Source: Cabinet du Premier ministre
Bien sûr que je mange toujours de la puliszka (polenta), et aujourd’hui encore, je ne rentrerai pas chez moi sans avoir goûté aux mici (grillades transylvaniennes). Une bonne soupe csorba, ça, c’est indispensable. Comme si je faisais partie de votre vie quotidienne.
Zoltán Kádár : Je suis ravi de voir que vous vous sentez aussi bien en Transylvanie, même au point de ne pas vouloir rentrer chez vous ! Et je suis sûr que beaucoup seraient heureux si vous restiez ici.
Je resterais volontiers, si seulement mon travail me le permettait.
Bonjour à tous les spectateurs de Mélyvíz sur Transzilván ! Je suis Zoltán Kádár. Notre invité aujourd’hui est Viktor Orbán, Premier ministre de Hongrie. Monsieur le Premier ministre, merci beaucoup d’avoir accepté notre invitation !
C’est moi qui vous remercie pour votre accueil.
Nous sommes ici, à Transzilván. Qu’est-ce que ce mot, Transzilván, évoque pour vous ? Ressentez-vous un « esprit transylvanien » ? Vous êtes venu nous rendre visite à de nombreuses reprises.
Et comment ! La Hongrie, ou disons le monde hongrois, est un univers très varié. Même chez nous, ce n’est pas uniforme. Quand on va en Zala ou en Szatmár, ce sont deux ambiances complètement différentes. Alors bien sûr qu’il existe un esprit transylvanien ! Le grand monde hongrois a sa partie de Voïvodine, celle du Haut-Pays, et bien sûr, sa partie transylvanienne. Donc oui, il y a bel et bien une âme transylvanienne. Et d’ailleurs, je pense que cet esprit dépasse même la communauté hongroise, mais cela, c’est plutôt à vous d’en juger, car à mon sens, même les Roumains le partagent." La suite sur ministerelnok.hu
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