mardi 30 novembre 2010
Aux armes et cætera…
lundi 29 novembre 2010
Gros succès en perspective pour la double-citoyenneté
dimanche 28 novembre 2010
L'intégrale de Liszt pour piano rééditée dans la douleur
Hongrie-Retraites: 10.000 manifestants
samedi 27 novembre 2010
Kürtőskalács sur les Champs-Élysées jusqu'au 2 janvier 2011
Non vous ne rêvez pas, vous avez bien lu. J'ai pu déguster ces jours-ci, à plusieurs reprises un
Kürtőskalács !!!!
sur les Champs-Élysées sur l'un des nombreux stands du marché de Noël. En partant du métro Franklin-Roosevelt descendre les Champs-Élysées par le trottoir de gauche en direction de la place de la Concorde et à mi-chemin vous trouverez cette délicieuse pâtisserie originaire de Transylvanie.Le kürtőskalács se fait connaître aussi en Mayenne www.tortillon.eu/
Hongrie: les marchés financiers sanctionnent le gouvernement
"Les marchés financiers hongrois, déjà nerveux à cause de la crise irlandaise, sanctionnaient également vendredi le projet de suppression des caisses de retraites privées du gouvernement de Viktor Orban.
La devise nationale, le forint (HUF), qui s'échangeait à 272-273 HUF/EUR il y a encore deux jours, a passé le cap des 280 HUF/EUR après l'annonce de mercredi." La suite sur lepoint.fr
vendredi 26 novembre 2010
PAC 2014 La Hongrie, une présidence de l’UE proche de la vision française
"La réforme de la Pac et la mise en place d'une législation sur la qualité et l'origine des produits en Europe sont les deux priorités de la Hongrie, qui prend la présidence de l'UE à partir du 1er janvier 2011.
C'est ce qu'a annoncé, son ministre de l'Agriculture, Sandor Fazekas, à l'occasion d'une conférence de presse organisée avec l'Afja (l'Association française des journalistes agricoles), le 25 novembre 2010 à l'ambassade de Hongrie à Paris.
A un mois de prendre la présidence de l'UE, le ministre n'a pas voulu en dire trop sur sa vision de la Pac après 2013 et, en particulier, sur la répartition des aides entre Etats membres." La suite sur lafranceagricole.fr
Hongrie: les fonds de pension, pris à la gorge, prêts à saisir la CEDH
"Les mesures prévues sont en contradiction avec pratiquement tous les paragraphes de la Constitution, ainsi qu'avec les valeurs fondamentales de l'Union européenne", a déclaré devant des journalistes la présidente de l'association Stabilitas.
"Pour cette raison, nous allons saisir la Cour constitutionnelle, mais aussi la Cour européenne des droits de l'Homme de Strasbourg", a ajouté Mme Bàba.
Mercredi, le gouvernement de Viktor Orban a donné aux trois millions de Hongrois cotisant à une caisse de retraite privée jusqu'au 31 janvier pour décider s'ils rejoignent le système public avec le pécule accumulé jusque là." La suite sur romandie.com
Bruxelles "inquiète" du sort des fonds de pension en Hongrie
"Les dernières annonces des autorités hongroises sur le système de retraite nous inquiètent. Elles semblent aller vers la suppression totale des caisses de retraites privées obligatoires", a réagi Amadeu Altafaj-Tardio, porte-parole du Commissaire européen aux affaires économiques et financière Olli Rehn, cité dans un communiqué." La suite sur lesechos.fr
La Hongrie rejoint la position franco-allemande sur la réforme de la PAC
"La Hongrie considère avec satisfaction la position des gouvernements français et allemand pour une politique agricole commune forte au-delà de 2013, qui est une contribution importante au débat en cours", écrivent Bruno Le Maire et Sandor Fazekas." La suite sur lesechos.fr
"Personne ne l'a vu deux fois" - Critique par András Kányádi
"Il arrive un moment de tournant dans la carrière de chaque grand écrivain. László Krasznahorkai, comme tant d’autres, a ressenti le besoin de se renouveler. Après avoir amplement disséqué le désastre et la décadence de la Hongrie provinciale peuplée de personnages marginaux en proie à la folie visionnaire, aux pulsions meurtrières et à l’alcoolisme dévastateur, bref, l’existence de ces sans-espoir ballotés par un destin aveugle, le voici à présent se ressourcer dans la sérénité de la spiritualité de l’Orient. " La suite sur litteraturehongroise.fr
Voir aussi l'interview de László Krasznahorkai
et le Blog des Mardis hongrois
Egyetleneim (My One and Onlies) de Gyula Nemes (2008) 2 décembre 2010 à 20h Institut hongrois de Paris / Cinéma V4
78 minutes, sous-titré en anglais
« Le film s’inscrit dans la lignée de L’homme qui aimait les femmes et suit la quête frénétique amoureuse d’un jeune séducteur de 24 ans quadrillant les rues de Budapest et multipliant les rencontres. Mais cette traque quasi burlesque se déroule aussi sur fond de drame sentimental avec la naissance et la fin d’un grand amour. » (Cineuropa)
Orsolya Tóth a remporté le Prix de la meilleure interprétation féminine pour son rôle au Festival du cinéma hongrois de Budapest.
Entrée : 5 / 3 €
Institut Hongrois de Paris, 92, rue Bonaparte 75006 Paris
Tél. : 01 43 26 06 44
Métro: Saint-Sulpice ou Mabillon
Bus: 58, 84, 89
info@instituthongrois.fr
http://www.instituthongrois.fr/
Visite guidée - EXPOSITIONS DE FORMELLES 2 décembre 2010 à 19h Institut hongrois de Paris
Inscription recommandée : accueil@instituthongrois.fr, 01 43 26 06 44
Entrée libre
Cette exposition est le fruit d’un choix subjectif assumé sur un sujet éternel et universel. Nous avons recueilli des photos représentant des nus, des corps féminins, dans leur plus grande simplicité et plasticité. Simples, puisque dénudés de tout contexte, et plastiques, puisque représentés dans leurs dimensions complexes.
Le caractère subjectif de l’exposition provient d’un intérêt personnel : étant un sculpteur moi-même, ma conception dans la sélection des œuvres exposées a été définie par la vision du sculpteur dans la création photographique. La photographie, quoique étant une branche d’art qui œuvre dans le plan, dans un espace de deux dimensions, est toutefois apte à sonder les profondeurs des trois dimensions.
Dans l’histoire de l’art, il existe depuis toujours une distinction entre l’approche du peintre et du sculpteur. Tandis que le premier s’intéresse essentiellement à la composition des plans, aux couleurs et à la perception du temps, le dernier se focalise sur la matière et tout particulièrement sur la forme elle-même sans contexte. Avec l’exposition « formELLES » j’ai tenté de montrer comment les photographes enfermés dans l’espace d’une feuille de papier s’aventurent dans les modes d’expression de la sculpture.
Pour mieux montrer les différentes réalisations de cette conception, il m’a semblé évident de choisir une forme précise : le corps de la femme, un sujet tant étudié, un objet de prédilection pour les artistes de tous les temps. Sans principe et sans théorie, considérant le seul impératif du questionnement sur les chemins de la représentation du corps, l’exposition met en parallèle les photos de nu du début du 20e siècle avec les photographies contemporaines. Deux périodes de la photographie hongroise où les artistes ont représenté le corps de la femme exempt de tout contexte socioculturelle.
Csaba VARGA
commissaire de l’exposition
Artistes exposés :
BRASSAÏ | Tibor CSÖRGEÕ | Károly DANASSY | Nora DUMAS | Emeric FEHÉR | André KERTÉSZ | KÓSA | Ergy LANDAU | Juci LAUB | Ervin MARTON | László MOHOLY-NAGY | Martin MUNKÁCSI | József PÉCSI | Dénes RÓNAI | André STEINER
Máté BARTHA | Gábor BUDA | Tamás DOBOS | Alexandra Kinga FEKETE | Luca GÕBÖLYÖS | József KERESZTES-NAGY | Mátyás MISETICS | Suzanne NAGY | Krisztina SARDI | György TÓTH
Dans le cadre du Mois de la Photo à Paris, novembre 2010 | Paris Photo
En collaboration avec :Musée de la photographie, Kecskemét | Musée Littéraire Petõfi, Budapest | Galerie Vintage, Budapest | Galerie Erdész | Maison Européenne de la Photographie, Paris | Estate BrassaÏ | Collection Christian Bouqueret
Institut Hongrois de Paris, 92, rue Bonaparte 75006 Paris
Tél. : 01 43 26 06 44
Métro: Saint-Sulpice ou Mabillon
Bus: 58, 84, 89
info@instituthongrois.fr
http://www.instituthongrois.fr/
Le Père Noël à l’Institut hongrois 1er décembre 2010 à 15h30
Institut Hongrois de Paris, 92, rue Bonaparte 75006 Paris
Tél. : 01 43 26 06 44
Métro: Saint-Sulpice ou Mabillon
Bus: 58, 84, 89
info@instituthongrois.fr
http://www.instituthongrois.fr/
jeudi 25 novembre 2010
Sur les traces du Yiddishland avec Alain Guillemoles
Le Yiddishland fait référence à l’utilisation par les communautés juives d’Europe centrale et orientale de la langue yiddish. L’auteur le situe « des rives de la Baltique à celles de la mer Noire et de l’Allemagne jusqu’à la Russie ». La suite de l'article sur nouvelle-europe.eu
Voir aussi le Blog des Mardis hongrois
Alain Guillemoles sera l'invité des Mardis hongrois à l'Institut hongrois de Paris en début d'année prochaine.
Harmonia Caelestis - spectacle en allemand surtité en français Peter Esterhazy/David Marton 4, 6 et 7 février 2011
Cette année, la 8eme édition du festival Standard Idéal, c’est …
… des pères et des fils, qui tentent de se comprendre…. On ne tue plus les pères dans le théâtre d’aujourd’hui. C’est aussi un festival où la musique prend une place importante, comme un sous-texte omniprésent.
Pour ce grand rendez-vous de théâtre international, la Hongrie, a une place de choix. Nous entendrons le très grand texte de Peter Esterhazy et toute l’histoire de cette famille de l’aristocratie austro-hongroise, grâce à la mise en scène musicale de David Marton, musicien virtuose, hongrois comme Arpad Schilling, dans la ligné de Marthaler, il est actuellement sur toutes les grandes scènes d’Allemagne et d’Autriche.
HARMONIA CAELESTIS - spectacle en allemand surtité en français
Peter Esterhazy/David Marton
4, 6 et 7 février 2011
Dans ce roman, Péter Esterházy part à la recherche d’une famille de l’aristocratie austro-hongroise, la sienne, expropriée en 1951 par les communistes hongrois. Le mythe du père est au centre de l’œuvre, sous la forme d’une figure légendaire qui traverse les siècles, surgissant à des époques et dans des cultures différentes.
David Martón, pianiste de formation, utilise la musique pour interroger la réalité : son théâtre est musical ET narratif, à travers de multiples associations. A l’image du roman, qui procède par fragments, il crée un patchwork étonnant. Partant de la structure littéraire, il fabrique une mosaïque théâtrale où se rencontrent de manière fascinante les formes musicales, de Haydn à Bartók, du baroque à l’époque moderne. Un requiem devient une valse mélancolique, Mozart bascule dans Morricone. Une telle polyphonie est le principe fondamental de cette approche de la réalité, qu’elle soit historique ou contemporaine. Martón a réuni des comédiens stupéfiants, des musiciens virtuoses. Ensemble, ils révèlent que chaque mélodie contient toute une histoire. Chaque image reliée à un son, chaque son déclenchant une image – défilant sur un plateau étrangement rempli d’objets, reliques d’un salon d’aristocrates – raconte la décomposition d’une famille, d’un système social et des époques auxquelles la dynastie des Esterházy était liée. Sans nostalgie, mais avec un charme dans lequel verbe, musique et jeu forment une texture théâtrale fascinante.
La musique des quatre saisons - Une découverte de la nature au fil des saisons, en image et en musique avec 1 CD audio
Découvre la nature et ses transformations au fil de l'année.
Chaque saison est bien particulière, avec sa lumière, ses paysages, ses couleurs et ses odeurs : les fleurs du printemps qui libèrent leurs senteurs fraîches, les vergers qui offrent leurs plus beaux fruits de l'été, les champignons et châtaignes que l'on ramasse en automne, les animaux qui dorment l'hiver, bien au chaud dans leur tanière... Chaque saison est mise en valeur par des illustrations poétiques et colorées, des tableaux impressionnistes de Claude Monet et des extraits des Quatre Saisons de Vivaldi.
Une découverte pédagogique et une initiation artistique autour de la peinture et de la musique !.
Paru le : 18/10/2010
Source : decitre.fr
Voir aussi le blog de Hajnalka Cserháti, illustratrice, domiciliée en Hongrie http://ojni.blogspot.com/p/acceuil.html
----------------
Merci à michartpoesho pour cette information
Sándor Márai - L’amour à mort
Mélancolique certes, douloureux parfois, mais quel magicien! Célèbre dans les années 30, tombé dans l’oubli après 1948 et redécouvert au début des années 90, le Hongrois Sándor Márai s’impose comme un ciseleur de mots dont chaque ouvrage renouvelle l’enchantement.
Avec un talent qui émerveille et semble couler de source, l’auteur de Braises, Métamorphoses d’un mariage ou Le premier amour, reformule les sentiments et les choses pour leur conférer l’éclat du joyau. Se plonger dans l’un de ses livres suffit à vous transformer en otage fasciné et surpris de constater à chaque phrase, à chaque page, combien son monde qui pourtant plonge ses racines dans la Mitteleuropa du début du XXe siècle conserve une paradoxale actualité et une saisissante pertinence." La suite sur hebdo.ch
Diplomatie culturelle - La nouvelle stratégie du directeur général de l'Institut Balassi
Europe needs to send Hungary a signal
"It's time the EU made some noise about Hungary's attacks on democracy and the rule of law.
One effect of the financial crisis has been to make European countries more inward-looking: everyone is dealing with their own problems (and debts) as best as they can, and attention only shifts elsewhere in the EU when a nation might default altogether, as with Greece and now Ireland. But the EU was never meant to be just about money and markets: at least from the 1980s onwards, it was also meant to promote and secure democracy. This was particularly important for Spain and Portugal and then the central and eastern European states that joined in 2004. But now the EU seems to be turning a blind eye to one of these countries: Hungary, where a governing party with a huge majority in parliament is busy dismantling the rule of law and eroding a fragile democratic political culture." La suite sur guardian.co.uk
Lire aussi un résumé en français de cet article sur hu-lala.org
« L’autre » Orbán parle d’Europe à Paris
Très loin de l'image populiste qu'il se donne dans son pays d'origine, nous y avons découvert un Orbán pro-européen tenant un discours précis et clair sur les projets de la présidence hongroise de l'UE." La suite sur hu-lala.org
Hongrie : le gouvernement fait pression sur les caisses de retraites privées
Actuellement, les Hongrois ont la possibilité de verser une partie des cotisations retraite obligatoires à un organisme privé dans l'espoir de toucher une pension plus importante.
"Les souscripteurs des caisses de retraite privées devront décider jusqu'au 31 janvier s'ils reviennent au sein du système d'Etat, ou bien s'ils veulent rester dans le système privé, qui ne sera plus obligatoire, mais volontaire à partir de mi-décembre", a déclaré le ministre de l'Economie György Matolcsy après le conseil des ministres." La suite sur lesechos.fr
mercredi 24 novembre 2010
Enikő Szilágyi Mercredi 24 novembre 2010 à 20h30 à l'Archipel
Mercredi 24 novembre 2010 à 20h30 à l'Archipel
17 bd de Strasbourg 75010 Paris
Youkali (5'04)
Paroles : Roger Fernay – Musique : Kurt Weill – Piano : Guillaume Rouzaud
J’attends un navire (4’18)
Paroles : Jacques Deval – Musique : Kurt Weill – Piano : Guillaume Rouzaud
Le train du ciel (4’59)
Paroles : Jacques Deval – Musique : Kurt Weill – Piano : Guillaume Rouzaud
Le Grand Lustrucru (2'54)
Paroles : Théodore Botrel / Jacques Deval – Musique : Kurt Weill – Piano : Guillaume Rouzaud
Je ne t’aime pas (3'46)
Paroles : Maurice Magre – Musique : Kurt Weill – Piano : Guillaume Rouzaud
La complainte de la Seine (4'13)
Paroles : Maurice Magre – Musique : Kurt Weill – Piano : Guillaume Rouzaud
Tschaikowsky and Other Russians (2'46)
Paroles: Ira Gershwin – Musique: Kurt Weill – Piano: Guillaume Rouzaud
Klausenbourg (3’46)
Paroles : Enikő Borbely Szilágyi / Marc-Fabien Bonnard – Musique : Vivien Villani / Marc-Fabien Bonnard – Piano : Vivien Villani
Mon mariage (2'39)
Paroles : Marc-Fabien Bonnard – Musique : Vivien Villani – Piano : Vivien Villani
Réapprendre (5'21)
Paroles : Marc-Fabien Bonnard – Musique : Vivien Villani - Piano : Vivien Villani
L’Éternité Picasso (6'32)
Paroles : Frank Thomas – Musique et orchestration : Jean Musy
Valse (2'29)
Paroles: Enikő Borbely Szilágyi – Musique et orchestration: Jean Musy
Dans Paris (4'33)
Paroles: Marc-Fabien Bonnard – Musique : Janna Bylboulian – Orchestration : Jean Musy
Enikő Szilagyi, d'origine hongroise et de nationalité belge, est diplômée de l' Université de Théâtre Dramatique et de Cinématographie. Elle compte à son actif, une vingtaine de films et une soixantaine de rôles principaux pour le théâtre, dont Hedda Gabler, Yerma, Marie Stuart, Médée, Electre… Elle a reçu de nombreuses distinctions (Prix de la meilleure interprétation, Croix de la Légion d'Honneur de la République Hongroise).
Touchée par les textes de Boris Vian, Maurice Magre, Brecht, elle débute dans la langue de Molière, dans une série de concerts théâtralisée.
Après un succès inattendu, elle parcourt l'Europe : 300 spectacles à travers les pays de l'Est, l'Allemagne, la Belgique, les États-Unis, sans parler de la France, pays l'ayant nommée « Ambassadrice de la chanson francophone".
Source : l'Archipel
Concert du groupe Zengő - Mercredi 24 novembre 2010 à 20h00 Institut hongrois de Paris
Réka Kurucz : chant, violon-alto, zither, tapan, gardon, danse
Alíz Bogárdi : violon-alto, lute-paysan, violin, zither, chant
András Bergics : cornemuse, violin, contrebasse, flute, chant
Balázs Bergics : contrebasse, zither, lute-paysan, gardon
Tóth Márton : danse, derbuka, tapan, tambura, chant
Lajos Bergics : violin, lute-paysan, tambura, vielle, flute, chant
Entrée libre
Institut Hongrois de Paris, 92, rue Bonaparte 75006 Paris
Tél. : 01 43 26 06 44
Métro: Saint-Sulpice ou Mabillon
Bus: 58, 84, 89
info@instituthongrois.fr
http://www.instituthongrois.fr/
Soirée des Mardis hongrois du 23 novembre 2010 - Les images
La Hongrie encore plus corrompue en 2010
La Hongrie, vers une «démocratie dirigée» à la russe
« Il est concevable que, d’ici pas très longtemps, la Hongrie ressemble plus à la "démocratie dirigée" russe qu’à toute autre démocratie pluraliste occidentale avec ses garde-fous et ses contre-pouvoirs. », écrit l’auteur de l’article, Jan-Werner Mueller, professeur de sciences-politiques à l’Université de Princeton." La suite sur hu-lala.org
György Ligeti et la musique populaire Simon Gallot
Paru aux éditions Symétrie
György Ligeti conquiert le grand public dans les années 1970, notamment grâce au film de Stanley Kubrick, 2001, l’Odyssée de l’espace, dont la bande-son reprend des extraits d’ Atmosphères et du Requiem. Si la démarche du compositeur, apprécié de l’avant-garde musicale comme de l’homme de la rue, peut sembler rejoindre une tendance contemporaine à déranger les catégories du « savant » et du « populaire », l’inspiration populaire de Ligeti et sa capacité à créer des systèmes nouveaux remonte pourtant à ses premières années et à sa formation au conservatoire de Budapest.
L’évolution récente de la recherche musicologique permet de considérer l’œuvre de Ligeti dans sa totalité, de revenir aux origines de son style et de réhabiliter ses années hongroises, souvent occultées. Simon Gallot établit la filiation du compositeur, présente et analyse des partitions oubliées, traduit les poésies et les articles hongrois essentiels. Il dessine ainsi le rôle capital de l’argument populaire dans l’œuvre de Ligeti qui, des premières compositions aux dernières Études pour piano, tisse la toile de fond d’un univers sonore infiniment ramifié et uni.
Le catalogue donné en fin d’ouvrage comprend les œuvres de György Ligeti et ses esquisses conservées à la fondation Paul Sacher.
mardi 23 novembre 2010
Julien Faure - Récital de piano à la Scots Kirk Paris samedi 27 novembre 2010
Le pianiste concertiste Julien Faure donnera un récital Liszt et Bartók à la Scots Kirk (à deux pas des Champs-Elysées) le samedi 27 novembre prochain à 20h00.
The Scots Kirk Paris
17, rue Bayard – Paris 75008
www.scotskirkparis.com
M° : Franklin D. Roosevelt ou Champs-Élysées Clemenceau
Julien Faure débute le piano à l’âge de cinq ans auprès d’Isabelle Capart. Prix d’Honneur UFAM à douze ans, il rentre au Conservatoire National de Région de Boulogne-Billancourt chez Geneviève Ibanez. Il entre ensuite au Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Paris, où il obtient son prix en 1998 (classe de Brigitte Engerer). Il se perfectionne alors auprès de Frédéric Aguessy et de György Sándor à Genève et est admis en 3ème cycle au Royal College of Music de Londres. En 2005, il obtient un premier prix d’harmonie à l’unanimité au Conservatoire d’Issy-les-Moulineaux dans la classe d’Isabelle Duha. Deuxième prix du concours Vasso Devetzi, Julien Faure est lauréat de plusieurs concours internationaux. Il se produit régulièrement, menant aujourd’hui une double carrière de pianiste concertiste et d’auteur-compositeur-interprète.
Le 16 novembre dernier il a donné un concert dans la capitale moldave dans le cadre des "Mardis de l'Europe" du Programme Européen de Piano de la Commission Européenne.
lundi 22 novembre 2010
Je suis là dans une heure! - Comédie burlesque du 29 novembre au 1er décembre à la Miroiterie, le 5 décembre au Café de Paris
Compagnie hongroise-italienne vous invite:
Le 29, 30 novembre et le 1er décembre à 20h à la Miroiterie 88 rue de Ménilmontant 75020 Paris Métro Ménilmontant
et le 5 décembre à 20 h au Café de Paris 158 rue Oberkampf 75011 Paris Métro Ménilmontant
pour voir la première création de la compagnie Uni Vers Elles:
Je suis là dans une heure!
comédie burlesque
Inspiré par un exercice d’une école de théâtre, c’est une pièce constituée d’une succession de saynètes.
Le nerf de la pièce est la réplique éponyme: «Je suis là dans une heure!». Une réplique des plus anodines que l’on peut très bien entendre tous les jours, à la poste, au bureau, à la maison, chez le médecin, au restaurant… Tellement anodine qu’on ne se doute plus de l’immensité des possibilités d’utilisation de cette phrase. C’est précisément ce qui a motivé l’écriture de la pièce. Nous avons exploité l’aspect humoristique de cette réplique. En inventant des situations très réalistes ou pour certaines irréelles et farfelues, nous en sommes arrivées à une unité de ton complètement burlesque. Quand même les scènes évoquant les difficultés et les douleurs de la vie ont provoqué des rires allant jusqu’aux larmes, nous avons compris que notre spectacle avait aussi la force de transformer les larmes de douleur en larmes bien plus joyeuses.
Sans aucune prétention de changer le monde, nous voulons juste ajouter notre petite pierre à la belle idée que même si la vie peut être dure, le rire est une arme redoutable contre la douleur.
Notre envie est de faire passer aux spectateurs une heure agréable, en leur faisant oublier leurs tracas quotidiens justement en leur en parlant !
Petit extrait de la pièce:
La blonde: Allo, police, il y a quelqu’un dans mon jardin.
Le policier: Il est comment?
(Pas de réponse)
Le policier: Madame, allo!
La blonde: Ahhhh…! Qui c’est?
Le policier: La police. Allo, là madame dans votre téléphone. C’est vous qui m’avez appelé.
La blonde: Ah c’est vrai.
Le policier: Il est comment?
La blonde:Qui?
Le policier: La personne dans votre jardin…
La blonde: Il y a une personne dans mon jardin?
Le policier: Oui, apparemment… alors il est comment?
La blonde: Ah… 1m 83 cm, 75 kg, chaussure 44, numéro de sécurité sociale 1 82 04…
Le policier: Non, madame, est ce qu’il a l’air dangereux?
La blonde: Ah… oui, bien sur, il a un pistolet dans son pantalon.
Le policier: Ce n’est pas un pistolet…
La blonde: Il essaie d’ouvrir la porte! Ahhhhhh! Il est rentré dans la maison!
Policier: Cachez vous sous le lit!
La blonde: Il est rentré dans la chambre…
Le policier: Écartez vos jambes! ... je suis la dans une heure!
…’’
Plus d'informations sur facebook: UNI VERS ELLES CIE
Les reliques de la Hongrie communiste vendues aux enchères
Le secrétaire d'Etat Bence Retvari a précisé que ces objets avaient été retrouvés dans des entrepôts, "où ils ont pris la poussière ces 20 dernières années."" La suite sur nouvelobs.com
UE : L’opération séduction de Viktor Orban
La Hongrie veut rassembler ses brebis égarées
Au premier abord il n’est pas forcément évident de cerner les objectifs concrets d’un tel dispositif. A moins d’avoir en tête le projet, ou plutôt "la mission historique" que s’est donné le gouvernement de « rassembler la nation hongroise ». C’est donc une mesure à mettre en parallèle avec celle sur la double-citoyenneté, sur le "jour de l'unité nationale" et les prémices de projet relatif au droit de vote aux Hongrois des pays voisins." La suite sur hu-lala.org
dimanche 21 novembre 2010
Bernadett Prokai, Hongroise, vend ses spécialités - Cossé-le-Vivien
"Bernadett Prokai est Hongroise. Elle a quitté, il y a 3 ans, Eger une commune de la même importance que Laval, située à l'est, à une centaine de kilomètres de Budapest. En janvier 2010 elle s'établit comme auto-entrepreneur. Cela fait déjà deux semaines que Bernadett s'installe le mercredi au marché de la commune.
Le jeudi elle est à Château-Gontier. Son agenda est bien rempli. Elle est retenue pour les marchés de Noël à Courbeveille, Laval, Montsûr, Soulgé-sur-Ouette, Saint-Fort, Mésanger et dès la semaine prochaine à Saint-Georges-le-Fléchard. Bernadett Prokai fabrique devant le client, dans un petit chalet en bois, une spécialité hongroise : le kürtöskalacs. Elle a traduit en français, langue qu'elle parle parfaitement bien, le nom de ce met par tortillon brioché.
Elle dévoile une partie de sa recette, de la farine, du sucre, de la levure, du sel, de l'eau, du beurre et un zeste de citron. De forme cylindrique, la pâte est cuite au four. Après cuisson, à la demande du client, elle roule le tortillon dans la cannelle, la noix de coco, le chocolat, la vanille, des noisettes, des amandes ou des noix. L'extérieur est croustillant, l'intérieur moelleux.
Tél. 06 35 92 57 14, fionapple@gmail.com, www.tortillon.eu
Source ouest-france.fr
samedi 20 novembre 2010
Un vélo sans chaîne: le Stringbike
Voir la vidéo
L’Ombre de Dracula – La mission secrète qui a déclenché la révolution en Roumanie Mardi 23 novembre 2010 à 20h00 Institut hongrois de Paris
Le film raconte l’histoire terrifiante durant la guerre froide des événements qui ont véritablement déclenché la révolution sanglante en Roumanie, le 15 décembre 1989, lorsque les fidèles de l’église du pasteur dissident László Tõkés, à Timisoara (Temesvár), se sont rassemblés autour de son église pour le protéger contre les soldats et la police secrète roumaine, la Securitate.
En présence du réalisateur Árpád Szõczi, qui répondra aux questions du public.
Entrée : 5 / 3 €
Institut Hongrois de Paris, 92, rue Bonaparte 75006 Paris
Tél. : 01 43 26 06 44
Métro: Saint-Sulpice ou Mabillon
Bus: 58, 84, 89
info@instituthongrois.fr
http://www.instituthongrois.fr/
Boue rouge: indemnisation totale promise
Concert de Róbert Nagy et d’Éva Kardos 25 novembre 2010 á 20h Institut hongrois de Paris
Programme :
János Vajda : Just for you Nr.1 (l’une des oeuvres écrites pour le concours Casals à Budapest en 1985)
Franz Schubert : Sonate la mineur « Arpeggione » (Allegro moderato-Adagio-Allegretto)
Entr‘acte
Johannes Brahms : Sonate mi-mineur op. 38 (Allegro non troppo-Allegretto quasi Menuetto-Allegro)
Zoltán Kodály : chansons hongroises populaires – Rondo
En collaboration avec le Forum culturel autrichien
Entrée libre
Institut Hongrois de Paris, 92, rue Bonaparte 75006 Paris
Tél. : 01 43 26 06 44
Métro: Saint-Sulpice ou Mabillon
Bus: 58, 84, 89
info@instituthongrois.fr
http://www.instituthongrois.fr/
vendredi 19 novembre 2010
Présidence de l'UE : la Hongrie change ses plans
Pas de fête nationale roumaine à Budapest
POLITIQUE - Orbán à Paris
"Après une longue période d'affaissement (süllyedés en hongrois) et de déchéance (züllés) provoquant le mécontentement de la population et grâce aux résultats des dernières élections, la Hongrie se retrouve sur la bonne voie pour rattraper son retard." Voici le début de la conférence de Viktor Orbán (www.nolblog.hu)- en bonne partie improvisée et prononcée en hongrois avec traduction simultanée d'excellente qualité." La suite sur lepetitjournal.com
2 Hongrois accusés de 54 vols en DAB
Lundi, les policiers du service d’investigation transversale (SIT) ont interpellé à l’aéroport d’Orly les deux suspects qui s'apprêtaient à regagner leur pays, selon la source.
Les enquêteurs leur imputent cinquante-quatre vols dans des DAB selon un même mode opératoire, a raconté la PP: il se présentaient devant le distributeur en dehors des heures d'ouverture de la banque. Ensuite, ils installaient, devant la bouche de sortie des billets, une languette métallique sur laquelle du scotch était apposé." La suite sur lefigaro.fr
Paris Photo, la capitale qui ouvre le marché de l’Europe centrale
L’oeuvre la plus chère montrée à Paris Photo vient d'André Kertész, l’Hongrois qui a révolutionné, via Paris et New York, la photographie moderne. La photo Chez Mondrian de 1927 a la taille d’une carte postale et est mise en vente pour 700 000 euros à la galerie new-yorkaise Greenberg." La suite sur rfi.fr
Accord UE-Russie: la Hongrie demande cinq garanties pour l'Europe centrale
"PARIS - Le Premier ministre hongrois Viktor Orban, qui assurera au premier semestre 2011 la présidence tournante de l'UE, a demandé jeudi cinq "garanties" pour l'Europe centrale à un accord stratégique qu'il a annoncé comme proche entre l'Union européenne et la Russie.
"Le moment n'est pas loin où l'UE procèdera à un accord historique avec la Russie, mais l'Europe centrale doit avoir des garanties en termes de sécurité militaire, d'infrastructures économiques, d'accès aux marchés et d'autres questions", a déclaré le chef du gouvernement hongrois, s'exprimant devant l'Institut français des relations internationales (IFRI).
Cet accord de partenariat stratégique est en négociation depuis des années entre la Russie et l'UE, mais achoppe notamment sur les questions de l'énergie. Un sommet UE-Russie est prévu le 7 décembre à Bruxelles." La suite sur romandie.com
Boue toxique en Hongrie: les victimes renoncent à manifester
"Les victimes de la coulée de boue rouge toxique en Hongrie ont renoncé à braver une interdiction de manifester vendredi mais appelé mercredi soir le Premier ministre Viktor Orban à s'engager personnellement afin qu'ils soient rapidement indemnisés.
Les victimes de l'accident industriel du 4 octobre, qui a fait dix morts et 150 blessés, voulaient passer outre une interdiction de la police et manifester vendredi.
Ils ont finalement décidé d'attendre jusqu'à la fin du mois, a indiqué l'organisateur de la manifestation, Géza Csenki, lors d'une réunion des habitants de Devecser, l'une des villes les plus touchées par la catastrophe, avec le village voisin de Kolontar." La suite sur france24.com
jeudi 18 novembre 2010
Paris Photo récompense Gábor Ősz
"Le Prix BMW Paris Photo 2010 a été décerné hier à l’artiste contemporain hongrois Gábor Ősz, pour Permanent Daylight datant de 2004. Né en 1962, Gábor Ősz, qui habite Amsterdam, utilise principalement la technique de la «camera obscura» (chambre noire), procédé d’enregistrement en direct de la lumière sur papier. L’œuvre primée est extraite d’une série réalisée depuis une caravane transformée en camera obscura." La suite sur liberation.fr
Le salon Paris Photo met le cap sur l'Europe centrale
Ce rendez-vous international annuel de la photographie, très attendu des collectionneurs, a démarré mercredi par une après-midi réservée aux professionnels. Il fermera ses portes dimanche.
Paris Photo rassemble cette année 106 exposants (91 galeries et 15 éditeurs), sélectionnés sur leur projet. Le salon a une coloration internationale marquée, avec 77% de participants étrangers. 25 pays sont représentés." La suite sur france24.com
Bordeaux: le plus sordide de la prostitution au festival contemporain Novart
"Hard to be a god" du Hongrois Kornel Mundruczo, ou l'immersion dans les aspects les plus sordides de la prostitution, a marqué le 8e festival Novart à Bordeaux, un rendez-vous des arts de la scène contemporaine qui se tient jusqu'au 21 novembre.
Dans deux semi-remorques, cachant un atelier de couture clandestin, trois prostituées séquestrées et exploitées par une maquerelle subissent les sévices de sadiques sous l'oeil d'une caméra. Des scènes crues et remuantes, alliant la vidéo et le théâtre, où le spectateur se fait voyeur de la brutalité du monde, observant passivement le processus de destruction voulu par Mundruczo." La suite sur lepoint.fr
Selon Jobbik, il n’y a pas de démocratie en Hongrie actuellement
"Le parti d’extrême-droite Jobbik a rassemblé ses sympathisants sur Kossuth tér, devant le parlement, mardi soir, pour protester contre l’omnipotence de Viktor Orban et de son parti la Fidesz et contre sa volonté de réécrire la Constitution hongroise." La suite sur hu-lala.org
Lire aussi l'article sur index.hu (en hongrois)
UE : Orban veut «une stratégie pour les Roms»
Viktor Orban effectue une tournée des capitales avant la présidence hongroise de l'Union européenne, qui débutera le 1er janvier prochain.
LE FIGARO. - Quelles seront les priorités de votre présidence?
Viktor ORBAN. - Au départ, nous croyions que nous pourrions en décider nous-mêmes! Nous avions pensé attirer l'attention sur deux thèmes: la diversité culturelle au sein de l'UE et la problématique de l'approvisionnement en eau. Nous n'y avons pas renoncé, mais d'autres thèmes délicats ont pris le dessus: la gouvernance économique, la révision du traité de Lisbonne et l'harmonisation des politiques budgétaires. Il y a ensuite le problème des Roms, la stratégie pour le Danube, et j'aurais aussi voulu avancer sur le partenariat oriental, en offrant des perspectives sur-mesure aux six États concernés. Il faut également donner une réponse à la demande d'adhésion de la Croatie… Bref: nous ne chômerons pas!" La suite sur lefigaro.fr
mercredi 17 novembre 2010
Hongrie : la banque centrale critique les réformes fiscales du gouvernement
"Il est inquiétant que la baisse du déficit public ne soit pas fondée sur des réformes à long terme, mais sur des mesures temporaires qui risquent de freiner les investissements", a-t-il déclaré devant des étudiants de l'Université des sciences économiques de Budapest." La suite sur lesechos.fr
Hongrie: les victimes de la boue rouge se mobilisent pour être indemnisées
"Nous maintenons notre manifestation. Nous exigeons une indemnisation totale pour tout le monde. Nos vies sont démolies, maintenant ils veulent limiter nos droits. On ne se laissera pas faire, s'ils veulent, qu'ils nous tirent dessus", a déclaré M. Csenki à l'agence de presse hongroise MTI." La suite sur romandie.com
André Kertész, le maître
Allez voir la formidable rétrospective André Kertész à l’ouverture, lorsque la lumière est belle sur les Tuileries et la Concorde, et surtout lorsque la foule n’a pas encore envahi le lieu et, que muni d’une loupe, vous aurez l’impression de
communier avec le Hongrois, via ses contacts miniatures intenses, comme sortis de son album photo perso. Car grâce au bouche-à-oreille, tout le monde sait que cette exposition est « Le » joyau de ce Mois de la photo." La suite sur humanité.fr
«Quatre tiers des Hongrois»
Décès de l'ancien champion olympique de lutte Imre Polyak
mardi 16 novembre 2010
J’ai choisi la France L’odyssée d’un journaliste qui a traversé trois quarts de siècle, - Présentation du livre de Thomas Schreiber le 7 décembre 2010
J’ai choisi la France L’odyssée d’un journaliste qui a traversé trois quarts de siècle, France Empire Monde, 2010
le 7 décembre 2010 à l'Institut hongrois de Paris
La conversation avec l'auteur sera animée par Daniel Vernet, journaliste, ancien directeur des relations internationales du « Monde », co-fondateur du site « Boulevard-Extérieur »
Au-delà de l’épopée miraculeuse racontant sa fuite devant les nazis et les staliniens, c’est un véritable morceau d’histoire de notre continent que nous raconte Thomas Schreiber, un des meilleurs observateurs de la politique de l’Europe centrale. Après le récit de son enfance heureuse dans la Hongrie d’avant-guerre, il nous entraîne dans ses aventures peuplées d’acolytes hongrois d’Hitler, puis de Staline avec une verve digne d’un roman policier.
On découvre ensuite comment, sur la route des États-Unis qu’il ne rejoindra pas, une halte accidentelle à Paris va faire de l’auteur un citoyen français à part entière. L’entrée en journalisme de Thomas Schreiber constitue un autre morceau de bravoure narré sur le même ton. La bonne fée qui le protège le ramène dans son pays d’origine, la Hongrie, pour son premier reportage important.
Les épisodes de la guerre froide, dont il fut l’un des meilleurs analystes, sont rappelés avec une clarté lucide et émaillés d’anecdotes pittoresques. Au fur et à mesure qu’avancent les années 80, on découvre des évènements qui présagent l’effondrement du mur de Berlin, notamment à travers les conversations de l’auteur avec ceux qui seront les futurs dirigeants de l’Europe de l’Est libérée.
Cette histoire vraie est un témoignage emblématique de trois quarts de siècle qui ont transformé le visage de l’Europe.
Thomas Schreiber
Journaliste, longtemps éditorialiste à Radio France Internationale, il collabore à plusieurs journaux et revues en France et en Hongrie, dont Le Monde, L’Express, Politique Internationale, TV5 Monde. Il a été en outre co-responsable de l’annuaire de la Documentation Française, consacré à l’Europe centrale et orientale (1968-2000). Il est l’auteur de nombreux livres et professeur associé à l’École Spéciale Militaire de Saint-Cyr Coëtquidan.
Institut Hongrois de Paris, 92, rue Bonaparte 75006 Paris
Tél. : 01 43 26 06 44
Métro: Saint-Sulpice ou Mabillon
Bus: 58, 84, 89
info@instituthongrois.fr
http://www.instituthongrois.fr/
Journée mondiale de la philosophie 2010 à l'UNESCO les 18 et 19 novembre 2010
Matin
09:00 - 09:30 Accueil des participants
09:30 - 10:00 Cérémonie d’ouverture de la Journée mondiale de la philosophie
Hall Ségur UNESCO
10:00 - 10:15 Allocution de bienvenue par Paolo Lollo, représentant de la Revue Insistance
10:15 - 10:45 Introduction par Alain Didier-Weill
10:45 - 10:50 Présentation des oeuvres de Jean Daviot projetées pendant le colloque
10:50 - 11:10 Film Insistance (séquence 1) : « Attester ou détester l’Universel »
11:10 - 12:40 Table ronde I « La question de l’universel grec »
avec Paul-Laurent Assoun, Bertrand Vergely, Denise Maurano
Modérateur : Jacques Barbier
12:40 - 14:00 Pause déjeuner
Après midi
14:00 - 14:15 Film Insistance (séquence 2) : « Attester ou détester l’Universel »
14:15 - 15:45 Table ronde II : « La question de l’universel biblique »
avec Fethi ben Slama, Jean-Pierre Winter, Patrick Landman,
Judith Cohen Solal
15:45 - 16:00 Débat
16:00 - 16:30 Hommage à Mohamed Arkoun
16:30 - 17:00 Pause
17:00 - 19:00 Conférence organisée par l’UNESCO :
“Philosophie, Diversité culturelle et Rapprochement des cultures”
19:00 Concert
Le Vendredi 19 novembre 2010
Matin
09:00 - 09:30 Accueil des participants
09:30 - 10:00 Film Insistance (séquence 3) “ Attester ou détester l’Universel ”
10:00 - 11:30 Table ronde III “ La question de l’universel chrétien”
avec Eric Marty, Franklin Rausky, Jean-Michel Rey
11:30 - 12:45 Table ronde IV “La question de l’universel ayurvédique”
avec Michel Cazenave, Kyran Vyas, Eva Füzesséry
Chant Baûl : Mitchélée
12:45 - 13:00 Débat
13:00 - 14:00 Pause déjeuner
Après midi
14:00 - 15:30 Table ronde V : « Art et Universel » avec Baldine Saint Girons,
Claude Maillard, Jean-Luc Paliès, Serge Barbuscia, Fréderic de Rivoyre
15:30 - 17:00 Table ronde VI « Psychanalyse et Universel » avec Jean-Michel Vives,
Anne Dufourmantelle, Jean-Jacques Blevis, Paolo Lollo
17:00 - 17:30 Questions ? Alain Didier-Weill
17:30 Concert Aldo Romano
avec la participation de Five
La notion d’une humanité universelle est une acquisition récente de l’histoire : la façon dont elle est apparue, pour la première fois en Europe, à Athènes, met clairement en évidence la difficulté que l’esprit humain rencontre devant cette notion ; en effet le chemin qui conduit les grecs à concevoir un logos universel ne les exonère pas d’un ethnocentrisme les poussant à qualifier de « barbares » ceux qui leur apparaissaient étrangers au logos.
Ainsi, dès qu’il fut attesté, l’universel fut en même temps contesté par la rencontre de la diversité culturelle. L’histoire des civilisations nous enseigne que cette contradiction se produisit répétitivement comme si le dévoilement de l’universel impliquait à chaque fois son voilement : la pensée biblique qui s’ouvrit à l’universel par l’invention du Un se ferma aux païens ; le christianisme se donnait comme une bonne nouvelle pour tous, excepté pour ceux qui ne croyaient pas au Christ ; la pensée Indoue concevait un homme cosmiquement illimité mais socialement limité par le système des castes.
Il s’agit, aujourd’hui, d’élaborer comment il est possible d’échapper au dualisme « universel / diversité » en parvenant à dire en quoi - avec l’aide de philosophes, de psychanalystes et d’artistes - le divers, le différent, l’autre, peuvent être conçus comme procédant d’un universel plus complexe à penser que ceux qui nous furent légués par l’histoire.
Paul-Laurent Assoun, Jacques Barbier, Serge Barbuscia, Jean-Jacques Blevis, Michel Cazenave, Judith Cohen Solal, Emmanuel Dayan, Alain Didier-Weill, Anne Dufourmantelle, Jean Daviot, Henry Fontana, Eva Füzesséry, Patrick Landman, Paolo Lollo, Claude Maillard, Denise Maurano,
Mitchélée, Eric Marty, Jean-Luc Paliès, Franklin Rausky, Fréderic de Rivoyre, Jean-Michel Rey, Axelle du Rouret, Baldine Saint Girons, Fethi Ben Slama, Bertrand Vergely, Jean-Michel Vives, Kyran Vyas, Jean-Pierre Winter.
Feriel Ait-ouyahia, spécialiste de programme, section Philosophie et démocratie (UNESCO)
Jean Michel Vives, Rédacteur en chef de la revue Insistance
Jacques Barbier, Rédacteur en chef-adjoint de la revue Insistance
Jean Daviot, Artiste, oeuvres projetées pendant le colloque, www.daviot.net
Emmanuel Dayan, Réalisation du film “Attester ou détester l’Universel”
Aldo Romano et Henry Texier en concert
Caroline, Félicia, Hortense, Victoria du Rouret et Axelle du Rouret-Didier-Weill : “FIVE”
Contacts & renseignements :
Revue Insistance (art-psychanalyse-politique) - insistance@free.fr - www.insistance.org
Paolo Lollo, Secrétaire d’Insistance, Coordinateur du colloque, plollo@free.fr
Phinith Chanthalangsy, Coordinateur pour l’UNESCO, p.chanthalangsy@unesco.org
Lea Didier, Communication, leamanon.didier@gmail.com
Nil Didier, Chargée des relations avec le public, accueil des intervenants, 06 26 80 34 71
lundi 15 novembre 2010
Les vies d’Eva par Sophie Képès
Deux ans plus tard, son propre père fut tué à la Grande Guerre, du mauvais côté de la ligne de front. Une habitude chez les Magyars, tout au long du XXème siècle.
En 1919, à la chute de l’éphémère République des Conseils, lors de la Terreur blanche qui s’ensuivit, la mère d’Eva, l’ayant revêtue de son seyant manteau qui la faisait tant ressembler au Petit Chaperon rouge, l’envoya chaque jour à l’école tout en se lamentant à l’idée que les forces armées de la répression, au vu de cette couleur subversive, fusilleraient sa fille séance tenante. Et cela sans jamais penser à teindre ledit manteau. D’une manière générale, il semble que sa mère avait quelques difficultés à l’aimer." La suite de ce récit sur larevuedesressources.org
Tiszta szívvel - Coeur pur - Une poésie d'Attila József et trois de ses traductions
Nincsen apám, se anyám,
se istenem, se hazám,
se bölcsőm, se szemfedőm,
se csókom, se szeretőm.
Harmadnapja nem eszek,
se sokat, se keveset.
Húsz esztendõm hatalom,
húsz esztendõm eladom.
Hogyha nem kell senkinek,
hát az ördög veszi meg.
Tiszta szívvel betörök,
ha kell, embert is ölök.
Elfognak és felkötnek,
áldott földdel elfödnek
s halált hozó fû terem
gyönyörûszép szívemen.
1925. március
Coeur pur
Je n’ai ni père ni mère,
Rien que je rêve ou j’espère,
Je n’ai ni Dieu ni patrie,
Berceau, cercueil, tendre amie.
De trois jours, pas un repas :
Oui, ce qui s’appelle pas.
Ma puissance, c’est vingt ans :
Ma puissance, je la vends.
Et pour peu que nul n’en veuille,
Que le diable, lui, l’accueille !
Je volerai, l’âme pure,
Et tuerai, je vous assure.
Mais qu’on m’arrête et me pende
Et qu’à la terre on me rende,
Maléfique et sûre, une herbe
Sourdra de mon cœur superbe.
texte français de Marcel Lallemand d'après Ladislas Gara extrait de :
"Aimez-moi" paru aux éditions Phébus Paris 2005 sous la direction de G. Kassai/JP Sicre
A coeur pur
Je n’ai ni père, ni mère,
ni berceau, ni suaire,
ni dieu, ni patrie,
ni baiser, ni bonne amie.
Trois jours que je ne mange
ni plus ni moins qu'un ange.
Le pouvoir de mes vingt ans -
et mes vingt ans, je les vends.
Si personne ne l'accepte,
le diable en personne l'achète.
A coeur pur je force des portes,
s'il le faut, c'est la mort que j'apporte.
On m'arrête et on me pend,
en terre bénie on m'étend,
et des herbes de mort maléfiques
poussent sur mon coeur magnifique.
mars 1925
Traduction par Gábor Kardos
Orphée
La Différence
Éditions UNESCO février 1997
Coeur pur
Je n'ai ni père, ni mère,
Ni dieu, ni foyer,
Ni berceau, ni bière,
Ni amante, ni baiser.
Trois jours déjà sans manger,
Ni bombance, ni bouchée,.
Mon empire, c'est mes vingt ans.
Mes vingt ans, je vous les vends.
Et si nul n'en veut, ma foi,
Le diable, lui, me les prendra.
Le coeur pur, j'irai voler,
S'il le faut, assassiner.
On m'arrêtera, me pendra,
En terre chrétienne m'enterrera,
Et une ivraie homicide
Croîtra sur mon coeur splendide.
Traduction Guillaume Métayer
Éditions Sillage octobre 2010
Rapport d’Amnesty : le gouvernement hongrois se défend
"La Hongrie dément fermement certaines déclarations, notamment celles dénonçant les autorités hongroises comme « incapables de protéger les communautés vulnérables. [...] Les autorités hongroises travaillent activement pour détecter les crimes commis à l'encontre de tout citoyen hongrois, qu’il soit Rom ou non, et les meurtriers d’individus roms ont déjà été inculpés au mois d’août, grâce à l'efficacité du travail des enquêteurs.", peut-on lire dans ce communiqué." La suite sur hu-lala.org
dimanche 14 novembre 2010
Un entretien avec Guillaume Métayer, à propos d'Attila József
C'est la première fois qu'un seul traducteur, connaissant le hongrois, propose sa version de ce texte.
Le très beau recueil anthologique de Phébus, Aimez-moi, est en effet constitué de traductions dues à plusieurs mains (15 traducteurs pour ce seul recueil, dont plusieurs pour le magnifique poème-fleuve, les "Médailles", et plus de 35 pour l'ensemble du livre)
Poezibao a donc souhaité en savoir un peu plus sur ce travail et a mené un entretien avec Guillaume Métayer." La suite sur poezibao.typepad.com
Merci a michartpoesho qui m'a fait connaître ce texte.
Voir aussi le Blog des Mardis hongrois
samedi 13 novembre 2010
N'ouvrez pas ces archives !, de Kati Marton : l'AVO, "Big Brother" hongrois
"L'AVO, la police secrète hongroise, n'avait rien à envier à la Stasi, sa célèbre homologue est-allemande. C'est en effet une histoire comparable à celle filmée dans La Vie des autres, par Florian Henckel von Donnersmarck, que la journaliste américaine Kati Marton raconte dans N'ouvrez pas ces archives ! Sauf que les événements se passent dans les années 1950 et qu'il s'agit d'une histoire privée, celle de sa famille.
Femme de diplomate - Kati Marton est l'épouse de Richard Holbrooke, l'envoyé spécial du président Barack Obama pour l'Afghanistan et le Pakistan -, elle est surtout une journaliste réputée, correspondante à l'étranger de la chaîne ABC News et de la National Public Radio (NPR), auteur de plusieurs livres à succès, dont une biographie de Raoul Wallenberg, le Suédois qui a sauvé des milliers de juifs pendant la seconde guerre mondiale." La suite sur lemonde.fr
Voir aussi la vidéo de Kati Marton
vendredi 12 novembre 2010
Attila József - Ni père ni mère
Attila József, Ni père ni mère
Éditions Sillage
Traduit et présenté par Guillaume Métayer
En 1929, un jeune poète de vingt-quatre ans fait paraître Ni père ni mère à Budapest, où il est connu des cercles intellectuels et littéraires. Poète au lyrisme puissant, au style profondément original, il chante sa misère, son désespoir, ses amours et sa révolte. Ni père ni mère fait de lui l’un des poètes majeurs de l’entre-deux-guerres.
Il donnera quatre recueils encore, avant de se suicider en 1937. Éluard, Tzara, Cocteau et bien d’autres lui rendront par la suite un éclatant hommage.
Parution : octobre 2010 / 80 p. / ISBN : 978-2-916266-74-9 / Prix : 7,50 €
Consulter notre page consacrée à Attila József : biographie, bibliographie.
Lire la préface du traducteur.
Lire un extrait de l'ouvrage.