à partir de 20 h
au café Le Zimmer
1, place du Châtelet 75001 Paris
Métro : Châtelet
2025 június 24.-én este 8-kor kezdődik
a Le Zimmer kávéházban
1, place du Châtelet 75001 Paris
Métro : Châtelet
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"Des eurodéputés centristes et de gauche ont appelé l'UE à agir contre le gouvernement de Viktor Orbán tandis que l'extrême droite a défendu la mesure. Environ 70 députés européens se rendront à Budapest le week-end prochain pour soutenir les droits LGBTQ+.
Le sujet a suscité un débat houleux au sein du Parlement européen. Alors qu'en Hongrie, le gouvernement de Viktor Orbán a interdit la Marche des fiertés à Budapest, des députés ont dénoncé une mesure liberticide et ont appelé la Commission européenne à agir.
"La dernière ligne rouge franchie par le gouvernement Orban n'est pas seulement un fait isolé, ce n'est pas seulement une bizarrerie d'un pays, c'est une véritable honte européenne", a déclaré Iratxe Garcia, cheffe du groupe des socialistes et démocrates au Parlement européen
"L'interdiction de la marche des fiertés n'est pas seulement une attaque lâche contre une partie de son peuple. C'est une nouvelle manifestation d'un régime autoritaire qui a transformé son pouvoir en instrument de peur, de censure et de haine", a-t-elle ajouté.
D'autres eurodéputés, issus de groupes de gauche et libéraux, ont appelé l'UE à prendre des sanctions contre la Hongrie, notamment la suspension des droits de vote du pays." La suite sur euronews.com
"Le secrétaire d’État du ministère hongrois des Affaires étrangères, Levente Magyar, a déclaré mercredi qu’il n’était pas certain qu’un débat parlementaire et un vote, reportés, sur la législation relative à la transparence des groupes financés par l’étranger, « referaient un jour surface ».
Le 14 mai, le parti Fidesz du Premier ministre Viktor Orban a soumis au Parlement un projet de loi visant à établir une liste d’organisations recevant des fonds étrangers, avec la possibilité de restreindre ou de dissoudre celles jugées menaçantes pour la souveraineté et la culture hongroises.
Ce texte a suscité de vives critiques de la part des médias hongrois, des groupes de réflexion et des organisations de défense des droits civiques. Des manifestations ont eu lieu dans la rue et des dizaines de rédacteurs en chef de grands médias européens ont signé le mois dernier une pétition appelant le gouvernement nationaliste d’Orban à renoncer à ce projet de loi." La suite sur zonebourse.com
"LE CAIRE, 18 juin (MENA) - Des consultations politiques ont eu lieu
mercredi à Budapest entre le ministre adjoint des Affaires étrangères
pour les affaires européennes, Wael Hamed, et la Secrétaire d'Etat
adjointe à la politique de sécurité de la Hongrie, Henrietta Balajthy,
en présence des responsables de haut niveau.
Les consultations égypto-hongroises s'inscrivent dans le cadre d'une
longue tradition de dialogue et de coordination politiques entre les
deux pays et reflètent la nature unique des relations bilatérales
distinguées." La suite sur mena.org.eg
"La Hongrie et les États-Unis discutent actuellement d'un accord commercial qui pourrait inclure une coopération dans l'industrie spatiale et les capacités militaires, a déclaré mercredi un responsable hongrois, dans le but d'atténuer les effets de possibles droits de douane américains.
Levente Magyar, secrétaire d'État au ministère hongrois des Affaires étrangères, a précisé mercredi les contours de ces discussions, indiquant qu'un accord rapide n'était pas attendu, mais qu'ils espéraient parvenir à un consensus sur des projets liés à l'énergie, l'espace et le secteur militaire.
« Nous discutons de quelques projets précis qui pourraient être englobés dans un tel accord », a déclaré Magyar à Reuters en marge d'un événement organisé à l'ambassade de Hongrie à Londres. « Il existe de nombreuses opportunités de coopération. »" La suite sur zonebourse.com
"Quand on connaît l’exceptionnel modèle français d’accès en ligne aux archives indispensables à la généalogie, on regrette parfois que d’autres pays ne soient pas aussi avancés que nous en la matière. Et quand ce pays étranger d’où viennent nos ancêtres n’est pas proche de la France, il est facile de céder au découragement. Tous ceux qui ont des ancêtres hongrois seront donc heureux d’apprendre que la mise en ligne des premiers registres d’état civil par les Archives nationales de ce pays a commencé.
Cette collection, la plus riche de Hongrie, comprend des registres de naissance, de mariage et de décès depuis 1894, date d’instauration de l’état civil dans le pays. Elle couvre plus de 200 localités de toutes tailles, urbaines ou rurales, situées dans le comté de Pest-Pilis-Solt-Kiskun, correspondant à la vaste agglomération de Budapest. Ainsi, ce sont 5 382 119 pages qui sont dorénavant consultables librement sur le portail Archives nationales. Et ce n’est pas tout, la numérisation des archives du comté de Borsod-Abaúj-Zemplén est en cours, en collaboration avec FamilySearch. Vous trouverez d’ailleurs sur ce portail des mormons de nombreux registres hongrois numérisés, y compris des registres paroissiaux antérieurs à 1894." La suite sur rfgenealogie.com
"L'objectif de cet entraînement de deux semaines est d'améliorer l'état de préparation des différentes armées et aider l'Otan à réagir efficacement face aux crises en cas de besoin.
Le comté de Veszprém, dans l'ouest de la Hongrie, est le théâtre d'un entraînement plus vrai que nature. Plus de 3 000 soldats Américains, Espagnols et Hongrois participent, depuis le lundi 9 juin, à un entraînement organisé par l'Otan.
Baptisé "Saber Guardian", cet exercice grande envergure vise à améliorer l'état de préparation des différentes armées et à aider l'Otan à réagir efficacement face aux crises en cas de besoin." La suite sur euronews.com
"Nicolas Sarkozy est très connu en Afrique et en particulier dans l’espace francophone africain pour avoir déclaré dans son discours de Dakar prononcé le 26 juillet 2007 à l'université Cheikh-Anta-Diop de Dakar, que “l'homme africain n'est pas assez entré dans l'Histoire”. Ce qui avait suscité des réactions indignés et des critiques contre l’attitude arrogante et paternaliste des autorités françaises.
18 ans après ce discours maladroit, l’ancien président entre dans l’histoire aux cotés du tristement célèbre maréchal Pétain, qui était jusqu’alors le seul chef d’Etat français qui s’est vu retirer la légion d’honneur.
Nicolas Sarkozy s'est vu retirer la Légion d'honneur, la plus haute distinction française, une sanction rarissime pour un ex-chef d'Etat prononcée à la suite de sa condamnation à un an de prison ferme pour corruption, selon un arrêté publié dimanche." La suite sur trt.global
"La présidente Vjosa Osmani a été accueillie avec les honneurs militaires par son homologue hongrois, le président Sulyok.
Elle a remercié pour cet accueil, qualifiant la visite d'importante pour faire progresser les relations entre le Kosovo et la Hongrie.
« Merci pour l'accueil avec les honneurs militaires à Budapest, Monsieur le Président Sulyok ! Une visite importante pour l'avancement des relations entre le Kosovo et la Hongrie, au bénéfice de nos citoyens et dans le cadre de la coopération mutuelle », a écrit Osmani sur Facebook." La suite sur koha.net
"La municipalité écologiste de la capitale hongroise contourne l’interdiction de la Marche des fiertés en organisant la parade, prévue samedi 28 juin. Un coup politique qui agace les soutiens du gouvernement de Viktor Orban.
Le gouvernement nationaliste de Viktor Orban s’est démené pour bannir la Marche des fiertés du 28 juin au nom de la “protection de l’enfance”. Mais lundi 16 juin, relate 444.hu, le maire écologiste de Budapest détournait l’interdiction en annonçant l’organisation d’une “Marche de la fierté budapestoise” qui “défend la liberté et l’égalité des droits”. Selon l’édile, Gergely Karacsony, cet événement municipal “conforme à la législation en vigueur” ne nécessite “aucun accord des autorités”.
“Gergely Karacsony déclare renouer avec la tradition de la fête de la Liberté” qui se déroulait chaque dernier samedi de juin, précise HVG. “Les précédentes commémoraient le retrait des troupes soviétiques, celle de cette année s’appellera Budapest Pride”, souligne l’hebdomadaire. Karacsony et la municipalité “ont trouvé une échappatoire afin d’organiser la Pride, mais peuvent se préparer à d’importantes batailles juridiques”, estime néanmoins un autre article." La suite sur courrierinternational.com
"CHRONIQUE - Le premier ministre, en difficulté dans les sondages, vient de repousser le vote d’un projet de loi pour renforcer le contrôle de la société civile.
Jusqu’où est capable d’aller Viktor Orban pour remporter les élections l’an prochain contre son rival conservateur Péter Magyar, qui le devance dans presque tous les sondages et promet la justice et la prison aux corrompus de l’administration sortante ? La question agite la Fidesz, le parti national-conservateur au pouvoir, peu habitué aux tergiversations. Son gouvernement était préparé à franchir la ligne rouge avec un projet de loi qui lui aurait donné un quasi-droit de vie et de mort sur toutes les organisations de la société civile échappant encore à son contrôle, et qu’il considère comme des menaces contre la souveraineté de la Hongrie. Mais il a fait machine arrière in extremis, repoussant à l’automne cette législation de l’arbitraire qui aurait placé la Hongrie loin en dehors des clous européens - et qui suscitait la stupeur à Bruxelles." La suite sur lefigaro.fr (article payant)
"Le Parlement hongrois a adopté ce mardi 17 juin une loi supprimant le plafonnement des dépenses électorales, un texte qui va permettre au premier ministre Viktor Orban, selon ses détracteurs, de bénéficier sans limite en 2026 du soutien financier de ses proches. Cette réforme du code électoral, votée selon une procédure accélérée, a été approuvée par 133 voix pour et 46 contre, sur les 199 sièges que compte l'hémicycle.
Les dépenses ne pouvaient pas jusqu'à présent dépasser 5 millions de forints (quelque 12.300 euros) par candidat, une limite introduite par Viktor Orban lui-même en 2013. Des règles devenues obsolètes, argue le gouvernement, «les campagnes électorales se déroulant de plus en plus en ligne, où les législations nationales ne peuvent être appliquées»." La suite sur lefigaro.fr
"La Hongrie et la Slovaquie ont empêché l'adoption de conclusions appelant à mettre fin aux importations d'énergie russe, lundi lors d'un Conseil des ministres européens de l'Énergie à Luxembourg.
Porté par la présidence polonaise de l'UE et soutenu par 25 États membres, le texte visait à réaffirmer l'objectif d'une Union de l'énergie renforcée, à travers une réduction des dépendances stratégiques, des investissements dans les infrastructures, une simplification réglementaire et un soutien accru à l'Ukraine et à la Moldavie. Mais faute de consensus, notamment sur la sortie des hydrocarbures russes, les conclusions n'ont pas pu être formellement adoptées par le Conseil. Varsovie a toutefois publié le texte à titre de conclusions de la présidence.
Dans un message sur les réseaux sociaux, le ministre hongrois des Affaires étrangères, Peter Szijjarto, a justifié ce veto par la défense de la souveraineté énergétique nationale, ajoutant que le contexte au Moyen-Orient ne se prêtait pas à ce type de débat. La Hongrie et la Slovaquie sont considérées comme les deux pays les plus proches de Moscou au sein de l'UE." La suite sur lalibre.be
"Traduction de la déclaration de Maja. Le tribunal ayant reporté au 20 juin sa décision de convertir sa détention provisoire en assignation à résidence, Maja a annoncé qu’elle entamait une grève de la faim le 4 juin 2025.
Mon nom est Maja. Il y a presque un an, j’ai été extradée de manière irrégulière vers la Hongrie. Depuis lors, je suis emprisonnée ici dans des conditions inhumaines d’isolement prolongé. Hier, le 4 juin 2025, la décision sur ma demande de placement en résidence surveillée devait être prise. Cette décision a été reportée. Les dernières demandes de placement en résidence surveillée ont été rejetées. Je ne suis plus disposée à rester dans cette situation intolérable et à attendre les décisions d’une justice qui, au cours des derniers mois, n’a cessé de violer systématiquement mes droits. En conséquence, je commence aujourd’hui, le 5 juin 2025, une grève de la faim. Je demande à être renvoyée en Allemagne, à pouvoir retrouver ma famille et à participer au procès en Hongrie depuis chez moi.
Je ne peux plus supporter les conditions de détention en Hongrie. Ma cellule a été placée sous vidéosurveillance permanente pendant plus de trois mois. J’ai dû porter des menottes en permanence à l’extérieur de ma cellule pendant plus de sept mois, parfois même à l’intérieur, que ce soit pour faire des courses, téléphoner via Skype ou recevoir une visite. Les gardiens de prison effectuent un contrôle visuel dans ma cellule une fois par heure, même la nuit, et allument toujours la lumière. Je dois subir des contrôles intimes qui m’obligent à me déshabiller complètement.. Les visites avaient lieu dans des pièces séparées, où j’étais séparée de ma famille, de mes avocats et de mes représentants officiels par une vitre. Lors des contrôles de cellule, les gardiens laissaient derrière eux un chaos complet. Les conditions de construction empêchent une exposition suffisante à la lumière du jour. La cour minuscule est en béton et recouverte d’un grillage. La température de l’eau de la douche ne peut pas être réglée. Ma cellule est constamment infestée de punaises de lit et de cafards. Il n’y a pas d’approvisionnement suffisant en nourriture équilibrée et fraîche." La suite sur mars-infos.org
"Le forum « Positionnement des valeurs vietnamiennes à l'étranger à l'ère du numérique et de l'intelligence artificielle » a eu lieu le 15 juin à 14h00 (heure locale, 19h00 heure du Vietnam) à la salle du Sénat, Parlement hongrois à Budapest.
L'événement était organisé par le Forum des femmes vietnamiennes en Europe. La première vice-présidente du Parlement hongrois, Márta Mátrai, y a assisté et a prononcé un discours de bienvenue.
Des femmes vietnamiennes talentueuses se rencontrent et s'inspirent mutuellementMme Márta Mátrai a souhaité la bienvenue à plus de 300 déléguées de 18 pays présentes au forum, affirmant qu'il s'agit d'une occasion idéale pour de nombreuses femmes talentueuses dans divers domaines de se rencontrer, d'échanger et de s'inspirer.
Elle a déclaré que le Vietnam est le principal partenaire de la Hongrie en Asie du Sud-Est. Les deux pays ont établi des relations diplomatiques en 1950. Au cours des 75 dernières années, ces relations se sont renforcées sur la base du respect mutuel et ont permis d'obtenir de nombreux résultats positifs dans de nombreux domaines, de l'économie à la culture en passant par l'éducation." La suite sur vietnam.vn
"Le 16 mai 2025 le JFB a eu l’opportunité d’interviewer Susan Rubin Suleiman, écrivaine et professeure émérite de littérature française à l’Université Harvard aux Etats-Unis, d’origine hongroise et naturalisée américaine. Susan Rubin Suleiman est venue présenter son livre le plus récent intitulé István Szabó: Filmmaker of Existential Choices, sorti en janvier 2024, à la Central European University de Budapest. Découvrez l’interview du JFB.
JFB : Bonjour Susan. Vous êtes revenue à Budapest, pas pour la première fois mais après quelques années d’absence. Vous avez quitté la Hongrie enfant avec vos parents et vous avez eu une carrière universitaire remarquable aux États Unis, ce qui n’est pas évident et vous vous êtes spécialisée dans la littérature française. Vous avez publié en 2023 le roman de votre vie, Daughter of History, qui vient d’être traduit en hongrois : “Une Fille de l’Histoire, de Budapest jusqu’aux Etats-Unis”. Vous vouliez dans ce livre mettre en avant la question suivante: “Comment réussir malgré tous les problèmes que posent l’immigration ?”
Susan Rubin Suleiman : Aux États Unis ce livre n’est pas vendu comme roman mais comme « memoir », c’est un genre qui n’est pas reconnu en Hongrie ni en France. En France et en Hongrie on connaît les romans autobiographiques mais cela me dérange d’utiliser ce terme car ce n’est pas une fiction mais un récit basé sur ma vie de petite fille à Budapest et puis d’adolescente en Amérique Mes premiers souvenirs remontent à 1944, à l’entrée de l’armée allemande en Hongrie lorsque j’avais 4 ans.
JFB : Comment avez-vous survécu ?" La suite sur jfb.hu
"Budapest (VNA) – La Dr Phan Bich Thiên, Vietnamienne résidant en Hongrie, est la seule étrangère à figurer dans le livre inspirant « 11e siècle – Mission de 21 femmes » qui présente 21 Hongroises qui ont apporté une contribution exceptionnelle dans tous les domaines : sciences, société, économie, art et sport.
Des anecdotes sur sa vie et ses motivations sont racontées à travers des entretiens avec l’écrivaine et journaliste Szabó Attila Zolta.
L’ouvrage présente, entre autres, Krizsán Edith, premier grand maître d’échecs hongrois de renommée mondiale ; Korok Fatima, athlète qui a établi le record du monde du plongeon le plus profond ; Csepregi Éva, célèbre chanteuse ; Szirmai Ágnes, premier professeur hongrois spécialisé en ORL et en système nerveux équilibré ; le directeur de la marque automobile Alfa Romeo ; et Gizella, médaillée paralympique de 107 ans." La suite sur vietnamplus.vn
"Le Parlement hongrois a voté, en mars, une loi visant à bannir tout rassemblement qui violerait la législation de 2021 interdisant d’évoquer auprès des mineurs « l’homosexualité et le changement de sexe ».
Le maire de Budapest a annoncé, lundi 16 juin, prendre en charge l’organisation de la marche des fiertés prévue à la fin juin, espérant ainsi éviter une interdiction de l’événement en vertu d’une récente loi du gouvernement de Viktor Orban. « Tout le monde est bienvenu à la Budapest Pride le 28 juin, qui sera un événement municipal. Nous n’avons donc pas besoin d’autorisation officielle », a déclaré l’élu écologiste de 50 ans, Gergely Karacsony, dans une vidéo publiée sur Facebook.
Le premier ministre nationaliste, Viktor Orban, entrave depuis des années les droits des personnes LGBT+ au nom de « la protection des enfants », et a franchi un cap en faisant adopter, en mars, une loi visant à bannir tout rassemblement qui violerait la législation de 2021 interdisant d’évoquer auprès des mineurs « l’homosexualité et le changement de sexe »." La suite sur lemonde.fr
"Principaux renseignements
- Les autorités peuvent suspendre la citoyenneté hongroise sous certaines conditions.
- La suspension exige que les personnes détiennent la citoyenneté d’un autre pays en dehors de l’EEE.
- Les personnes dont le maintien de la citoyenneté est considéré comme une menace pour l’ordre public ou la sécurité nationale peuvent voir leur citoyenneté suspendue pour une période pouvant aller jusqu’à dix ans.
Le Parlement hongrois a récemment adopté une loi qui donne aux autorités le pouvoir de suspendre la citoyenneté de certains ressortissants étrangers. Cette mesure, portée par le Premier ministre Viktor Orbán, pourrait concerner des centaines de milliers de personnes. Toutefois, elle ne s’applique qu’aux individus possédant également une nationalité en dehors de l’Espace économique européen (EEE), afin d’éviter toute situation d’apatridie." La suite sur businessam.be
Le ministre Szijjártó est en visite de travail en Macédoine, où il signera aujourd'hui l'accord de coopération stratégique entre les gouvernements de Macédoine et de Hongrie au nom du gouvernement hongrois." La suite sur gazetaexpress.com
"Une nouvelle étude démontre que les citoyens européens attendent de leurs dirigeants qu’ils respectent les principes, les valeurs et les lois de l’UE. S’ils ne le font pas, les citoyens veulent que des sanctions soient appliquées.
Des études menées en Allemagne, en Italie, en Pologne et en Suède révèlent qu’une majorité de citoyens interrogés soutient une intervention de l’UE contre les gouvernements enfreignant les principes démocratiques, même si cela implique des coûts pour eux-mêmes ou pour l’Union.
L’étude "Democratic backsliding and support for public good provision in the European Union", menée par les politologues Max Heermann, Sharon Baute et Dirk Leuffen, examine la manière dont les citoyens de l’Union européenne réagissent lorsque les États membres commencent à saper les normes démocratiques.
La nouvelle étude montre que les citoyens européens sont prêts à faire passer les principes démocratiques avant la loyauté nationale, en soutenant les sanctions financières pour les pays qui bafouent les normes de l’UE. Le rapport montre que la politique de cohésion n’est pas à l’abri des tensions politiques provoquées par le recul de la démocratie.
Le dilemme de la cohésion
La politique de cohésion, principal instrument de l’UE pour promouvoir la convergence économique et sociale, est placée au cœur de la discussion du rapport. En canalisant un soutien financier substantiel vers les régions les moins riches, cette politique a joué un rôle d’intégration essentiel au sein de l’Union.
Cependant, les auteurs de l'étude soulignent un paradoxe : les fonds de cohésion ont parfois soutenu des régimes engagés dans un recul démocratique en fournissant des ressources sans conditionnalité politique suffisante.
Bien que des mécanismes liant le déboursement des fonds au respect de l’État de droit aient été introduits, les contraintes institutionnelles et les compromis politiques ont souvent émoussé leur efficacité.
En conséquence, la politique de cohésion est à la fois un symbole de solidarité et un champ de bataille pour l’intégrité démocratique de l’UE.
Les citoyens soutiennent les sanctions
La Hongrie en est le principal exemple. Depuis l’arrivée au pouvoir de Viktor Orbán en 2010, le pays a connu une érosion constante des contrôles et équilibres démocratiques, de l’indépendance judiciaire et du pluralisme des médias." La suite sur euractiv.fr
"Lorsque les anciens pays communistes ont intégré l’Union européenne, l’espoir était grand : la démocratie et l’État de droit semblaient des remparts inébranlables. Pourtant, la Hongrie démontre aujourd’hui le contraire.
Introduction
Lorsque les anciens pays communistes ont intégré l’Union européenne, l’espoir était grand : la démocratie et l’État de droit semblaient des remparts inébranlables. Pourtant, la Hongrie démontre aujourd’hui le contraire. Sous la férule de Viktor Orbán, le pays glisse vers un autoritarisme d’un genre nouveau, où les outils de répression ne sont plus des blindés, mais des algorithmes sophistiqués, des deepfakes et des campagnes de désinformation numérique. À l’approche des élections de 2026, Budapest peaufine une stratégie de contrôle électoral qui pourrait redéfinir la notion même de démocratie en Europe.
Une révolution numérique au service du pouvoir
Le parti au pouvoir, le Fidesz, ne se contente plus des méthodes traditionnelles de campagne. Selon des sources fiables, une unité dédiée à la guerre numérique aurait été mise en place, avec pour objectif de manipuler l’opinion publique à une échelle inédite. Grâce à des vidéos falsifiées, des armées de bots et des campagnes ciblées sur les réseaux sociaux, le Fidesz cherche à façonner une réalité virtuelle où son soutien semble écrasant.
Les élections modernes ne se jouent plus dans les urnes, mais dans les flux d’information. En Hongrie, ce flux est soigneusement orchestré." La suite sur mediapart.fr
"Le 20 mai, la Hongrie a officiellement annoncé son retrait de la Cour pénale internationale. Mais le dossier israélo-palestinien n'est qu'une partie du problème. L'Union européenne est aussi visée, prévient Alannah Travers.
En mai 2025, la Hongrie est devenue le premier État membre de l'Union européenne à renoncer officiellement à ses obligations envers la Cour pénale internationale (CPI), un mois après avoir accueilli le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou. Bien que la Hongrie ait ratifié le Statut de Rome en 2001, pendant le premier mandat de Viktor Orbán, elle n'a jamais intégré le traité dans son droit national. Son retrait symbolique, approuvé par un vote du Parlement le 20 mai, envoie donc un message politique qui a des répercussions bien au-delà de Budapest. À première vue, la décision de la Hongrie semble n'être qu'un signe supplémentaire du régime de plus en plus illibéral d'Orbán et s'inscrire dans le cadre de son alliance toujours plus étroite avec le gouvernement de Netanyahou. Mais ses motivations et le silence quasi total des autres capitales européennes laissent entrevoir une fracture plus profonde dans l'engagement européen en faveur de la justice internationale.
Le climat politique qui a permis ce départ de la CPI se reflète dans les rues de la ville. Sur des affiches placardées tout au long de la route menant à l'aéroport de Budapest, des images des dirigeants de l'UE et du président ukrainien sont accompagnées d'un appel direct : « Ne les laissons pas décider à notre place ! », démontrant le scepticisme profond à l'égard de toute autorité extérieure. C'est ce même principe de souveraineté qui est invoqué à l'encontre de la CPI, permettant ainsi de présenter le retrait à l'opinion publique nationale sous un angle familier." La suite sur justiceinfo.net
"Deux Bélarusses porteront les couleurs de leur pays aux Mondiaux de Judo à Budapest. Une décision qui indigne l’Ukraine.
Deux Bélarusses participeront sous les couleurs de leur pays aux Mondiaux de Judo à Budapest, qui débutent ce vendredi, une première depuis l’invasion de l’Ukraine par l’armée russe, ce qui a poussé Kiev à boycotter la compétition.
Dans la catégorie des moins de 90 kg, Aliaksandr Sidoryk et Yahor Varapayeu figurent sur les listes d’engagés aux Mondiaux et représenteront le Bélarus mardi 17 juin, avec le drapeau de leur pays, ce qui leur était interdit depuis le début de la guerre contre l’Ukraine, enclenchée par l’armée russe le 24 février 2022." La suite sur leparisien.fr
"Samedi 14 juin, la marche des fiertés colorera Arras le temps d’une journée. Avec un festival techno et des performances artistiques, la marche se voudra festive, non sans quelques revendications politiques…
L’esplanade du Val de Scarpe retrouvera ses couleurs arc-en-ciel ce samedi 14 juin. En plein mois des fiertés, la Pride d’Arras revient, plus forte, plus festive et… plus politique. Romain Héquet, directeur du centre LGBTI+ de l’association Fiertés Pas-de-Calais, assume le virage militant de cette marche arrageoise, qui s’impose comme la plus importante du département.
Hongrie, Pologne, TrumpLa volonté des organisateurs est là : cette marche des fiertés 2025 doit être à la hauteur de l’actualité internationale. « On marchera avant tout pour nos frères et sœurs hongrois, qui ne peuvent pas le faire en sécurité. » Choquée par le contexte politique à Budapest, où le gouvernement souhaite interdire la marche des fiertés prévue le 28 juin prochain, l’association arrageoise a décidé de placer la solidarité internationale au cœur de sa Pride 2025. « Et il n’y a pas que la Hongrie, on pense à la Pologne aussi, aux États-Unis de Trump, ces pays où les gouvernements sont anti-LGBT, anti-femmes, anti-tout en fait », énumère Romain Héquet, lassé." La suite sur lavoixdunord.fr
"Alors que la trentième marche des fiertés de Budapest est prévue pour le 28 juin, les autorités hongroises multiplient les mesures restreignant la visibilité des personnes LGBTQ+. En s’éloignant des principes fondamentaux de l’Union européenne en matière de droits humains, la Hongrie fait face à une contestation croissante de la part des États membres, qui dénoncent ces violations répétées du droit européen.
La Hongrie durcit son arsenal législatif contre les droits des personnes LGBTQ+
En 2021, le Parlement hongrois a adopté une loi visant à interdire la « promotion » de l’homosexualité et du changement de sexe auprès des mineurs. Présentée par le gouvernement comme une mesure de protection de l’enfance et de lutte contre la pédophilie, cette loi interdit pour les moins de 18 ans « la pornographie ainsi que les contenus qui représentent la sexualité ou promeuvent la déviation de l’identité de genre, le changement de sexe et l’homosexualité ». Concrètement, elle interdit la représentation des personnes LGBTQ+ ou des relations impliquant des mineurs dans l’éducation, les médias et la publicité. Par ailleurs, les livres contenant des représentations de relations homosexuelles doivent, suite à cela, être vendus emballés et scellés sous film plastique dans les librairies." La suite sur taurillon.org
"Le gouvernement hongrois prévoit de vendre une grande partie de sa participation dans son industrie de défense, qui comprend une participation dans l'usine locale de Rheinmetall, au groupe 4iG, a annoncé mercredi soir le ministère de l'Économie.
Cette décision intervient alors que le gouvernement nationaliste du Premier ministre Viktor Orban se prépare pour les élections de l'année prochaine, où il sera confronté à son plus grand défi depuis son retour au pouvoir en 2010.
Selon les termes du plan, la société publique N7 Holding, qui détient des participations dans neuf entreprises de l'industrie de la défense, transférera la propriété des actifs à une filiale nouvellement créée, N7 Defence Zrt." La suite sur zonebourse.com
"Investing.com -- L’inflation globale hongroise a augmenté à 4,4% en mai, dépassant légèrement les prévisions des analystes de 4,3%. Lundi, les données ont montré que l’inflation sous-jacente a ralenti à 4,8%, malgré un chiffre global supérieur aux attentes.
Cette hausse de l’inflation a été principalement causée par l’augmentation des prix de l’énergie, particulièrement dans le secteur du gaz. Les prix alimentaires ont augmenté moins que prévu, contribuant à compenser partiellement les pressions inflationnistes liées à l’énergie dans l’indice global." La suite sur investing.com
"Une manifestation antigouvernementale a envahi la place Kossuth mardi soir, au cours de laquelle une vingtaine de personnes ont pris la parole pour protester contre la loi sur la transparence qui devrait être votée prochainement.
Un groupe de citoyens dirigé par le publiciste Róbert Puzsér a annoncé mardi soir une résistance civile contre le gouvernement Orbán devant une foule de dizaines de milliers de personnes sur la place Kossuth. Au total, vingt-trois personnes ont pris la parole lors de cette manifestation de trois heures, principalement des artistes, des influenceurs d'opinion et des journalistes.
« Mon plus jeune fils a le même âge que Ner. Ils ont conçu ensemble. Mais mon fils a un avenir ! » - a déclaré le journaliste István Dévényi sur scène, ce à quoi le public a réagi par de vifs applaudissements.
Selon le principal organisateur Róbert Puzsér, la catastrophe internationale de l'annexion de la Hongrie à l'Est doit être évitée.
La foule était plus en colère que lors des précédentes manifestations""En Hongrie, le panorama médiatique a radicalement changé depuis l’arrivée au pouvoir de Viktor Orbán en 2010. Ce pays, autrefois 25ème au classement mondial de la liberté de la presse établi par Reporters sans frontières, a dégringolé à la 68ème position sur 180 nations. Cette chute vertigineuse illustre parfaitement l’érosion progressive des libertés journalistiques sous le régime actuel.
L’arsenal législatif contre les médias indépendantsLe gouvernement hongrois a récemment présenté un projet de loi controversé, officiellement destiné à « garantir la transparence de la vie publique ». Cette législation, sous couvert de protéger la souveraineté nationale contre des influences étrangères, cible spécifiquement les médias, ONG et individus recevant des financements internationaux. Les sanctions prévues sont particulièrement sévères : amendes financières conséquentes et interdiction de recevoir des dons essentiels à leur survie.
Initialement programmé pour un vote rapide, ce texte a finalement été repoussé à l’automne 2025. Ce délai n’a pourtant pas apaisé les inquiétudes des professionnels de l’information. « Ils n’ont pas retiré le texte. Leur but reste inchangé : faire taire ou discréditer certains médias », confie un rédacteur en chef d’un média dans la ligne de mire du pouvoir.
Cette nouvelle loi présente plusieurs caractéristiques inquiétantes :
La suite sur minutenews.fr
"Dans son nouveau rapport (en anglais, la version française sera publiée ultérieurement) sur la Slovénie, le Comité d'experts de la Charte européenne des langues régionales ou minoritaires du Conseil de l'Europe reconnaît les efforts déployés par les autorités slovènes pour protéger les langues parlées dans leur pays et formule un certain nombre de recommandations destinées à renforcer la présence de ces langues dans l'éducation, notamment en formant des enseignants, et dans les médias.
En Slovénie, la langue hongroise et la langue italienne continuent de bénéficier d’un niveau de protection relativement élevé, et les autorités prennent des mesures visant à promouvoir la mise en œuvre du cadre juridique existant. Un enseignement bilingue en hongrois et en slovène ainsi qu’un enseignement en italien sont assurés à tous les niveaux d’éducation, sauf à l’université." La suite sur coe.int
L’animation hongroise est mise à l’honneur cette année. Quelles sont les principales étapes qui ont marqué son développement ?
Nous célébrons les 111 ans de l’existence de l’animation hongroise.
Pendant ces 111 années, son histoire a été, tout comme celle du cinéma
hongrois, marquée par celle de l’Europe centrale au XXe siècle,
c’est-à-dire par des âges d’or et des cataclysmes.
Les débuts
étaient essentiellement liés aux actualités. Les premiers pionniers de
l’animation hongroise, comme Vértes (plus tard Vertès en France)
Marcell, ont commencé par créer des caricatures animées ou filmées,
diffusées dans les salles de cinéma." La suite sur lefilmfrancais.com
"Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a qualifié les politiques et messages anti-ukrainiens du Premier ministre populiste hongrois Viktor Orban d'« erreur historique ».
Dans une interview accordée au média hongrois Valasz Online, publiée mardi, Zelensky a accusé Orban d'utiliser la propagande contre l'Ukraine afin d'obtenir un avantage politique intérieur.
« Il [Orbán] instrumentalise l'Ukraine à des fins électorales », a-t-il déclaré. « Il ne comprend pas que cela aura des conséquences très graves et dangereuses. En ne nous aidant pas, il rend service à [le président russe Vladimir] Poutine. C'est pourquoi je dis que Viktor commet une erreur grave et historique. »" La suite sur gazetaexpress.com
"Une arme politique" pour museler la presse indépendante: le projet de loi visant à sanctionner les médias "financés depuis l'étranger" suscite l'émoi en Hongrie, dans un paysage transformé par 15 ans au pouvoir de Viktor Orban
Le vote prévu au Parlement cette semaine a certes été repoussé à l'automne mais selon trois cibles ouvertement visées par le pouvoir, le danger est loin d'être écarté.
"Ils n'ont pas retiré le texte", rappelle à l'AFP Peter Uj, rédacteur en chef du site d'information 444, le but du gouvernement restant "inchangé": "faire taire ou discréditer certains médias, ONG ou personnes".
Après déjà plusieurs rassemblements, le combat continue dans la rue: des dizaines de milliers de personnes ont manifesté mardi en fin d'après-midi à Budapest, s'inquiétant de la "poutinisation" de la Hongrie." La suite sur laprovence.com
"Le Fidesz du dirigeant hongrois enchaîne les mauvais sondages face au parti Tisza de l’opposant Péter Magyar. Le scénario d’un prétendant de secours émerge dans l’optique des législatives d’avril prochain.
Ces deux derniers mois, comme depuis octobre, la plupart des études d’opinion prédisent une défaite du parti d’Orbán aux élections d’avril 2026 après seize ans de règne. Seul l’institut Nézőpont, proche de l’exécutif, prévoit une victoire par dix points du Fidesz contre le bulldozer Tisza de Péter Magyar, adversaire n°1 du régime contre lequel il se retourna en février 2024.
L’envol économique annoncé début-2025 par Viktor Orbán vire au crash. La dette grimpe, la croissance recule, l’inflation perdure, les fonds de l’UE manquent. Et les attaques contre Magyar font « pschitt ». Dans les cordes, Orbán décoche une campagne anti-Ukraine et un « Fight Club » risible pour mobiliser ses troupes, menace d’asphyxier médias et ONG critiques recevant des fonds étrangers avec une loi « à la russe » (vote reporté à l’automne pour cause de débats internes), interdit la Marche des Fiertés..." La suite sur lesoir.be (article payant)
"Le système de santé est un enjeu crucial dans tous les pays, notamment pour ceux qui s'expatrient et dépendent des services médicaux locaux. En Hongrie, la pénurie croissante de professionnels de santé, notamment d'infirmiers, est devenue un problème de plus en plus pressant ces dernières années. Selon des rapports récents, le gouvernement hongrois étudie plusieurs solutions, notamment le recrutement de professionnels étrangers.
Tel que rapporté par 24.hu.En 2023, le ministère de l'Intérieur a mené des discussions avec deux entreprises hongroises sur les moyens d'attirer des professionnels de santé étrangers dans le système national. Ces négociations s'inscrivent dans un contexte de grave défi : la Hongrie est actuellement confrontée à une pénurie de près de 40,000 XNUMX infirmiers. Le ministère a exploré plusieurs pistes pour remédier à la crise, notamment des discussions avec les syndicats sur les augmentations de salaires et l'étude de la possibilité de faire appel à du personnel étranger." La suite sur dailynewshungary.com
"L'appareil qui effectuait une liaison entre Lyon et Budapest (Hongrie) a contraint son équipage à le poser en urgence à Graz, en Autriche.
L'apparition de fumée dans le cockpit d'un appareil qui effectuait une liaison entre Lyon et Budapest a contraint son équipage à le poser en urgence à Graz, en Autriche, ont annoncé les autorités. "Personne n'a été blessé dans l'incident. La cause de la fumée n'est pas connue avec exactitude", a déclaré la police du Land de Styrie, dont Graz est le chef-lieu." La suite sur lindependant.fr
"Jazeera Airways a lancé la toute première liaison directe Koweït-Budapest, améliorant ainsi la connectivité entre l’Europe centrale et le Moyen-Orient et élargissant le rôle de plaque tournante régionale de l’aéroport de Budapest.
Jazeera Airways a lancé le 5 juin le tout premier vol direct entre l’aéroport de Budapest, membre du réseau VINCI Airports, et le Koweït. Ce service inaugural établit une toute nouvelle liaison entre la Hongrie et la région du Golfe, répondant à la demande croissante de liaisons aériennes améliorées entre l’Europe centrale et le Moyen-Orient.
Opérée deux fois par semaine jusqu’à mi-septembre 2025, cette nouvelle ligne renforce le réseau en expansion de l’aéroport de Budapest au Moyen-Orient et constitue une étape importante pour Jazeera Airways qui débute ses opérations en Hongrie." La suite sur air-journal.fr
"Aux prémices de l’été, Budapest bourdonne de multiples expositions artistiques qui traduisent une effervescence culturelle indéniable. Une belle opportunité de découverte en court séjour, dont il faut profiter en réservant de superbes hôtels dont l’offre variée est apte à séduire tous les styles de voyageurs.
Expositions : petit tour d’horizon
Du 3 avril au 31 juillet, l’exposition The Last Romantics est visible au Leo Bistro and Hotel Clark Budapest. Cette exposition captivante présente des photographies de Wanda Martin, dont le travail mêle magistralement les styles historique et contemporain. www.hotelclarkbudapest.hu/en/art-corner/
La Galerie nationale hongroise présente L’art de la vie, une exposition consacrée à l’art de l’affiche hongroise et à la culture de l’objet de l’époque de l’Art nouveau (1895-1914), avec environ 120 œuvres de peintres renommés. https://en.mng.hu/
La suite sur infotravel.fr
"Milorad Dodik boycottera son procès en appel, le 12 juin, estimant illégale sa condamnation à un an de prison. Le 6 juin, le dirigeant sécessionniste serbe était en Hongrie, en visite chez son ami Viktor Orbán. Entre provocations et noms d’oiseaux, la crise qui déchire la Bosnie-Herzégovine semble sans fin." La suite sur courrierdesbalkans.fr (article payant)
"Mormant-sur-Vernisson (France) (AFP) – Le Premier ministre hongrois Viktor Orban a comparé la politique migratoire européenne à "un échange organisé de populations pour remplacer le socle culturel" du continent, dans un discours musclé devant des militants de l'extrême droite européenne réunis dans le Loiret, à l'invitation du Rassemblement national.
Se targuant d'avoir su "repousser les migrants" dans son pays, quitte à encourir des sanctions de Bruxelles, M. Orban a clamé devant plusieurs milliers de personnes: "Nous ne les laisserons pas détruire nos villes, violer nos filles et nos femmes, tuer des citoyens pacifiques".
Dans ce discours prononcé en hongrois et traduit en direct en français pour les militants présents à Mormant-sur-Vernisson, le Premier ministre hongrois a clairement ciblé l'UE, assumant son rôle de "brebis galeuse de l'Union européenne", de "cauchemar de Bruxelles"." La suite sur france24.com
"Le Premier ministre hongrois a accusé Bruxelles de vouloir « remplacer les Européens », lors d’un rassemblement réunissant les figures montantes de l’extrême droite continentale.
Devant une foule de militants du Rassemblement national, Viktor Orban a livré une diatribe incendiaire contre la politique migratoire de l’Union européenne. Le dirigeant hongrois l’a qualifiée de « remplacement organisé des populations », menaçant selon lui l’identité culturelle du Vieux Continent. Son allocution, prononcée en hongrois et traduite en direct, a été ponctuée d’applaudissements dans la petite commune de Mormant-sur-Vernisson, où se tenait ce meeting regroupant plusieurs partis nationalistes européens.
Orban a une nouvelle fois défendu sa ligne dure en matière d’immigration, se présentant comme le rempart contre ce qu’il décrit comme une submersion migratoire. Sans ambages, il a évoqué des violences supposées commises par les arrivants, tout en fustigeant les institutions européennes, qu’il accuse de complicité. « Bruxelles veut notre perte, mais nous résisterons », a-t-il martelé, appelant les sympathisants du RN à faire barrage aux prochaines élections pour « sauver l’Europe »." La suite sur lesinguliersete.fr
Le Melville, 28, rue Jean Mermoz 75008 Paris
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"Il aura fallu attendre le 3eme match de la finale pour que Veszprem soit sacré champion de Hongrie. Les 3 Français ont brillé dans une finale à haute intensité face à Szeged.
Le One Veszprém a décroché ce dimanche son 29ᵉ titre de champion de Hongrie, après une série finale haletante face à Pick Szeged (2-1). Battus lors du deuxième match à Szeged, les joueurs de Xavi Pascual ont su réagir dans le match décisif à la One Arena, l’emportant 34-31 devant leur public." La suite sur handnews.fr
"Alors que plusieurs dirigeants européens d’extrême droite sont attendus ce lundi dans le Loiret, l’eurodéputée Manon Aubry adresse une lettre ouverte au Premier ministre hongrois.
TRIBUNE - Monsieur le Premier ministre de la Hongrie, votre venue, ce lundi 9 juin dans le Loiret, n’est pas une visite diplomatique : c’est une provocation politique.
Vous choisissez de fouler le sol de notre pays pendant le mois des fiertés, alors que, dans le vôtre, les personnes LGBTI+ meurent sous les coups de vos lois, et que vous y avez interdit les marches des fiertés. Vous choisissez de vous rendre en France pour y prêcher la haine de l’autre et la division, en dehors de toute invitation officielle de la diplomatie française, mais à l’invitation d’un parti politique se prétendant « patriote ».
C’est une curieuse ironie que de nommer son parti européen « Les Patriotes ». Il n’y a rien de patriotique à s’ingérer dans toutes les élections européennes à coups de millions d’euros via votre ami personnel, Lőrinc Mészáros, première fortune hongroise. La banque « Magyar Bankholding » (MBH), qu’il dirige et qui est détenue à 30 % par l’État hongrois, a accordé un prêt de 9,2 millions d’euros au parti espagnol Vox, ou encore un prêt de 10,6 millions d’euros au Rassemblement national en 2022." La suite sur huffington.fr
"Marine Le Pen et Jordan Bardella organisent un meeting dans le Loiret lundi 9 juin avec les alliés européens du Rassemblement national à l’occasion d’une « fête de la victoire », un an après les élections européennes.
L’extrême droite européenne sera réunie, lundi 9 juin 2025, dans le Loiret à l’occasion de la « fête de la victoire » organisée par le Rassemblement national, un an après la victoire du parti aux européennes. Marine Le Pen et Jordan Bardella ont invité les représentants des seize partis politiques qui composent l’alliance des Patriotes au Parlement européen.
Des discours de Marine Le Pen et Jordan BardellaLe Premier ministre Hongrois Viktor Orbán, le président espagnol de Vox Santiago Abascal, le vice-premier ministre italien Matteo Salvini ou encore le néerlandais Geert Wilders devraient défiler à la tribune à Mormant-sur-Vernisson près de Montargis. La journée s’achèvera par des discours de Marine Le Pen et Jordan Bardella, fait savoir le RN. « Ce sera une grande journée champêtre, avec un concert, une ambiance conviviale », a expliqué Thomas Ménagé, député RN du Loiret, à France 3 ." La suite sur ouest-france.fr
"Invité sur LCI, le premier ministre hongrois a affirmé que si Marine Le Pen est élue présidente, il l’aidera «à créer un budget pour le cycle à venir» et éviter de «dépenser de l’argent pour la guerre».
Le premier ministre hongrois Viktor Orban a affirmé dimanche sur la chaîne française LCI souhaiter la victoire de la leader d'extrême droite Marine Le Pen à l'élection présidentielle de 2027 en France, la considérant comme étant sur la même ligne «souverainiste» que lui.
Interrogé sur le fait de savoir s'il espérait que Marine Le Pen soit élue présidente dans deux ans, le dirigeant nationaliste a répondu : «Ah oui, je pense que ce serait magnum, plus, plus, plus de champagne que je boirais!». «Mme Le Pen a soutenu la Hongrie et était contre les injustices quand on ne se connaissait même pas encore personnellement (...) elle a toujours soutenu la position des États souverains», a-t-il ajouté." La suite sur lefigaro.fr