"Un détenu condamné à la perpétuité ne doit pas attendre 40 ans avant
de pouvoir espérer un réexamen de sa peine, a estimé mardi la Cour
européenne des droits de l'Homme, condamnant la Hongrie pour ne pas
avoir offert assez de perspectives de libération à des détenus.
La CEDH avait été saisie par deux détenus condamnés pour meurtre à
des peines de réclusion à perpétuité sans possibilité de libération
conditionnelle. Ces détenus alléguaient que leur peine constituait un
traitement inhumain et dégradant, car la seule perspective qui leur
était offerte était celle d'une éventuelle grâce présidentielle au bout
de 40 ans de détention." La suite sur lorientlejour.com
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