"Le premier ministre Viktor Orbán a profité de la « 9è conférence permanente hongroise » (Maert), vendredi au parlement, pour partager sa vision de ce que doit être la politique de Budapest envers les minorités hongroises du bassin des Carpates : volontariste et sans concessions envers les Etats voisins.
Devant une assemblée constituée de membres du gouvernement, de députés des différents partis politiques et des représentants des minorités hongroises de Slovaquie, d’Ukraine, de Roumanie et de Serbie, l’homme fort de Hongrie a estimé qu’on ne devrait jamais oublier qu’"il existe une nation hongroise unie". Condamnant ceux qu’il a appelé les "faux réalistes" dont "la façon de penser n’a pas d’avenir", il a insisté sur le fait que le destin de la nation hongroise se trouve dans les mains des Hongrois et ne doit en aucun cas être décidé depuis l’extérieur." La suite sur hu-lala.org
lundi 8 novembre 2010
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
http://www.allampolgarsag.gov.hu/
RépondreSupprimerSchmitt Pál introduit son discours - ou ponctue son discours à Zagreb le 2/10/10 http://www.keh.hu/index.php?submenu=beszedek&id=298&details=1&cat=22 - en citant le début du dernier paragraphe d'un article publié dans Nyugat en janvier 1941 écrit par Babits Mihály (mort en août 41): http://epa.oszk.hu/00000/00022/00660/21144.htm
"Minden ami lélek, egységes és oszthatatlan. Ebben Aquinói Tamás egyetért Bergson Henrikkel. A lelki magyarság is egyetlen és oszthatatlan, s lényegéhez tartozik az egység."
= Tout ce qui est esprit est un et indivisible. En cela, Thomas d'Aquin s'accorde avec Henri Bergson. (les Hongrois d'esprit =>) l'âme hongroise est une et indivisible et l'unité relève de l'essentiel."
MAIS ce que Babits dit ensuite me semble bien plus important (et l'on peut regretter que ce soit oublié de Schmitt Pál):
"De ennek a magyar lelkiségnek lényegéhez és egyéniségéhez tartozik a sokszinüség is."
"Mais la diversité appartient aussi à l'essentiel et au caractère de cette âme hongroise."
Merci michartpoesho pour ces traductions et précisions. En effet, M. Schmitt oublie l'essentiel de l'essentiel de l'âme hongroise (si tant est qu'il en existe une) qui est la diversité.
RépondreSupprimerBien à vous
Jean-Pierre