"Dix ans après « Le fils de Saul » le cinéaste présente à Venise « Orphan » son troisième film, en partie inspiré par son histoire familiale. Avec un Grégory Gadebois effrayant.
Le synopsis
Il s’appelle Andor Hirsch. On le découvre à 4 ans, caché dans les décombres d’un orphelinat près de Budapest. Andor doit s’estimer heureux, puisque sa mère est venue le récupérer, quatre ans après la fin de la guerre. Pourquoi ont-ils été séparés ? Et où est passé le père d’Andor ? On retrouve le jeune homme en 1957, alors que les Russes mettent la main sur le bloc de l’Est. Andor a grandi, a une meilleure amie, Sari, mais ne comprend pas très bien pourquoi son père n’est toujours pas revenu. Serait-il mort ? De vieux amis lui font espérer l’inverse, certains hommes exilés pendant la guerre ont bien fini par réapparaître, d’autres ont même réussi à s’échapper des camps. Alors il joue avec les anciens tickets d’entrée aux spectacles que vendait « monsieur Hirsch », pour passer le temps…. Secrètement il va dans la cave de leur immeuble parler à son père, lui donner de ses nouvelles. Jusqu’à ce qu’un homme déboule sur un side-car. Surnommé le boucher, il est visiblement une vieille connaissance de sa mère. Imposant son immense carrure, il affirme être son géniteur, et entend bien trouver sa place dans un foyer déjà bringuebalant. Mais ça, le jeune garçon n’est pas prêt à l’accepter…"
La critique de Paris Match (2/5)" La suite sur parismatch.com
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