"Alors que le Centre Pompidou expose ses célèbres Graffiti, retour sur
la carrière de Brassaï et sa cote sur le marché de l’art. Une courbe
stable. Un pic en 2006.
Paris, la nuit. Qui mieux que Brassaï a su capter la magie de la
capitale une fois la nuit tombée ? Né Gyula Halász, le 9 septembre 1899,
à Brașov (Autriche-Hongrie), d’un père hongrois et d’une mère
arménienne, le jeune Gyula déménage très tôt à Paris avec ses parents –
en 1903, son père étant appelé à enseigner la littérature à la Sorbonne.
Gyula Halász s’envole ensuite pour Budapest où il étudie à l’École des
Beaux-Arts puis est enrôlé dans la cavalerie austro-hongroise pendant la
Première Guerre mondiale. C’est à Berlin qu’il pose ensuite ses
valises, en 1921, où il poursuit ses études d’art – à l’académie des
beaux-arts Berlin-Charlottenburg – tout en gagnant sa vie comme
journaliste. Il y rencontre Kandinsky, puis forge son pseudonyme en
1923, tiré de son lieu de naissance. Brassaï signifie « de Brașov »." La suite sur artmediaagency.com
vendredi 4 novembre 2016
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