samedi 10 décembre 2011

Mieux vaut (Béla) Tarr que jamais

"Alors que «Le Cheval de Turin», son dernier film, vient de sortir en France, retour sur la carrière du cinéaste hongrois à l’occasion de la programmation d’une rétrospective dans le cadre du Festival d’Automne.
Un authentique génie du septième art a pris cette année sa retraite, à seulement 56 ans. La nouvelle n’a pas fait la Une des magazines grand public mais le petit monde de la cinéphile, lui, est en émoi. Et pour cause, si le réalisateur hongrois n’a jamais cherché le succès public ou l’adhésion du grand nombre, même si son cinéma hypnotique peut séduire le profane comme une cantate de Jean-Sébastien Bach ou un tableau de Jackson Pollock, il est considéré comme l’un des derniers Dieux de la mise en scène. Pourquoi un tel statut ? Réponse possible en cinq éléments." La suite sur parismatch.com

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