Allez voir la formidable rétrospective André Kertész à l’ouverture, lorsque la lumière est belle sur les Tuileries et la Concorde, et surtout lorsque la foule n’a pas encore envahi le lieu et, que muni d’une loupe, vous aurez l’impression de
communier avec le Hongrois, via ses contacts miniatures intenses, comme sortis de son album photo perso. Car grâce au bouche-à-oreille, tout le monde sait que cette exposition est « Le » joyau de ce Mois de la photo." La suite sur humanité.fr
mercredi 17 novembre 2010
André Kertész, le maître
"Le Jeu de paume consacre une magnifique rétrospective au photographe hongrois qu’ Henri Cartier-Bresson vénérait.
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