vendredi 17 décembre 2010
La castration du quatrième pouvoir en Hongrie
"Après avoir refusé de corriger un article paru en fin de semaine dernière, commentant la fonction d'Annamária Szalai, présidente du Conseil national des Médias (CNM), le journal Népszabadság s'est immédiatement attiré les menaces de l'autorité. Si la réforme des médias hongrois était déjà en place, le premier quotidien libéral de Hongrie (comprendre "social -libéral") serait sous le coup d'une amende de plusieurs dizaines de millions de forints et aurait déjà mis la clé sous la porte." La suite sur hu-lala.org
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La Hongrie va-t-elle suivre la voie de la Chine?... Je suis inquiète et honteuse pour mon pays d'origine qui retourne sous le chape de plomb de la censure que j'ai bien connue... et que Orbán combattait jeune...
RépondreSupprimerOui Flora, c'est d'une extrême gravité. La liberté de la presse est un des piliers essentiels de la démocratie. Mais Orbán comme les autres politiques qui ont dirigé et dirigent encore le pays ont beaucoup appris de leur formation sous l'ancien régime stalinien. Je croyais innocemment qu'ils n'avaient retenu que les méthodes de la corruption, mais il s'avère qu'ils ont conservé les autres anciens réflexes aussi.
RépondreSupprimerJe vous souhaite néanmoins de belles fêtes de fin d'année.