vendredi 31 octobre 2025

L’Opéra national de Hongrie réinvente Lohengrin dans un univers steampunk

Lohengrin

"L’Opéra national de Hongrie prépare une nouvelle production du Lohengrin de Richard Wagner, mise en scène par András Almási-Tóth et dirigée par Martin Rajna. L’opéra sera présenté dans une esthétique steampunk, transposant l’histoire dans un cadre conceptuel inspiré par le futurisme du XIXe siècle.

Cette production à grande échelle implique plus de 250 participants, dont l’Orchestre, le Chœur et le Chœur d’enfants de l’Opéra national de Hongrie, et sera présentée avec une double distribution, internationale et hongroise.

Un nouveau cadre conceptuel

Bien que l’intrigue originale de Wagner se déroule dans un environnement chevaleresque à Anvers au Xe siècle, les créateurs de cette nouvelle production la considèrent comme « une histoire profondément romantique du XIXe siècle ». Ils ont par conséquent transposé le décor à l’époque même de Wagner." La suite sur martincid.com

Un nouveau quartier général multinational déployable de composante Opérations spéciales est pleinement opérationnel

"Le commandement régional de composante Opérations spéciales (R-SOCC), dirigé par la Hongrie, a officiellement atteint sa capacité opérationnelle totale, ce qui marque une étape importante dans la coopération régionale en matière de défense engagée entre l’Autriche, la Croatie, la Hongrie, la Slovaquie et la Slovénie. Ces cinq pays disposent à présent d’un quartier général multinational pleinement déployable qui leur permet de commander ensemble des missions de forces d’opérations spéciales et de contribuer à des opérations dirigées par l’OTAN ou par l’Union européenne, selon les besoins.

Le R-SOCC vient renforcer la capacité des pays participants à réagir rapidement et efficacement ; il permet en effet à chacun d’entre eux d’utiliser ses propres forces spéciales de manière indépendante tout en se tenant prêt à opérer en parfaite harmonie avec les forces des autres pays dans le cadre d’une structure de commandement multinationale." La suite sur nato.int 

Ioana, citoyenne du monde et la demoiselle d’Avignon

"Pourquoi écrire dans un journal francophone d’un livre écrit en hongrois et qui traite de la Roumanie ? Parce que le livre est très intéressant et beaucoup de nos lecteurs lisent en hongrois. 

Présentation du livre : La malédiction du trésor volé est un roman de Béla Nóvé qui traite de l’histoire de la Transylvanie du siècle dernier, donc de la Roumanie communiste et sa police secrète, la tristement célèbre Securitate. Par les destins parallèles ou croisés des Transylvains, les aspirations, les luttes et les échecs des générations, il nous plonge dans des petites communautés multiethniques encore largement rependus de Transylvanie. Ses héros sont les survivants et les victimes innocentes de guerres perdues, de révolutions et de dictatures : des juifs condamnés aux travaux forcés, des aristocrates déportés, des Saxons de Transylvanie exilés ou envoyés au Goulag, des bergers roumains et des gitans nomades, qui, d'une manière ou d'une autre, tentent tous de survivre aux épreuves de décennies de terreur et de misère, en se trahissant ou en s'accrochant secrètement les uns aux autres avec héroïsme. Le trésor volé est un bijou flamand du Moyen Âge qu’une malédiction suit, touchant chaque propriétaire à travers les générations, y compris un officier de la sécurité d'État qui l’a détourné. Une certaine satisfaction ne viendra qu'en 1989, lors du Noël sanglant de la révolution roumaine, lorsque Ioana Elias, une étudiante qui avait émigré en France en 1968, revient après vingt ans dans sa ville natale, Brasov, siège historique des Saxons, à bord d'un convoi humanitaire en provenance de Nice.

Présentation de l’auteur : Béla Nóvé est historien, écrivain, réalisateur de documentaires. Né en 1956, il vit à Budapest. Depuis 1977, il a publié de nombreux articles, études, recueils de sources et monographies, a été scénariste, dramaturge et réalisateur d'une douzaine de documentaires et d'émissions pour la télévision. À partir de 1980, membre actif de l'opposition démocratique hongroise, il a publié des samizdats, notamment les premières traductions hongroises de George Orwell et Arthur Koestler, il a entretenu des relations étroites avec l'émigration occidentale et les organisations de défense des droits de l'homme Helsinki Watch et Amnesty International. Au début du millénaire, il a donné des cours d'histoire culturelle et de théorie de l'art à des étudiants américains et hongrois de niveau master (ELTE-UCLE Central European Studies ; MOME Moholy-Nagy University of Art and Design). Au cours des dernières décennies, il a mené des recherches approfondies en Hongrie et à l'étranger sur les sources encore inexplorées de l'histoire de l'émigration hongroise. À l'automne 2016, il a publié un documentaire et une monographie indépendante intitulés « Patria nostra» concernant des adolescents réfugiés de 1956 dans la Légion étrangère française. La deuxième édition augmentée de son manuel sur l'histoire de l'émigration sera publiée début 2026 par la Bibliothèque nationale Széchényi." La suite sur jfb.hu

Orban rencontrera Trump le vendredi 7 novembre : la coopération russo-américaine et économique sera à l'ordre du jour

"Des accords dans les secteurs de l'énergie et de la finance devraient être conclus lors du sommet.

Le Premier ministre hongrois Viktor Orban sera reçu le 7 novembre à la Maison Blanche par l'ancien président des États-Unis Donald Trump. Le chef de cabinet du gouvernement hongrois l'a annoncé. Gergely Gulyas, Il a précisé que les préparatifs de la réunion sont déjà en cours. Selon Gulyas, l'objectif principal des discussions est de renforcer les relations bilatérales entre la Hongrie et les États-Unis et de promouvoir l'économie hongroise." La suite sur agenzianova.com

« Les Hongrois n'iront pas à la guerre » - Orban entame une tournée pacifiste

"Le Premier ministre hongrois a averti que le risque d'extension de la guerre est plus grand que jamais, soulignant que certains Européens souhaitent s'impliquer dans des conflits.

Le Premier ministre hongrois, Viktor Orban, a annoncé qu'il entamerait une tournée anti-guerre à travers le pays, visant, selon ses dires, à encourager la population à se ranger « du côté de la paix »." Source : slobodenpecat.mk

Élargissement de l'UE : la Hongrie fait le tri

"La Hongrie s'oppose à l'adhésion de l'Ukraine à l'UE, menaçant d'opposer son veto, mais Budapest n'est pas totalement opposé à l'élargissement de l'UE : Le Premier ministre Orbán soutient les Balkans occidentaux ainsi que la Moldavie et la Géorgie, dans un exercice d'équilibre complexe.

La Hongrie est connue dans l'Union européenne pour son opposition à la demande d'adhésion de l'Ukraine à l'UE, sa promesse de veto menaçant l'ouverture de chapitres de négociation pour Kiev.

Pourtant, la position hongroise sur l'élargissement représente un équilibre nuancé, car le Premier ministre Viktor Orbán soutient fermement les efforts des pays des Balkans occidentaux pour adhérer à l'UE, ainsi que ceux de la Moldavie et de la Géorgie.

Le gouvernement hongrois a clairement indiqué que la Russie était responsable de l'invasion massive de l'Ukraine et a appelé à un cessez-le-feu immédiat et à des négociations de paix.

La Hongrie fournit de l'aide humanitaire et de l'électricité à l'Ukraine, mais s'oppose à tout soutien financier ou militaire à Kiev." La suite sur euronews.com

jeudi 30 octobre 2025

Ferhat Ait Ali Braham s'entretient avec l'ambassadeur de Hongrie : Elargir les accords de partenariat

"Le ministre de l'Industrie, Ferhat Ait Ali Braham a reçu lundi l'ambassadeur de Hongrie à Alger, Pantos Gyorgy, avec lequel il a évoqué les possibilités offertes dans le domaine de la coopération économique entre les deux pays, a indiqué un communiqué du ministère.
Lors de cette rencontre, M. Ait Ali a mis en exergue la nouvelle orientation économique de l'Algérie en ce qui concerne l'investissement étranger, au mieux de ses intérêts, présentant par la même occasion le plan de relance de l'industrie nationale initié par le gouvernement algérien ainsi que son interaction avec les investisseurs étrangers pour l'étape à venir, notamment les accords de partenariat bilatéral, a ajouté la source." La suite sur elmoudjahid.com

Le chef de l’opposition hongroise Peter Magyar dépose plainte après la diffusion d’une vidéo deepfake

"Le climat politique en Hongrie s’échauffe à l’approche des élections d’avril 2026. Le chef du parti d’opposition TISZA, Peter Magyar, a annoncé mercredi son intention de déposer une plainte pénale contre un proche conseiller du Premier ministre Viktor Orbán, l’accusant d’avoir diffusé une vidéo truquée générée par intelligence artificielle le mettant en scène.

Selon Magyar, la vidéo en question — largement partagée sur les réseaux sociaux — le montre en train de tenir des propos compromettants sur la politique étrangère et la corruption. L’opposant affirme qu’il s’agit d’un deepfake sophistiqué, fabriqué dans le but de porter atteinte à sa réputation et de dissuader les électeurs à quelques mois du scrutin.

« C’est une tentative désespérée du pouvoir pour salir l’opposition et manipuler l’opinion publique », a déclaré Magyar lors d’une conférence de presse à Budapest. Il a ajouté que ses avocats avaient déposé une plainte contre le conseiller politique visé — une figure influente du cercle rapproché d’Orbán — pour diffamation et falsification numérique à des fins électorales." La suite sur entrevue.fr

La Hongrie bloque le verdict de « guerre hybride » de l’UE contre la Biélorussie

"BRUXELLES — Les efforts de l’UE pour adopter une position commune contre la Biélorussie, d’où une vague de ballons envoyés au-dessus de la frontière lituanienne ont cloué au sol des avions et déclenché la fermeture des frontières, sont restés bloqués pendant des jours après les tentatives de la Hongrie d’édulcorer le texte.

Le bloc a fait pression pour qu’une déclaration soit publiée au nom de l’ensemble des 27 pays membres à la suite des incursions de ballons, qui, selon la Lituanie, équivaut à une tactique de « guerre hybride ». Les dirigeants autoritaires de la Biélorussie sont un proche allié de la Russie et ont déjà été accusés d’utiliser la migration irrégulière comme une arme pour semer des troubles au sein de l’UE, s’exposent à des sanctions et à une condamnation internationale.

Cependant, selon un diplomate et deux responsables ayant requis l’anonymat pour parler à L’Observatoire de l’Europe des négociations à huis clos, la Hongrie fait pression pour que le bloc ne publie pas son évaluation selon laquelle les vols en ballons constituent un effort visant à déstabiliser les pays de l’UE." La suite sur observatoiredeleurope.com

« Je ne pensais pas en être capable car c’est une langue difficile » : Le Cognaçais, Jehan Paumero remporte un prix national de littérature en Hongrie

Jehan Paumero est à Cognac cette semaine. Toujours attaché à la ville, il a proposé un « cognac-tonic », lors de la sortie du livre en mai en Hongrie.
CL

"Il a quitté Cognac et la France voilà plus de vingt ans. Aujourd’hui, Jehan Paumero installé en Hongrie, vient de publier son premier livre, une autobiographie récompensée par un prix littéraire national.

« Ma patrie et mon chez-moi » ou « A hazám és az otthonom », en hongrois, titre original du premier livre de Jehan Paumero. Sorti en mai, l’ouvrage a reçu début octobre le prix spécial du jury du prix Margó, un prix littéraire hongrois. Une première pour un livre écrit par un étranger." La suite sur charentelibre.fr (article payant)

https://www.libri.hu/konyv/jehan_paumero.a-hazam-es-az-otthonom.html

En Hongrie, l'intelligence artificielle au profit de l'agriculture

"Les poissons sont élevés dans un système de recirculation d'eau provenant d'une exploitation horticole. L'intelligence artificielle joue un rôle de plus en plus important dans la production agricole et piscicole.

L'intelligence artificielle au profit de l'agriculture : à Szentes, dans le sud de la Hongrie, cette nouvelle technologie est déjà utilisée dans plusieurs fermes durables et respectueuses de l'environnement.

Parmi elles, cette exploitation, spécialisée dans la culture de poissons-chats africains avec un système de recirculation : l'eau circule en permanence entre les animaux et le système de purification. Le secret de son fonctionnement : l'ammoniac émis par le métabolisme des poissons est séparé et transformé en nitrite et en nitrate. Après la purification, environ 90 % de l'eau est renvoyée dans les bassins." La suite sur euronews.com

Le subventionnement de nouveaux réacteurs nucléaires enfin recalé par la justice européenne !

"Le 11 septembre 2025, la Cour de justice de l’Union européenne a annulé l’autorisation de subventionnement public hongrois du projet de nouveaux réacteurs nucléaires « Paks II ». En effet, ce projet qui devait être construit par une filliale de Rosatom et financé via une banque Russe, n’a pas fait l’objet d’appel d’offre — ce qui n’est pas sans rappeler la situation des 6 projets d’EPR2 français.

La persévérance antinucléaire paie !

L’Autriche, pays européen dont la constitution est antinucléaire, a obtenu de la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE) le 11 septembre 2025, l’annulation de l’autorisation du subventionnement du projet « Paks II » de deux réacteurs nucléaires en Hongrie [1] !

La Commission européenne avait autorisé ce subventionnement par sa décision 2017/2112 du 6 mars 2017. Ce projet avait été conclu entre Poutine et Orbán en 2014, en pleine annexion de la Crimée par la Russie. Dans ce litige, le Luxembourg est intervenu pour soutenir l’Autriche dans son pourvoi. Défenderesse, la Commission européenne a été soutenue par la Hongrie bien entendu, mais aussi par une brochette de gouvernements tous plus pronucléaires les uns que les autres, voire fascistes en plus. On y trouve la France de Macron. Faut-il s’en étonner ?" La suite sur sortirdunucleaire.org

Le Fidesz renforce ses liens avec le PiS polonais alors que les relations entre la Hongrie et la Pologne restent tendues

"Le parti hongrois au pouvoir, le Fidesz, renforce ses liens avec le principal parti d’opposition polonais, Droit et Justice (PiS), alors même que les relations officielles entre les gouvernements des deux pays sont au plus bas depuis des années. 

Lundi 27 octobre, l’ancien ministre polonais de la Justice, Zbigniew Ziobro, a reçu un accueil triomphal au cinéma Uránia de Budapest. Membre du PiS et actuellement sous le coup d’une enquête en Pologne, il se tenait sur scène aux côtés du chef de cabinet du Premier ministre hongrois Viktor Orbán, Gergely Gulyás, devant une foule enthousiaste d’environ 400 partisans du parti du Premier ministre, le Fidesz.

La soirée, organisée par le Mathias Corvinus Collegium (MCC) — un think tank conservateur proche du pouvoir — et son hebdomadaire Mandiner, était officiellement consacrée à la projection d’un documentaire intitulé Taking Over. Ce film accuse le gouvernement du Premier ministre polonais Donald Tusk d’avoir pris le contrôle des institutions publiques par des moyens illégaux." La suite sur euractiv.fr

mercredi 29 octobre 2025

Rencontre avec des auteurs hongrois dans le cadre des rencontres littéraires internationales «Meeting» 2025 - 24 novembre 2025 à 19h00 - Inalco, PLC - Amphi 2

Inalco, PLC - Amphi 2
65, rue des Grands Moulins, Paris 75013 

Depuis trente ans, la Maison des Écrivains Étrangers et des Traducteurs (MEET) de Saint-Nazaire organise chaque année des rencontres littéraires internationales "meeting" et remet trois prix littéraires : le Prix Laure-Bataillon de la meilleure œuvre de fiction traduite en français dans l’année, le Prix Laure-Bataillon classique et le Prix de la Jeune Littérature latino-américaine. Chaque année, elle publie la revue littéraire internationale Meet et plusieurs livres bilingues.

En 2025, la Hongrie et le Québec seront les invités d'honneur de ce grand festival. A l'occasion de cet événement, l'Institut Liszt Paris et la Section hongroise de l'Inalco organisent une rencontre littéraire en présence des écrivains hongrois György Dragomán, István Kemény et Benedek Totth, accompagnés de leur interprète Nathalia Zaremba.

La rencontre sera modérée par Ulysse Manhes. 

 István Kemény © Reviczky Zsolt

István Kemény

István Kemény est né en 1961 à Budapest. Lauréat de plusieurs prix et traduit dans de nombreuses langues, il est considéré comme l’une des plus grandes voix de la poésie hongroise contemporaine. Il est également auteur de nouvelles, de romans et d’essais.

Ouvrages traduits en français :
Deux fois deux, recueil de poèmes, traduit par Guillaume Métayer, Éd. Caractères, 2008
Nil et autres poèmes, recueil traduit par Guillaume Métayer, Éd. Rumeurs, 2022

 

György Dragomán © DR

György Dragomán

Il est né en 1973 à Târgu Mures (Marosvásárhely), en Transylvanie. Il a passé son enfance dans la Roumanie de Ceausescu au sein de la minorité hongroise et s’est installé en Hongrie en 1988, où il vit toujours. Figure majeure de la littérature hongroise contemporaine, il a reçu de nombreux prix littéraires et a été découvert à l’international avec son roman Le Roi blanc Prix de littérature Jan Michalski en 2011.

Ouvrages traduits en français :
Le Roi blanc, traduit par Joëlle Dufeuilly, Éd. Gallimard, 2009
Le Bûcher, traduit par Joëlle Dufeuilly, Éd. Gallimard, 2018
Le Chœur des lions, recueil de nouvelles, traduit par Joëlle Dufeuilly, Éd. Gallimard, 2024

Benedek Totth © Réka Bogdán
 Benedek Totth

Benedek Totth est né en 1977 à Kaposvár, en Hongrie, et vit aujourd’hui à Budapest. Auteur et traducteur littéraire, il incarne l’une des voix les plus originales de la jeune génération d’écrivains hongrois. Son roman : COMME DES RATS MORTS, a remporté un grand succès dans son pays et a été traduit dans plusieurs langues.

Ouvrages traduits en français :

Comme des rats morts, traduit par Charles et Natalia Zaremba, Éd. Actes Sud, 2017
La guerre après la dernière guerre, traduit par Charles et Natalia Zaremba, Éd. Actes Sud, 2019

Entrée libre

Contact : Thomas Szende
szendethomas@gmail.com 

Trio Péter Sárik - « X Bartók » 22 novembre 2025 à 19h00 - Centre culturel de Serbie


Centre culturel de Serbie 123 rue Saint-Martin, 75004 Paris

Dans le cadre du Festival Jazzycolors du FICEP, nous avons le plaisir d’accueillir le Trio Péter Sárik. Le trio nous fera découvrir son fantastique album intitulé X Bartók, rendant hommage à Béla Bartók à l’occasion du 80ᵉ anniversaire de sa disparition.

Le trio Péter Sárik est l’une des formations les plus populaires et les plus importantes de la scène jazz hongroise. Son succès tient à l’ouverture d’esprit de ses membres qui s’adressent à un public bien plus large que la plupart des jazzmen. Constitué de transcriptions jazz des œuvres du compositeur hongrois, « X Bartók » a été récompensé par le prix Fonogram du meilleur album de jazz hongrois.

Membres :

Péter Sárik - piano
Tamás Péter - guitare basse
Attila Gálfi - batterie


 
Entrée libre
Réservation obligatoire à partir du 5 novembre 2025

Dialogue avec Krisztina Tóth et István Kemény le 26 novembre 2025 à 18h30 - Maison de Poésie

Maison de Poésie Hôtel Blémont 11bis rue Ballu, 75009 Paris 

A l'occasion des rencontres littéraires internationales « Meeting » 2025 à Saint-Nazaire, l'Institut Liszt Paris et la Maison de poésie organisent un dialogue littéraire avec des écrivains hongrois Krisztina Tóth et István Kemény, accompagnés de leur interprète Nathalia Zaremba, en présence de Monsieur Sylvestre Clancier, Président de la Maison de Poésie.

La rencontre sera modérée par Guillaume Métayer, traducteur du hongrois et de l’allemand, poète, directeur de recherche au CNRS. 

Krisztina Tóth

Krisztina Tóth est née à Budapest en 1967. Très populaire dans son pays, elle a reçu de nombreuses distinctions littéraires. Elle a étudié la sculpture et la littérature à Budapest et a passé deux ans à Paris dans le cadre de ses études universitaires. Elle est l’autrice de plusieurs romans, de nouvelles, de recueils de poésie, de pièces de théâtre, et de livres pour enfants. Ses oeuvres sont traduites en plus de 20 langues.

Ouvrages traduits en français :
Le rêve du Minotaure
, Éd. Caractères, 2009
Code-barres, roman, Éd. Gallimard, 2014

 

István Kemény © Reviczky Zsolt 

István Kemény

István Kemény est né en 1961 à Budapest. Lauréat de plusieurs prix et traduit dans de nombreuses langues, il est considéré comme l’une des plus grandes voix de la poésie hongroise contemporaine. Il est également auteur de nouvelles, de romans et d’essais.

Ouvrages traduits en français :
Deux fois deux, recueil de poèmes, traduit par Guillaume Métayer, Éd. Caractères, 2008
Nil et autres poèmes, recueil traduit par Guillaume Métayer, Éd. Rumeurs, 2022

Guillaume Métayer 

Soirée autour de la littérature hongroise - 25 novembre 2025 à 19h00 - Librairie Le Delta


Librairie Le Delta 1 Rue Cassette, 75006 Paris

A l'occasion des rencontres littéraires internationales « Meeting » 2025 à Saint-Nazaire, L'Institut Liszt Paris et la Librairie Le Delta organisent une soirée littéraire avec des écrivains hongrois György Dragomán et Benedek Totth, accompagnés de leur interprète Nathalia Zaremba.

La rencontre sera modérée par Ulysse Manhes, doctorant à l'École normale supérieure (Ulm) et producteur à France culture.

György Dragomán

Il est né en 1973 à Târgu Mures (Marosvásárhely), en Transylvanie. Il a passé son enfance dans la Roumanie de Ceausescu au sein de la minorité hongroise et s’est installé en Hongrie en 1988, où il vit toujours. Figure majeure de la littérature hongroise contemporaine, il a reçu de nombreux prix littéraires et a été découvert à l’international avec son roman Le Roi blanc Prix de littérature Jan Michalski en 2011.

Ouvrages traduits en français :
Le Roi blanc, traduit par Joëlle Dufeuilly, Éd. Gallimard, 2009
Le Bûcher, traduit par Joëlle Dufeuilly, Éd Gallimard, 2018
Le Chœur des lions, recueil de nouvelles, Éd. Gallimard, 2024

Benedek Totth

Benedek Totth est né en 1977 à Kaposvár, en Hongrie, et vit aujourd’hui à Budapest. Auteur et traducteur littéraire, il incarne l’une des voix les plus originales de la jeune génération d’écrivains hongrois. Son roman : COMME DES RATS MORTS, a remporté un grand succès dans son pays et a été traduit dans plusieurs langues.

Ouvrages traduits en français :
Comme des rats morts, traduit par Charles et Natalia Zaremba, Éd. Actes Sud, 2017
La guerre après la dernière guerre, traduit par Charles et Natalia Zaremba, Éd. Actes Sud, 2019

Entrée libre

L'État de droit a reculé dans plus de deux tiers des pays de l'UE, selon le World Justice Project

"En 2025, la Slovaquie et la Hongrie ont connu les plus fortes baisses, selon l'indice de l'État de droit publié par le World Justice Project.

L'État de droit a reculé dans plus de deux tiers des pays de l'UE en 2025, selon un indice publié mardi par le World Justice Project.

L'État de droit est défini dans cette étude comme un système durable de lois, d'institutions et de normes qui fournissent quatre principes universels : la responsabilité, une loi juste, un gouvernement ouvert et une justice accessible et impartiale.

Sur les 27 États membres de l'UE, la Bulgarie et la Hongrie ont obtenu les scores les plus bas." La suite sur euronews.com

La Hongrie souhaite former un bloc anti-Kiev avec la Slovaquie et la République tchèque

"Selon le conseiller politique du Premier ministre hongrois Orban, l'objectif est de relancer une coopération similaire au groupe de Visegrad de la période post-2015.

La Hongrie cherche à construire une alliance politique avec la Slovaquie et la République tchèque pour promouvoir le scepticisme à l'égard de l'Ukraine au sein de l'Union européenne, selon l'édition européenne du portail Politico. Balazs Orban, conseiller politique du Premier ministre hongrois Viktor Orban. Selon Balazs Orbán, l'objectif est de relancer une collaboration similaire à celle du groupe de Visegrád post-2015, lorsque les gouvernements hongrois, polonais, slovaque et tchèque s'opposaient conjointement aux politiques migratoires et d'intégration de l'UE. « Cela a très bien fonctionné pendant la crise migratoire. C'est ainsi que nous avons pu résister », a déclaré le conseiller, supposant que dans le contexte ukrainien également, le nouvel axe « deviendra de plus en plus visible ». L'alliance potentielle inclurait le Premier ministre slovaque. Robert Fico et Andrej Babis, Chef du parti Action des citoyens mécontents (ANO), récemment sorti vainqueur des élections parlementaires tchèques. Tous deux ont exprimé des positions proches de celles d'Orbán, appelant à un dialogue renforcé avec Moscou et à une réduction du soutien militaire et économique à Kiev. Cependant, ni Fico ni Babís ne se sont officiellement alignés sur Budapest." La suite sur agenzianova.com 

La Hongrie investit 2,5 milliards d’euros dans l’aéroport de Budapest

"Le gouvernement hongrois annonce investir 2,5 milliards d’euros pour transformer l’aéroport de Budapest-Ferenc Liszt avec un troisième terminal et une liaison ferroviaire à grande vitesse. Le trafic aérien de la capitale connaît un fort essor.

Le gouvernement hongrois annonce lundi 27 octobre un vaste plan d’investissement de 2,5 milliards d’euros pour développer l’aéroport international de Budapest-Ferenc Liszt. Objectif : doubler le trafic de passagers à l’horizon 2035, grâce notamment à la construction d’un troisième terminal. « Nous serons en mesure de poser la première pierre du terminal 3 en mars 2026 », a déclaré le ministre de l’Économie Marton Nagy lors d’un point de presse. Ce projet majeur, évalué à un milliard d’euros, doit porter la capacité annuelle de la plateforme à 40 millions de passagers contre 17,6 millions en 2024, avec pour but affiché de faire de l’aéroport un hub central en Europe. 

L’État hongrois avait racheté en 2024 l’aéroport de Budapest à la société allemande AviAlliance, en partenariat avec le groupe français Vinci, qui détient 20 % du capital et assure désormais l’exploitation de la plateforme.

Outre le nouveau terminal, le plan d’investissement inclut la création d’une liaison ferroviaire à grande vitesse entre le centre-ville et l’aéroport — également estimée à un milliard d’euros — ainsi qu’un programme de modernisation des infrastructures routières pour un montant de 500 millions d’euros. Selon Marton Nagy, ces deux derniers projets seront menés avec le soutien de partenaires privés." La suite sur lechotouristique.com

Budapest teste le nouveau système européen d'entrée/sortie dans l'espace Schengen

"Budapest teste un nouveau système d'entrée et de sortie dans l'espace Schengen à sa frontière avec la Serbie. Désormais, les ressortissants hors-UE devront fournir des données biométriques.

La Hongrie a commencé à mettre en œuvre un nouveau système pour entrer dans l'espace Schengen depuis la Serbie au poste-frontière de Tompa-Kelebija, dans le cadre du déploiement du système européen d'entrée/sortie, également connu sous le sigle EES.

Le nouveau système exige désormais que les ressortissants de pays hors Union européenne fournissent des données biométriques, notamment des empreintes digitales et des images du visage, à l'entrée et à la sortie de l'espace Schengen." La suite sur euronews.com

Énergie. En Hongrie, Orban dos au mur après les sanctions américaines sur le pétrole russe

"Les mesures décidées par Washington contre les sociétés Lukoil et Rosneft embêtent particulièrement la Hongrie, qui importe 80 % à 90 % de son brut de Russie. Le pouvoir craint une explosion des prix et des pénuries sans cette source de plus en plus fragile.

Mercredi 22 octobre, juste après l’annulation du sommet Trump-Poutine prévu à Budapest, les États-Unis annonçaient des sanctions contre les géants des hydrocarbures russes Lukoil et Rosneft et les entreprises étrangères collaborant avec eux. Si ces mesures ne s’appliqueront que fin novembre, cette perspective contrarie spécialement la Hongrie de Viktor Orban. Le pays importe 80 à 90 % de son pétrole de Russie – un canal d’approvisionnement privilégié du fait de l’absence d’accès à la mer.

Le dirigeant hongrois dénonce une “erreur” commise par Donald Trump, qu’il rencontrera en fin de semaine prochaine à Washington afin de “le convaincre de retirer” ces sanctions et “de mettre en place un système durable pour l’économie hongroise”, rapporte Index. “La Hongrie dépend fortement du pétrole et du gaz russes. Sans eux, les prix de l’énergie monteraient en flèche et des pénuries pourraient survenir”, argumente Orban, cité par le média installé à Budapest." La suite sur courrierinternational.com

Gideon Saar remet aux dirigeants hongrois une lettre de remerciement d’Omri Miran

"L'ex-otage israélo-hongrois a chargé le ministre israélien des Affaires étrangères de remettre cette missive à son homologue hongrois.

Lors de sa visite diplomatique à Budapest, le ministre israélien des Affaires étrangères, Gideon Saar, a remis, lundi, une lettre d’Omri Miran, un citoyen israélo-hongrois relâché des geôles du groupe terroriste palestinien du Hamas dans le cadre de l’accord de cessez-le-feu actuellement en vigueur à Gaza, à son homologue hongrois, Peter Szijjarto.

Dans cette lettre, l’ancien otage exprime sa gratitude envers les dirigeants hongrois pour leurs efforts visant à obtenir sa libération.

« La Hongrie a joué un rôle important dans la lutte pour la liberté d’Omri », a déclaré Saar lors d’une conférence de presse conjointe avec Szijjarto." La suite sur timesofisrael.com

Le Premier ministre hongrois Viktor Orban en visite à Rome: «L'Europe est totalement hors-jeu!»

"Le Premier ministre hongrois était en visite au Vatican lundi 27 octobre, où il a été reçu pour la première fois par Léon XIV, puis au Palais Chigi, siège du gouvernement italien, où il s’est entretenu durant un peu plus d’une heure avec son homologue italienne, Giorgia Meloni, sur des questions internationales et bilatérales. Mais avant leur rencontre, Viktor Orban n’a pas résisté à dénigrer à nouveau l'Europe. 

Viktor Orban et Giorgia Meloni n’ont fait aucune déclaration à l’issue de leur entretien. Par contre, peu avant, le dirigeant hongrois s’est exprimé au micro d’un journaliste de La Repubblica sur les sanctions américaines contre deux géants des hydrocarbures russes et sur l’Union européenne.

« J’irai prochainement à Washington pour m'entretenir avec Donald Trump, parce que la Hongrie dépend beaucoup du gaz et du pétrole russe. Malheureusement, l’Europe ne joue aucun rôle. Donc, il est évident que le futur de la sécurité européenne et des relations russo-ukrainiennes sera géré par les Russes et les Américains et non par l’Europe. Nous sommes totalement hors-jeu ! » La suite sur rfi.fr

Au Kenya, 11 personnes sont mortes, dont huit Hongrois et deux Allemands, dans le crash d'un petit avion

"L'appareil avait décollé de la station balnéaire touristique de Diani et faisait route vers le parc du Masaï Mara lorsqu'il s'est écrasé, selon l'Autorité de l'aviation civile kényane (KCAA). 

Un petit avion avec 11 personnes à bord s'est écrasé mardi 28 octobre au Kenya, tuant tous les passagers à son bord, soit huit Hongrois et deux Allemands, ainsi que le capitaine kényan de l'appareil, a déclaré la compagnie aérienne Mombasa Air Safari Limited." La suite sur franceinfo.fr 

mardi 28 octobre 2025

Guerre en Ukraine : sur une chaîne YouTube hongroise, le chef de la diplomatie russe défend la propagande du Kremlin

"Dans une interview d'une heure accordée à la chaîne YouTube Ultrahang, le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, a dénigré Volodymyr Zelensky et a déroulé le narratif de Moscou concernant la guerre d'agression menée en Ukraine.

Sergueï Lavrov s'est prêté, ce dimanche 26 octobre, à un exercice de propagande à l'occasion d'une interview accordée à Tamás Király et à Ultrahang, une chaîne Youtube hongroise qui se veut spécialisée dans les relations internationales, la politique étrangère et la géopolitique.

Pendant près d'une heure, le ministre russe des Affaires étrangères a parlé de la guerre menée à l'Ukraine, déroulé un argumentaire pro-Kremlin ainsi que de possibles évolution du conflit, qui dure depuis près de quatre ans." La suite sur euronews.com

Budapest Airport : 8,9 millions de sièges et 7 nouvelles destinations pour l’hiver 2025-2026

"L’aéroport international de Budapest, membre du réseau VINCI Airports, s’apprête à battre de nouveaux records de fréquentation pour l’hiver 2025-2026. Avec une offre en sièges en hausse de 12,5% et plusieurs nouveautés sur le réseau dont Nantes et Bordeaux par easyJet, la plateforme hongroise consolide son statut de hub incontournable d’Europe centrale, dopé par le tourisme et un trafic affaires en nette reprise.

L’hiver 2025 marquera une nouvelle étape historique pour l’aéroport de Budapest-Ferenc Liszt. Selon la direction, la capacité globale atteindra 8,9 millions de sièges, soit une hausse de 12,5% par rapport à la saison précédente. Le réseau atteindra 182 destinations, une augmentation de 26 lignes. Cette expansion traduit la résilience du secteur aérien hongrois, soutenu par une forte demande internationale. Sur les huit premiers mois de l’année, plus d’un million de passagers étrangers supplémentaires ont franchi les portes de l’aéroport comparé à la même période de 2024.

« Budapest Airport entre dans une nouvelle phase de croissance diversifiée, en optimisant sa capacité en basse saison et en accueillant de nouvelles compagnies et destinations », a déclaré Markus Klaushofer, directeur commercial de l’aéroport." La suite sur air-journal.fr

Le Pape a reçu le Premier ministre hongrois au Vatican

"L’annonce a été faite par la Salle de presse du Saint-Siège, lundi 27 octobre. Après s’être entretenu avec le Saint-Père, Viktor Orbán a rencontré le cardinal Pietro Parolin, Secrétaire d’État du Saint-Siège, accompagné de Mgr Paul Richard Gallagher, secrétaire pour les Relations avec les États et les organisations internationales.

La rencontre entre Léon XIV et le Premier ministre hongrois s’est déroulée lundi 27 octobre au Palais apostolique. Viktor Orbán a ensuite rencontré le cardinal Pietro Parolin, Secrétaire d'État du Saint-Siège, accompagné Mgr Paul Richard Gallagher, Secrétaire pour les Relations avec les États et les organisations internationales." La suite sur vaticannews.va

Pétrole russe: le Premier ministre hongrois rencontrera Trump la semaine prochaine

"Le Premier ministre hongrois Viktor Orban rencontrera le président américain Donald Trump la semaine prochaine à Washington pour discuter des questions énergétiques, a indiqué lundi le gouvernement hongrois.

La semaine dernière, les États-Unis ont imposé des sanctions aux deux plus grands producteurs de pétrole russes, Rosneft et Lukoil, ce qui pourrait potentiellement affecter la Hongrie, qui dépend encore fortement du pétrole et du gaz russes.

Viktor Orban a indiqué lundi qu'il serait "bientôt à Washington pour en discuter avec le président Trump".

"Nous réfléchissons à la manière de construire un système durable pour l'économie de mon pays, car la Hongrie dépend énormément du pétrole et du gaz russes. Sans eux, les prix de l'énergie vont exploser, provoquant des pénuries dans nos stocks", a déclaré M. Orban lundi à Rome au journal La Repubblica, entre un entretien avec le pape Léon XIV et un autre avec la Première ministre Giorgia Meloni." La suite sur connaissancedesenergies.org

lundi 27 octobre 2025

Budapest accuse l'UE de mener une politique anti-israélienne

"Aux cotés du ministre israélien des Affaires étrangères Gideon Saar, le chef de la diplomatie hongroise Péter Szijártó a vivement critiqué Bruxelles et a notamment exhorté la Commission européenne à revenir sur sa décision de suspendre son accord d'association avec l'Etat hébreu.

À Budapest ce lundi, le ministre israélien des Affaires étrangères, Gideon Saar a rencontré son homologue hongrois Péter Sillarto lors d'un forum économique bilatéral, à la Puskás Arena. Ce dernier a vivement critiqué la position de Bruxelles à l’égard d’Israël, et a notamment exhorté la Commission européenne à revenir sur sa décision de suspendre son accord d'association avec l'État hébreu.

"À bien des égards, la politique de Bruxelles est caractérisée par la frustration, et l'une des expressions de cette frustration est la mise en œuvre par l'UE de politiques anti-israéliennes. Il s'agit d'une politique absolument partiale et anti-israélienne, dont l'un des volets consiste précisément à imposer des restrictions commerciales et économiques. Nous nous opposerons toujours à ces restrictions et nous ferons en sorte que non seulement la Hongrie et Israël, mais aussi la coopération UE-Israël se développent à l'avenir", a-t-il déclaré." La suite sur euronews.com

Concert de Balrom Klezmott - Violon contrebasse accordéon- La Trockette café atelier - 7 novembre 2025 à 19 h 30


Trio VIOLON CONTREBASSE ACCORDEON
ENTREE LIBRE
Voyage musical sur le Danube de Vienne à la Mer Noire
Musiques de Vienne, Eisenstadt, Budapest, Tolna, Sofia, Tchiprovtsi, Bucarest, Olt, Chisinau, Barlad, Odessa, Istanbul

La Trockette Café-Atelier
125 rue du Chemin Vert, 75011 Paris

VOYAGE MUSICAL sur de DANUBE : de VIENNE à la MER NOIRE

L'idée du concert est de montrer comment, en partant de la musique viennoise , on glisse doucement vers l'aval pour se retrouver sur la MER NOIRE avec des musiques aux rythmes et sonorités complètement différentes.
Les musiques traditionnelles locales, croisées d'influences Klezmer et Tzigane, mais aussi sous l'influence des Empires (Hongrie / Ottomans) évoluent tout le long du fleuve.
Et les compositeurs de musique classique s'en inspirent ...
MUSIQUES de Vienne, Eisenstadt, Budapest, Tolna, Sofia, Tchiprovtsi, Bucarest, Olt, Chisinau, Barlad, Odessa, Istanbul
dont

- Vegig mentem az ormodi temeton / Valamit sugok maganak (cf Farkas Pali)
- Tolnai Lakodalmas (cf Josef Riszner)
- Czak Egy Kislány van a villagon

ENTREE LIBRE en fonction des places disponibles
Pas de réservation

dimanche 26 octobre 2025

Concert de Balrom Klezmott - Foyer de Grenelle / Violon contrebasse accordéon - 6 novembre 2025 à 19 h 30


Voyage musical sur le Danube de Vienne à la Mer Noire

TALENTS de GRENELLE Trio VIOLON CONTREBASSE ACCORDEON
-------------------------------------------------------------------
MUSIQUES de Vienne, Eisenstadt, Budapest, Tolna, Sofia, Tchiprovtsi, Bucarest, Olt, Chisinau, Barlad, Odessa, Istanbul

Avec MARIA POLJANICH Violon Solo
ERIC JACOT Contrebasse et JACQUES Accordéon
 

Entrée libre 

Foyer de Grenelle
17 Rue de l'Avre, 75015 Paris, France

VOYAGE MUSICAL sur de DANUBE : de VIENNE à la MER NOIRE

L'idée du concert est de montrer comment, en partant de la musique viennoise , on glisse doucement vers l'aval pour se retrouver sur la MER NOIRE avec des musiques aux rythmes et sonorités complètement différentes.
Les musiques traditionnelles locales, croisées d'influences Klezmer et Tzigane, mais aussi sous l'influence des Empires (Hongrie / Ottomans) évoluent tout le long du fleuve.
Et les compositeurs de musique classique s'en inspirent ...
MUSIQUES de Vienne, Eisenstadt, Budapest, Tolna, Sofia, Tchiprovtsi, Bucarest, Olt, Chisinau, Barlad, Odessa, Istanbul
dont

- Vegig mentem az ormodi temeton / Valamit sugok maganak (cf Farkas Pali)
- Tolnai Lakodalmas (cf Josef Riszner)
- Czak Egy Kislány van a villagon

ENTREE LIBRE en fonction des places disponibles
Pas de réservation

« L’UE doit rester vigilante face aux ingérences russes, mais la Hongrie et la Serbie mettront cette stratégie à l’épreuve »

"Dans une tribune au « Monde », les politistes Peter Kreko et Ferenc Németh expliquent qu’en affichant trop ouvertement son appui aux forces pro-démocratiques, Bruxelles risque d’alimenter la propagande qui présente ces mouvements comme des marionnettes occidentales.

Les rivalités Est-Ouest sont plus visibles que jamais au sein de l’Union européenne (UE) et de son voisinage. Les récentes élections en Roumanie, en Géorgie et en Moldavie montrent que la Russie et ses relais dépensent sans compter pour influencer les électeurs et orienter les politiques étrangères. La plupart du temps sans succès. Grâce au soutien affirmé de ses institutions et dirigeants, l’UE a réagi fermement, appuyant les acteurs pro-européens et s’opposant à la désinformation russe.

Ces résultats, bien qu’encourageants, restent limités. Si la Roumanie et la Moldavie ont élu des dirigeants pro-UE, les ambitions européennes de la Géorgie sont à l’arrêt. Reste à savoir si les nouveaux gouvernements sauront dépasser leurs désaccords ou si les futurs scrutins se transformeront en compétition entre l’UE et la Russie. L’Europe, doit parfois, pour affronter ces défis, favoriser une approche prudente.

En Hongrie et en Serbie, un soutien trop visible peut se retourner contre elle. En affichant trop ouvertement son appui aux forces pro-démocratiques, Bruxelles risque d’alimenter la propagande illibérale qui présente ces mouvements comme des « marionnettes occidentales ». Mieux vaut agir discrètement, privilégier les coulisses et une posture réactive.

Souveraineté « à tout prix »

Depuis les années 2010, Viktor Orban et Aleksandar Vucic ont assis leur autorité, et affirmé leur emprise sur leurs pays respectifs. Autrefois modèle post-socialiste, la Hongrie est désormais l’un des membres les plus pauvres de l’UE. La Serbie, marquée par les conflits et une transition chaotique, reste le pays candidat [à l’Union européenne] le moins démocratique des Balkans occidentaux. Tous deux promeuvent une rhétorique pro-russe et anti-UE, au nom d’une souveraineté défendue « à tout prix ».

Pourtant, ces régimes font aujourd’hui face à leur plus grave crise intérieure : l’émergence d’opposants crédibles. Les causes du mécontentement sont similaires – stagnation, inflation, corruption – et des scandales ont servi de déclencheurs : en Hongrie, une grâce présidentielle dans une affaire de pédocriminalité a favorisé la montée de Péter Magyar ; en Serbie, l’effondrement d’un chapiteau à Novi Sad a provoqué des manifestations massives." La suite sur lemonde.fr (article payant)

Affaire de Budapest : pour la fin des poursuites contre Zaid, pourchassé par toutes les polices d’Europe pour son antifascisme

« J’aimerais autodéterminer ma vie. Pendant deux ans j’étais en cachette ou en prison, et ma vie a été mise entre parenthèses »

La chasse aux antifascistes se poursuit dans toute l’Europe suite à une bagarre ayant eu lieu en Hongrie il y a plus de deux ans. Cette traque politique doit nous inquiéter et nous mobiliser, car nous sommes toutes et tous concernés. Elle montre que toutes les polices d’Europe sont déjà prêtes à se coordonner, à la demande d’un régime autoritaire, afin de pourchasser des personnes dont le seul tort est de s’être opposées à des néo-nazis.

Nous avons rencontré Zaid, qui figure parmi les personnes poursuivies, et qui est actuellement réfugié en France. La Hongrie de Viktor Orban, président d’extrême droite, ami de Trump et de Poutine, réclame son extradition. Et la justice française doit statuer le 12 novembre. Il est donc impératif de faire connaître son histoire.

Tout remonte au mois de février 2023, à Budapest. Comme chaque année, l’extrême droite célèbre le « Day of honour », un hommage aux soldats nazis et leurs collaborateurs hongrois durant la seconde guerre mondiale. Des milliers de nostalgiques d’Hitler, certains vêtus d’uniformes SS, se rassemblent pour défiler, organiser des concerts et surtout commettre des violences, sous le regard bienveillant de la police de Viktor Orbán. À cette occasion, un affrontement éclate à la sortie d’un concert de rock néonazi." La suite sur paris-luttes.info 

Orbán et Vučić recevront cette année le prix István Pásztor

"Les lauréats ont accepté le prix, mais le recevront plus tard, le 1er novembre.

Le Premier ministre hongrois Viktor Orbán et le président serbe Aleksandar Vučić ont reçu cette année le prix István Pásztor, créé en mémoire de l'homme politique hongrois de Voïvodine. Cette décision n'est pas surprenante, mais elle est aussi très controversée : certains saluent leurs efforts en faveur de la réconciliation historique, tandis que d'autres considèrent cette reconnaissance comme un geste politique de grande portée. La fondation vise à préserver l'héritage d'István Pásztor et à approfondir les relations serbo-hongroises, mais l'opinion publique perçoit ce prix de manière mitigée.

Nous n'avons pas été surpris d'apprendre qu'après János Áder et Tomislav Nikolić, cette année, pour la deuxième année consécutive depuis la création du prix, ce sont Viktor Orbán, Premier ministre hongrois, et Aleksandar Vučić, président serbe, qui recevront le prix instauré après le décès d'István Pásztor. Cependant, il est difficile de savoir à qui, après la reconnaissance de nombreuses personnalités, sera décerné l'année prochaine." La suite sur balk.hu

samedi 25 octobre 2025

Concert Bartók-Liszt 29 novembre 2025 à 16h00 - Schola Cantorum

Schola Cantorum 269 rue Saint Jacques, 75005 Paris

L'association Sur les Pas de Liszt, l'Institut Liszt et l'Association des Amis de la Culture Hongroise (AACH) organisent un concert à la Schola Cantorum le 29 novembre à 16 heures.
L’année 2025 est une occasion de mettre à l’honneur deux compositeurs chers à la Hongrie et porteurs d’un héritage musical universel.

En effet, en 1875, Franz Liszt (1811-1886) fonda à Budapest l’Académie de Musique qui porte aujourd’hui son nom : Académie F. Liszt, et constitue l’équivalent du Conservatoire Supérieur de musique de Paris. Jusqu’à la fin de sa vie, F. Liszt enseigna au sein de cette académie et il forma ainsi des dizaines de jeunes pianistes qui ensuite répandirent son enseignement musical en Europe et, notamment, aux Etats-Unis.

En 1945, disparut à New York le célèbre Béla Bartók (1881-1945) , un des pères de la musique contemporaine. Il consacra une grande partie de sa jeunesse à recueillir des mélodies populaires en Hongrie et en Roumanie avec son compatriote Zoltán Kodály. Ayant quitté la Hongrie du fait de la montée des régimes totalitaires, il poursuivit et acheva son œuvre aux Etats-Unis. On lui doit de nombreux chez d’œuvre, tels les Six Danses populaires roumaines, son Concerto pour orchestre, l’opéra le Château de Barbe-Bleue.

Le concert sera constitué de lieder et de mélodies de Liszt, Bartok, et d’extraits d’opérettes hongroises.
Les artistes seront les soprani Klara Csordás et Katalin Vámosi, avec au piano Marouan Benabdallah, qui viendra spécialement de Budapest.

Prix public : 18 €
Moins de 26 ans : 10 €
Adhérents et AAAC : 15 €

Table-ronde : Hongrie : Viktor Orban fragilisé ?

"Des milliers de Hongrois sont descendus dans la rue dans deux manifestations rivales lancées par le gouvernement et l'opposition. Le Premier ministre Viktor Orban, tout comme son concurrent le plus sérieux depuis quinze ans, Peter Magyar cherchent à mobiliser, à six mois des élections législatives.

Avec
  • Joël Le Pavous, journaliste indépendant
  • Paul Gradvohl, historien, professeur à l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, spécialiste de la Hongrie 

Ils s’étaient donnés rendez-vous sur la place des héros à Budapest. En ce jeudi 23 octobre 2025, jour de commémoration de l’insurrection de 1956, c’est une foule compacte qui est venue écouter et soutenir Peter Magyar, un avocat de 44 ans, qui veut incarner la nouvelle figure de l’opposition. Cet ancien membre du Fidesz, qui a rompu récemment avec les cercles du pouvoir, achevait hier une tournée de 80 jours à travers tout le pays. A quelques mois des législatives il promet de restaurer la démocratie, de lutter contre la corruption et surtout de tourner la page de quinze années d’exercice du pouvoir par Viktor Orban.

Mais qui est vraiment Peter Magyar ? Dans quelle mesure représente-t-il vraiment une menace pour Orban ? Comment le Premier Ministre continue de jouer sur la détestation de l’Europe et la peur de la guerre en Ukraine pour s’assurer le soutien des électeurs ?

Mélanie Chalandon s'entretient avec Joël Le Pavous et Paul Gradvohl." 
A écouter (36MIN) sur radiofrance.fr

Reportage - «Le vent est en train de tourner» : à six mois des législatives en Hongrie, l’opposition à Orbán tente de rallier les petites villes

"Réservé aux abonnés
Le parti du souverainiste Viktor Orbán est devancé dans les sondages par son rival conservateur Péter Magyar, à quelques mois des élections. Mais, si ce dernier monte en popularité dans les grandes villes, le Fidesz maintient son emprise sur les régions rurales.

Au bout d’un long chemin de terre, une maison isolée, entourée de noyers au feuillage flamboyant sous le soleil d’automne. C’est là, en pleine campagne, dans les environs de la petite ville de Cegléd, à une centaine de kilomètres à l’est de Budapest, qu’habite Ferenc Kovács, serrurier à la retraite. «Tant que le Fidesz [le parti du Premier ministre Viktor Orbán, ndlr] est au pouvoir, tout ira bien. Au moins ici, il n’y a pas la guerre et il n’y a pas de migrants», sourit cet homme serein de 67 ans, dont les yeux bleus éclairent le visage tanné. Pourtant, il ne roule pas sur l’or avec sa retraite de 170 000 forints, soit 437 euros. Mais il dépense peu en faisant ses courses dans une chaîne discount allemande et en se chauffant au bois. Impossible de cultiver des légumes, la terre est tellement sèche que l’herbe est grise : «J’ai deux puits mais installer un système d’irrigation me coûterait trop cher en électricité.»

Ferenc a toujours voté pour Orbán, «un patriote». Mais que pense-t-il de Péter Magyar, ancien cadre du régime entré en rébellion et qui, à la tête de son parti Tisza (Respect et liberté, conservateur et pro-européen), ambitionne de détrôner Viktor Orbán ? «Magyar ne nous apporterait que des ennuis ! Ce n’est pas un vrai Hongrois, il fait ce que lui dicte Bruxelles. Il veut augmenter les impôts et soutenir la guerre en Ukraine en envoyant des armes», analyse l’ancien serrurier. Des mots piochés directement dans la communication du..." La suite sur liberation.fr (article payant)

Politique - En Hongrie, le 23 octobre confirme la dynamique en faveur de Péter Magyar

"Le prétendant au pouvoir Péter Magyar a fait déferler le 23 octobre à Budapest une foule environ deux fois plus nombreuse que celle du Fidesz.

Texte et photos : Corentin Léotard

« 1956, Révolution. 2026, Changement de régime ». C’est derrière cette banderole que Péter Magyar a lancé sa « marche nationale » jeudi après-midi à Budapest. Une marée humaine nettement supérieure à cent mille personnes et vraisemblablement proche de deux cent mille a déferlé le long de l’avenue Andrássy, les Champs-Elysées hongrois. « La liberté commence là où la peur disparaît », proclame une autre banderole tendue au-dessus du parcours. « On n’a pas peur ! », scande la foule et « Árad a Tisza! », « la Tisza déborde ! », le nom du parti de Péter Magyar.

Dans la foule, des gens de tous âges, Budapestois et venus de province, visiblement heureux de se compter aussi nombreux, et à l’image de ce que souhaite représenter Péter Magyar : une Hongrie positive, joyeuse..." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr

vendredi 24 octobre 2025

Ciném'à la Maison - « Jean le Vaillant »


Date: 18 novembre2025

Heure: 19:30
Lieu:  Online

Cet automne, dans le cadre de notre série de projections en ligne « Ciném'à la Maison », et en lien avec le Festival du Film d'Animation d'Annecy, nous projetterons trois longs métrages d'animation hongrois : Bubble Bath (Habfürdő) de György Kovásznai le 28 octobre, Jean le Vaillant (János Vitéz) de Marcell Jankovics le 18 novembre et Toldi de Marcell Jankovics et Lajos Csákovics (ce dernier sous-titré en anglais) le 16 décembre.

Le 18 novembre, on vous invite à regarder Jean le Vaillant (János Vitéz) de Marcell Jankovics.

Les aventures extraordinaires du jeune berger János Vitéz, qui abandonne son village natal pour rejoindre une compagnie de hussards en route pour La France, afin de mieux combattre ('invasion turque. La quête de János finit par le conduire en enfer, où il plonge à la recherche d'Iluska, sa bien-aimée, une orpheline originaire du même village. 
La mise en scène adopte une approche visuelle hallucinée et vibratoire, traversée par de fortes influences d'Art Nouveau, de Pop Art et d'art populaire décoratif magyar. Les images hautes-en-couleur et la narration inspirée des road movies psychédéliques rappellent nettement celtes de Yellow Submarine (1968), film culte de l'ère hippie. János Vitéz fut le tout premier long métrage d'animation réalisé en Hongrie. Il s'agit d'une commande officielle, destinée à commémorer te 150ème anniversaire de Sandor Petőfi, poète national. Adapté d'un poème homonyme, il sortit le 1er mai, 1973, au terme de presque deux ans de fabrication. La filmographie de Marcell Jankovics repousse les limites de l'animation.

Hongrie / 1973 / 74 min

Projection gratuite

Rejoignez le groupe Facebook "Ciném'à la Maison" pour accéder aux liens des films.
Cliquez ici pour vous inscrire : Ciném'à la Maison 

Source : culture.hu

Hongrie : Viktor Orbán tente de renforcer son soutien intérieur après l’annulation du sommet Trump–Poutine

"Le Premier ministre hongrois Viktor Orbán cherche à consolider sa base politique alors que l’annulation du sommet entre Donald Trump et Vladimir Poutine à Budapest a privé son gouvernement d’un succès diplomatique qu’il espérait majeur. Ce jeudi, le dirigeant nationaliste prononce un discours très attendu à l’occasion du 69e anniversaire de l’insurrection antisoviétique de 1956, dans un contexte politique marqué par des tensions croissantes avec l’Union européenne et la montée d’une opposition pro-européenne.

Des milliers de partisans du Fidesz, le parti au pouvoir, se sont rassemblés dans la capitale pour une « marche de la paix » organisée en soutien au gouvernement. L’événement, largement relayé par les médias publics, vise à afficher l’unité nationale autour du Premier ministre alors que des sondages récents montrent un recul de sa popularité. Une manifestation de l’opposition, prévue à midi (12h00 GMT), doit se tenir à quelques kilomètres de là.

Depuis plusieurs mois, Orbán multiplie les attaques contre les institutions européennes, s’opposant à l’aide militaire à l’Ukraine et critiquant les sanctions imposées à la Russie. L’annulation du sommet Trump–Poutine, initialement prévu à Budapest, a porté un coup à sa diplomatie, qui tentait de positionner la Hongrie comme un pont entre l’Est et l’Ouest. Washington et Moscou ont officiellement invoqué des « conditions inappropriées » pour justifier le report de la rencontre." La suite sur entrevue.fr

Hongrie : l’opposant Péter Magyar remporte son duel contre Orbán dans les rues de Budapest

"Le prétendant au poste de premier ministre, Péter Magyar a fait déferler plusieurs centaines de milliers de personnes jeudi 23 octobre 2025 dans la capitale hongroise. En réponse, Victor Orbán a également fait défiler ses partisans, bien moins nombreux à descendre dans la rue.

« 1956, Révolution. 2026, Changement de régime. » C’est sous cette banderole que Péter Magyar, prétendant au pouvoir de 44 ans contre le premier ministre, Viktor Orbán, a lancé sa « marche nationale » jeudi après-midi à Budapest. Une marée humaine de plus de cent mille personnes, a déferlé le long de l’avenue Andrassy, les Champs-Élysées hongrois, tapissée de feuilles d’automne, en scandant « On n’a pas peur ! ». La suite sur la-croix.com (article payant)

jeudi 23 octobre 2025

En Hongrie, le solaire triomphant affronte sa première crise de croissance

"Depuis l’année dernière, les centrales photovoltaïques contribuent à environ 25% de la production annuelle d’électricité en Hongrie. Tout simplement le taux de pénétration le plus élevé… au monde. Plus de 9 GW solaires parsèment désormais le territoire des Magyars. Pendant la seule année 2024, 1,5 GW ont été installés. Comparaison n’est pas raison, mais rapporté à la production globale d’électricité et au PIB, c’est comme si la France avait produit 140 TWh solaires et installé 20 GW photovoltaïques l’an dernier, contre 23 TWh et 5 GW dans les faits. A ce rythme, la Hongrie ne peut que dépasser son objectif, déjà rehaussé une fois, de 12 GW en 2030. 

Quinze années d’hyper-croissance

Pour se transformer en eldorado du solaire en moins de 15 ans, ..." La suite sur greenunivers.com (article payant)

En Hongrie et en Roumanie, deux raffineries de pétrole liées à la Russie touchées par un incendie et une explosion

"La raffinerie de Százhalombatta, en Hongrie, et celle de Petrotel-Lukoil, en Roumanie, ont été touchées respectivement par un incendie et une explosion, à quelques heures d’intervalle.

Deux importantes raffineries européennes ont été touchées par une explosion et un incendie à quelques heures d’intervalle : celle de Százhalombatta, au sud de Budapest, en Hongrie, dans la soirée du 20 octobre, et celle de Petrotel-Lukoil, en Roumanie, à la mi-journée le même jour. Les pompiers hongrois ont rapidement maîtrisé l’incendie de la première et aucun blessé n’a été signalé. L’explosion de la seconde a grièvement blessé un travailleur à la jambe et au crâne. Il a été transporté dans une unité de soins intensifs.

Les deux structures, qui comptent parmi les plus grandes des deux pays, ont un point commun : elles sont toutes les deux liées d’une manière ou d’une autre à la Russie. La raffinerie de Százhalombatta, seule grande installation de traitement du brut en Hongrie, raffine principalement du pétrole provenant de Russie, souligne Associated Press. Une rareté dans l’Union européenne, où la plupart des pays ont décidé de réduire leurs importations de pétrole et de gaz russes après l’invasion de l’Ukraine. La raffinerie de Petrotel-Lukoil est une filiale du groupe Lukoil, l’une des plus grandes sociétés pétrolières et gazières de Russie." La suite sur lefigaro.fr 

Racisme - Hongrie : une loi controversée vise les Roms au nom de « la préservation de l’identité locale »

"Mezőkeresztes - Des terrains vagues et des maisons abandonnées, anciennes propriétés de familles roms, parsèment Mezőkeresztes, un bourg de 3.500 âmes du nord-est de la Hongrie, où les autorités se sont empressées d’appliquer une nouvelle loi dont cette minorité semble la principale victime.

Mezőkeresztes a été la première commune du pays à appliquer la loi dite de «préservation de l’identité locale», adoptée en juin par le Parlement, qui permet aux municipalités de filtrer les personnes qui s’installent.

La mairie de Mezőkeresztes a acheté des maisons, au motif de leur insalubrité, et les a détruites.

L'édile Janos Majoros nie toute discrimination, affirmant à l’AFP que la procédure ne vise que les volontaires et les maisons «devenues de plus en plus délabrées»." La suite sur lopinion.fr

Analyse - Rencontre Trump-Poutine à Budapest reportée : une baffe pour Viktor Orbán ?

"L’idée d’un «sommet de paix» dans la capitale hongroise aurait été une revanche sur l’Union européenne pour le Premier ministre, à la fois pro-Trump et pro-russe. Depuis l’annonce d’un report, sa diplomatie s’active à sauver la rencontre.

Pendant les quelques jours qui ont suivi l’annonce d’une rencontre prochaine entre Trump et Poutine à Budapest, Viktor Orbán était extatique. Le Premier ministre hongrois, qui a tout fait pour ralentir et amoindrir le soutien européen à l’Ukraine, pouvait pleinement embrasser son rôle favori : celui d’émissaire de la «paix», écrite avec une ou plusieurs majuscules. «L’annonce [de la rencontre] prouve qu’il faut toujours défendre les bonnes causes jusqu’au bout. Depuis trois ans, nous avons défendu les négociations, la diplomatie et la paix. Cela nous a valu de lourdes critiques, mais au bout du compte Dieu rétablit toujours l’ordre», s’est-il gargarisé sur les réseaux sociaux la semaine dernière.

Tout s’est brutalement effondré quand Donald Trump a annoncé mardi 21 octobre..." La suite sur liberation.fr (article payant)

L'hypothétique sommet Trump-Poutine à Budapest enflamme la campagne électorale en Hongrie

"Le Fidesz de Viktor Orban est en perte de vitesse dans les sondages et s'attaque violemment à son challenger, Péter Magyar.

À ce jour, il n'y a toujours pas de date communiquée, ni d'ailleurs de garantie que le sommet russo-américain à Budapest, annoncé avec fracas par Donald Trump et bruyamment célébré par le Premier ministre hongrois Viktor Orbán, aura bien lieu. Mais son éventualité a suffi à enflammer une campagne électorale déjà en surchauffe à six mois des législatives, marquée par le bras de fer entre le Premier ministre (Fidesz) et son challenger Péter Magyar (Tisza).

Pour, recevoir les dirigeants des États-Unis et de la Russie, deux alliés qui souhaitent ouvertement sa victoire, est évidemment une victoire personnelle. "Cela fait trois ans  que nous sommes ouvertement et bruyamment en faveur de la paix. Voilà pourquoi la Hongrie était le seul endroit en Europe aujourd'hui où une rencontre Trump-Poutine  pouvait se tenir" a affirmé le Premier ministre, qui peinait à contenir une joie presque enfantine avant d'annoncer la grande nouvelle aux auditeurs de la radio publique, vendredi." La suite sur lalibre.be (article payant) 

En Hongrie, le bras de fer se tend entre Viktor Orban et son opposant Peter Magyar

"DÉCRYPTAGE - Des dizaines de milliers de personnes sont attendues dans les rues de Budapest jeudi, jour de fête nationale, à six mois des législatives.

« Infirmières, entrepreneurs, incorporés dans le travail d’intérêt général, intellectuels, jeunes et vieux, de gauche et de droite, libéraux et radicaux, anciens du Fidesz…, on vous attend tous le 23 octobre à Budapest ! ». À Csömör, une localité de dix mille habitants située trente kilomètres au nord-est de la capitale, non loin du célèbre circuit de F1 Hungaroring et du palais de l’impératrice Sissi à Gödöllö, Péter Magyar, rameute. Face à lui, quelques centaines de personnes venues l’écouter et voir le phénomène : ce jeune prétendant au pouvoir de 44 ans, qui veut mettre à bas le système Orban aux élections parlementaires d’avril 2026.

On l’interrompt pour lui glisser à l’oreille que le ministre de la Défense vient d’annuler l’autorisation de faire voler des drones au-dessus de Budapest,  pile au moment de sa grande « marche nationale », jeudi après-midi. Tollé du public. « Ils peuvent voler, mentir, truquer les photos, utiliser l’intelligence artificielle pour me montrer…» La suite sur lefigaro.fr (article payant)

Drame hongrois «Klára déménage» : Zsófia Szilágyi fait cartons pleins

La quotidienneté de chaque geste rend l’écho étouffé de la situation qui elle est exceptionnelle : le divorce, le «dé-ménage». 

"Récit du changement de vie d’une mère qui se retrouve seule avec ses deux enfants, l’anti-road movie hongrois sonde avec justesse la banalité du quotidien et le poids de la rupture.

On voit passer trop de films insignifiants qu’on reconnaît de loin, à ce qu’ils se donnent beaucoup de mal pour bander les muscles, pour prétendre au pedigree, la griffe d’auteur validée et festivals. Ce mercredi débarque l’air de rien Klára déménage. Ce genre de longs métrages se rencontrent peu, beaux «films irremarquables» qu’il faut, pour cette raison, ne pas louper.

Duras aurait aimé, de cette série d’allées et venues, l’originalité banale, et Chantal Akerman peut-être se serait divertie de la chorégraphie grise et précise de ce déménagement in extenso suivi et relaté, du matin jusqu’au soir, sur une heure et demie. C’est que le déménagement vu par la Hongroise Zsófia Szilágyi représente comme chez la réalisatrice belge une forme d’exil. Comme la Vie matérielle telle qu’observée par Duras est rendue admirablement et discrètement dans ce deuxième long métrage, d’un minimalisme sans apprêt : on porte la caméra comme les cartons et l’on suit pareil les trajets..." La suite sur liberation.fr (article payant)