"Dans son troisième long métrage, en compétition, le réalisateur du “Fils de Saul” aborde une nouvelle page sombre de l’Histoire hongroise. Malgré une mise en scène virtuose et la prestation de l’acteur français Grégory Gadebois, notre critique est mitigé.
Hirsch. Andor Hirsch. C’est son nom, il le clame plus d’une fois, il y tient plus qu’à la prunelle de ses yeux. Pour rien au monde, il ne voudrait en changer. C’est ce qui fonde une part de son identité. Cet Andor Hirsch, casque châtain de cheveux frisés, cicatrice à la joue, est un garçon juif d’une dizaine d’années qui a été placé dans un orphelinat pendant la Seconde Guerre mondiale et que sa mère a récupéré quelques années plus tard. On les retrouve en 1957 à Budapest, un an après l’échec de la révolution hongroise.
Ambiance écrasante de liberté surveillée et précarité générale dans la ville, en ruines à certains endroits. La mère travaille dans une épicerie. Son garçon vient parfois..." La suite sur telerama.fr (article payant)
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