"En trente ans, le chef hongrois a assis la réputation du Budapest
Festival Orchestra. Reportage dans les coulisses de la formation, en
amont d’un concert donné jeudi prochain à Genève avec «Le Chant de la
terre» de Mahler.
Budapest, janvier 2017. Des plaques de glace dérivent sur le Danube.
Elles dansent, s’assemblent, se décomposent à la manière d’une
symphonie. Iván Fischer, lui, répète la Cinquième de Beethoven dans un
faubourg un peu excentré, à l’autre bout de la ville. Le décor, tout
d’abord: un vieux cinéma au charme délicieusement désuet reconverti en
salle de répétition. La manière, ensuite: il parle d’une voix douce,
mais ferme. Parfois, il bascule du hongrois à l’anglais. On croirait
voir une grande famille de musiciens autour du chef qui leur adresse la
parole comme s’ils se connaissaient depuis toujours." La suite sur letemps.ch
samedi 4 mars 2017
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