parents, il tente, quatre décennies plus tard, de se remémorer ces années d’enfance abîmée." La suite sur magazine-litteraire.com
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mercredi 29 décembre 2010
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