"J’ai lu avec intérêt l’Humeur d’Olivier Guez intitulée « Café New York »
parue en dernière page du « Point » daté du 11 juin 2015, où l’auteur
cite les propos que lui a tenus l’écrivain Péter Esterházy.
J’ai la
plus grande admiration pour l’œuvre littéraire de Péter Esterházy, mon
cousin au quatrième degré (sa grand-mère est née Károlyi), et
l’exceptionnelle qualité des traductions françaises de ses ouvrages le
rend particulièrement accessible au public français, ce dont je me
réjouis.
En revanche, Péter s’avère être un piètre observateur de la
vie politique hongroise. Je le cite : « La presse n’est pas libre, les
médias publics sont les porte-voix du gouvernement, les pouvoirs publics
insuffisamment séparés : le gouvernement occupe l’Etat hongrois. Il ne
censure pas les artistes mais exerce indirectement sur eux des pressions
en contrôlant les circuits financiers, les subventions aux théâtres,
aux maisons d’édition et aux producteurs de films… »" La suite sur facebook.com
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