"Il existe malheureusement un discours violent et étendu contre les Roms en Hongrie mais aussi en Europe, un discours qui n'a rien avoir avec la liberté d'expression", a déploré Nicola Duckworht, directrice européenne de l'ONG à Budapest.
"Mais il y a maintenant une chance de changer cela avec la présidence tournante de l'UE, qui sera assumée par la Hongrie", a-t-elle estimé à l'occasion d'une conférence de presse présentant un rapport d'enquête d'Amnesty sur les attaques perpétrées contre les Roms entre 2008 et 2009 en Hongrie, qui ont fait six morts, dont un petit garçon de 4 ans." La suite sur romandie.com
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