"Dans un petit atelier de l’est du pays, Sandor Szebenyi et ses collègues entretiennent la flamme du mythique cyclomoteur français dont ils fabriquent des pièces détachées. Le site “Telex” raconte l’épopée du Solex et ses liens magyars remontant aux années 1990.
On disait du Solex qu’il démarrait dès que l’odeur d’essence se dégageait. Ce cyclomoteur culte français était autrefois utilisé par les étudiants, les femmes au foyer, les curés, les religieuses, les intellectuels parisiens, les fonctionnaires et des vedettes telles que Brigitte Bardot. Pour beaucoup, il incarne autant un symbole de la France que la baguette ou la Citroën 2CV. Près de quatre décennies après la fin de sa production, le fait qu’il existe encore des modèles en état de marche dans le monde entier est également dû à une manufacture familiale de Berettyoujfalu.
À l’ère des vélos électriques et des trottinettes, il est facile d’accéder à un moyen de transport permettant de parcourir de courtes distances à moindre coût et en peu de temps sans effort. Lorsque la motorisation se développa, les scooters et cyclomoteurs se sont avérés pratiques aussi bien dans les grandes villes qu’en milieu rural. En France, au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, il n’était pas courant d’acheter une voiture, d’autant plus avec les problèmes d’approvisionnement en carburant et le rationnement de l’essence. Dans ce contexte, un petit moteur léger, économique et peu gourmand avait toutes les chances de connaître un triomphe." La suite sur courrierinternational.com (articke payant)
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