"Sur un bout de terre inhospitalier à la frontière serbo-hongroise, un
camp de fortune a grossi au fil des semaines, où des dizaines de
migrants attendent d'entrer en Hongrie, un pays qui ne veut pas d'eux.
"Les familles rentrent, mais pour les hommes seuls, les chances sont
faibles", constate un Syrien face à l'imposante clôture barbelée érigée
par Budapest l'été dernier, le long des 175 kilomètres de frontière avec
la Serbie." La suite sur lepoint.fr
vendredi 13 mai 2016
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