Réplique du Premier ministre hongrois, Viktor Orban : « Les Allemands nous ont déjà envoyé la cavalerie une fois [en 1944] sous la forme de tanks […]. Ce n’était pas une bonne idée. » Volontiers provocateur, n’hésitant pas, dans une rhétorique nationaliste, à fustiger l’Union européenne – qu’il a été jusqu’à comparer à l’Union soviétique – le chef de l’exécutif hongrois agace profondément Bruxelles." La suite sur temoignagechretien.fr
samedi 1 juin 2013
La démocratie malmenée
"Une
récente réforme de la constitution, adoptée par le parlement hongrois,
affaiblit les pouvoirs de la Cour constitutionnelle. Bruxelles
s’inquiète.
Nous ferons tout pour ramener la Hongrie dans le droit chemin,
sauf envoyer la cavalerie », a déclaré le 20 mai dernier la chancelière
allemande Angela Merkel, à propos des récents changements
constitutionnels en Hongrie.
Réplique du Premier ministre hongrois, Viktor Orban : « Les Allemands nous ont déjà envoyé la cavalerie une fois [en 1944] sous la forme de tanks […]. Ce n’était pas une bonne idée. » Volontiers provocateur, n’hésitant pas, dans une rhétorique nationaliste, à fustiger l’Union européenne – qu’il a été jusqu’à comparer à l’Union soviétique – le chef de l’exécutif hongrois agace profondément Bruxelles." La suite sur temoignagechretien.fr
Réplique du Premier ministre hongrois, Viktor Orban : « Les Allemands nous ont déjà envoyé la cavalerie une fois [en 1944] sous la forme de tanks […]. Ce n’était pas une bonne idée. » Volontiers provocateur, n’hésitant pas, dans une rhétorique nationaliste, à fustiger l’Union européenne – qu’il a été jusqu’à comparer à l’Union soviétique – le chef de l’exécutif hongrois agace profondément Bruxelles." La suite sur temoignagechretien.fr
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