"Avec une dizaine de codétenus habillés d’une combinaison kaki, Lajos est
à son poste, dans la toute petite usine à l’intérieur de la prison de
Marianosztra, une parmi la vingtaine que compte la Hongrie. Le bruit de
la rotation des machines est très pénible. Ce trentenaire à la carrure
imposante, qui porte un casque pour protéger son audition, perfore de
grandes bandes de fer pour les rendre aussi coupantes que des lames de
rasoir et les transformer en barbelés. « Personne n’aime travailler dans une prison, explique-t-il. Mais les conditions sont pas mal. C’est mieux d’être là que dans la fabrique de bois à côté, à cause de la poussière. »" La suite sur lemonde.fr (version payante)
vendredi 13 mai 2016
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