jeudi 29 février 2024

Soirée des Mardis hongrois de Paris du 27 février 2024 - Les images

 






















La compagnie aérienne Wizz Air assurera la liaison Budapest-Erevan-Budapest

"Wizz Air assurera des vols entre Budapest et Erevan. À partir du 17 juin, la compagnie aérienne à bas prix lancera des vols sur la ligne Budapest-Erevan-Budapest, entre la capitale de la Hongrie et de l’Arménie.

« Armenia International Airports » dont le siège est à l’aéroport de Zvartnots d’Erévan, informe que les vols seront effectués à la fréquence de deux vols par semaine, tous les lundis et vendredis. Budepest étant très prisés par les touristes Arméniens. L’occasion aussi aux Hongrois de visiter l’Arménie." Source : armenews.com

Le Parlement européen appelle à l'action contre l’érosion des valeurs de l’UE dans les États membres

"La démocratie, l’État de droit et les droits fondamentaux sont en danger dans l’ensemble de l’UE
La société civile, les médias, les autorités indépendantes et les groupes vulnérables sont menacés dans plusieurs États membres
Les députés soulignent des menaces spécifiques ou systémiques en Espagne, en France, en Grèce, en Slovaquie, à Malte et en Hongrie 

Mercredi, les députés ont mis en garde contre le recul démocratique dans de nombreux États membres et ont critiqué l’inaction de la Commission dans la sauvegarde des valeurs de l’UE." La suite sur europarl.europa.eu

L’Europe au pas cadencé

"À cinq mois des élections européennes, un événement éclaire le paysage radieux de la démocratie au sein de l’Union : pour châtier la Hongrie, dont le premier ministre refusait en janvier dernier d’entériner un plan d’aide de 50 milliards d’euros à l’Ukraine, Bruxelles a tout simplement menacé de détruire son économie. Les détails ont été révélés par le Financial Times (29 janvier 2024). « Bruxelles a mis au point une stratégie visant à cibler explicitement les faiblesses économiques de la Hongrie, à mettre en péril sa monnaie et à provoquer un effondrement de la confiance des investisseurs afin de nuire à “l’emploi et à la croissance” si Budapest refuse de lever son veto contre l’aide accordée à Kiev », explique le quotidien d’affaires britannique, qui a eu accès aux documents. Concrètement, si M. Viktor Orbán n’alignait pas sa politique étrangère sur celle de ses homologues, « ces derniers s’engageraient publiquement à couper tout financement européen à Budapest dans l’intention d’effrayer les marchés, de déclencher une crise monétaire sur le forint, et de faire exploser le coût des emprunts du pays ». Trois jours plus tard, le 1er février, M. Orbán capitulait." La suite sur monde-diplomatique.fr

L’OCDE va publier une Étude économique consacrée à la Hongrie le mercredi 6 mars 2024

"L’OCDE publiera sa dernière Étude économique de la Hongrie mercredi 6 mars 2024. Cette Étude est consacrée à l’examen des performances économiques récentes de la Hongrie et permet d’évaluer les différentes options qui s’offrent aux pouvoirs publics pour renforcer la reprise et mener à bien la transition écologique.

Le Secrétaire général de l’OCDE Mathias Cormann présentera l’Étude aux côtés du Ministre hongrois des Finances Mihály Varga au cours d’une conférence de presse qui se tiendra dans la salle du Trésor du ministère des Finances de la Hongrie, à Budapest, à 9h30 (8h30 GMT).

Pour s'inscrire à la conférence de presse de l'Étude économique consacrée à la Hongrie, les journalistes doivent contacter Mónika Pozsgai au ministère des finances par courrier électronique ou par téléphone au +36 1 896 5717." La suite sur oecd.org

Groupe de Visegrád : une unité de plus en plus fragilisée par les désaccords

"Malgré des divergences d’opinions de plus en plus marquées sur des questions clés telles que la guerre en Ukraine et l’aide à apporter au pays, le groupe de Visegrád — qui réunit quatre pays d’Europe centrale (Hongrie, Pologne, République tchèque et Slovaquie) —  a jusqu’à présent réussi à perdurer.

Le Premier ministre tchèque Petr Fiala a accueilli ses homologues hongrois, polonais et slovaque pour un sommet à Prague mardi (27 février), qui s’est déroulé sur fond de doutes quant à l’avenir du groupe, de plus en plus divisé sur diverses questions.

Créé en 1991 lorsque les pays se sont entraidés pour adhérer à l’UE et à l’OTAN, le groupe s’est vu qualifié de « toxique » lors de la crise migratoire de 2015, sa réaction à celle-ci dégradant son image. Les quatre pays de la région ont en effet rejeté avec fermeté la solution européenne à la crise migratoire sans pour autant proposer activement de solutions alternatives.

La réputation du groupe de Visegrád a également souffert des actions du gouvernement polonais précédent, dirigé par le parti Droit et Justice (PiS), et de l’actuel gouvernement hongrois dirigé par le Fidesz, qui ont tous deux porté atteinte à l’État de droit dans leur pays respectif." La suite sur euractiv.fr

Viktor Orban, cheval de Troie des visées chinoises

"La Hongrie et la Chine ont annoncé la semaine dernière avoir conclu un accord de sécurité aux contours encore flous mais inquiétants. Orban courtise volontiers Moscou, Pékin et Téhéran.

Les contours sont encore flous, mais le signal, lui, est sans équivoque. En annonçant il y a quelques jours la signature d’un accord bilatéral avec la Chine sur un domaine aussi sensible que la sécurité, Viktor Orban continue de faire cavalier seul dans le camp occidental. L’hôte d’honneur du pouvoir à Budapest, le 16 février, n’était autre que Wang Xiaohong, ministre de la Sécurité publique chinoise et conseiller d’État haut placé auprès de Xi Jinping.

Objet de la visite ? " Approfondir la coopération dans des domaines tels que la lutte contre le terrorisme ou la..." La suite sur ouest-france.fr

mercredi 28 février 2024

Guerre en Ukraine : l'Europe centrale reste profondément divisée

"Réunies mardi, Pologne, Hongrie, Tchéquie et Slovaquie ne parviennent plus à afficher un front commun en raison de leurs divergences sur l'Ukraine. Varsovie et Prague soutiennent Kiev, tandis que Budapest et Bratislava affichent une grande ambiguïté vis-à-vis de Moscou.

Autrefois unis sur de nombreux sujets, les pays d'Europe centrale sont aujourd'hui profondément divisés, à cause de positions radicalement divergentes vis-à-vis de la guerre en Ukraine . Pologne, République tchèque, Slovaquie et Hongrie : les pays du « groupe de Visegrad » étaient réunis en sommet, mardi, à Prague.

Mais il n'est rien ressorti de concret de la réunion des quatre Premiers ministres. Malgré l'arrivée récente de deux nouveaux dirigeants au pouvoir l'an dernier - Donald Tusk en Pologne , Robert Fico en Slovaquie - la désunion règne depuis maintenant deux ans. « Les réunions du groupe de Visegrad sont devenues une pure formalité désormais », décrypte Ivan Nagy, collaborateur du think tank Visegrad Insight." La suite sur lesechos.fr (article payant)

Hongrie, La Loi relative à la propagande a « créé un climat de peur »

"La loi de 2021 sur la propagande, qui limite les discussions et les représentations relatives aux personnes lesbiennes, gays, bisexuelles, transgenres et intersexes (LGBTI) dans les établissements scolaires et les médias, a eu un impact considérable sur les personnes et les groupes LGBTI en Hongrie, en consacrant des stéréotypes négatifs et des attitudes discriminatoires et en restreignant le droit à la liberté d’expression, écrit Amnesty International dans un rapport rendu public mardi 27 février.

Ce rapport, intitulé From freedom to censorship : Consequences of the Hungarian Propaganda Law, révèle qu’en l’espace de trois ans, cette loi a eu un effet dissuasif généralisé dans les secteurs des médias, de la publicité et de l’édition, dont les réverbérations ont été largement ressenties par les groupes et les personnes LGBTI+.

« Ces dix dernières années, le gouvernement hongrois et les médias soutenus par l’État ont mené une campagne contre les droits des personnes LGBTI, en tenant un discours stigmatisant et en prenant pour cible des membres de la société civile qui défendent l’égalité. »

« La Loi relative à la propagande a créé un climat de peur et limité l’accès à l’information, en particulier pour les jeunes. La crainte des sanctions a eu un effet glaçant empêchant les gens de partager, de rechercher et de recevoir des informations sur l’orientation sexuelle et l’identité de genre. La Loi relative à la propagande a également contribué à l’émergence de stéréotypes négatifs et d’attitudes discriminatoires à l’égard des personnes LGBTI », a déclaré Eszter Mihály, responsable des questions LGBTI à Amnesty International Hongrie." La suite sur amnesty.be

Quand Israël sacrifiait un héros

"Il y a quatre-vingts ans, le 19 mars 1944, la Wehrmacht entrait en Hongrie, pays allié de l’Allemagne nazie. En moins de trois mois, 440 000 Juifs allaient être déportés et les trois quarts exterminés dès leur arrivée à Auschwitz. À Budapest, l’avocat Rezsö Kasztner parvient à en sauver 1 684 grâce à un sang-froid hors du commun. Dix ans plus tard, son destin bascule, emporté par la raison d’État d’Israël…

Depuis 1920 et la défaite qu’il a infligée à l’éphémère régime communiste de Béla Kun, l’amiral contre-révo­lutionnaire Miklós Horthy règne sur la Hongrie. En échange de son soutien au IIIe Reich, le pays récupère les territoires perdus à l’issue de la première guerre mondiale. Allié de l’Allemagne nazie, le régime de Horthy a fait voter des lois antisémites (en 1938, 1939, 1941) et a expédié cent mille Juifs âgés de 21 à 60 ans dans des bataillons de travail forcé auquel près de la moitié ne survivra pas. En revanche, la Hongrie résiste aux exhortations d’Adolf Hitler à livrer les Juifs aux nazis.

Les choses auraient pu en rester là si, sentant le vent tourner après 1943, la Hongrie n’avait essayé de négocier une paix séparée avec les Alliés. « Horthy, écrit le germaniste Ladislaus Löb, n’est pas un antisémite fanatique, mais un opportuniste qui marche sur une corde raide, essayant de concilier les exigences allemandes et hongroises de prendre des mesures antijuives plus radicales et sa crainte d’un ostracisme international et des représailles alliées.  » Informé, Hitler dépêche ses troupes en mars 1944. Le processus rodé dans d’autres pays s’enclenche à Budapest en un temps record : constitution d’un conseil central des Juifs pour établir leurs localisation, ghettoïsation, expropriation, regroupement et, finalement, déportation. Entre mai et début juillet, 250 trains quittent les provinces hongroises en direction d’Auschwitz. Le maître d’œuvre de la Shoah, l’Obersturmbannführer Adolf Eichmann, dirige sur place les opérations avec l’aide de la police, de la gendarmerie et de la fonction publique locale hongroises. Sur les 440 000 Juifs déportés durant cette période, 330 000 sont exterminés dès leur arrivée dans le camp.

Le comité Vadaa (Va’adat Ezrah Vehatzalah) intervient alors. Ce réseau de secours avait déjà réussi à faire sortir des Juifs de Roumanie et de Slovaquie en les mettant momentanément à l’abri en Hongrie. Rezsö Kasztner, raconte Löb, est « la figure de proue de ce petit (...)" La suite sur monde-diplomatique.fr

mardi 27 février 2024

De Madrid à Budapest : fractures européennes

"Multipliant les déclarations contradictoires et les rétropédalages, les Européens peinent à parler d’une seule voix depuis le 7 octobre. Ont-ils toujours été aussi divisés sur la question du Proche-Orient ? Quelles sont les racines de leurs affinités respectives avec Israéliens ou Palestiniens ?

Avec
  • Pierre Vimont Ancien ambassadeur de France aux Etats-Unis, ancien secrétaire général du service diplomatique européen. Chercheur associé au think tank Carnegie Europe.
  • Jacques Rupnik Historien, politologue, directeur de recherche émérite au CERI/Sciences Po
  • Marie-Violaine Louvet Maîtresse de conférence en civilisation britannique et irlandaise à l'université de Toulouse 2 Jean Jaurès

Si l’Union européenne a réussi à parler d’une même voix au début de la guerre en Ukraine, cela n’a pas été le cas lors de l’attaque du 7 octobre 2023. L’UE s’est divisée sur le “soutien inconditionnel” assuré à Israël par Ursula Von der Leyen et les critiques du chef de la diplomatie européenne, Josep Borrell, vis-à-vis de l’offensive israélienne. Le 20 janvier, il accuse Israël d’avoir “crée” et “financé” le Hamas et le 13 février, en s’adressant aux Etats-Unis, il suggère de “fournir moins d’armes afin d’empêcher que tant de gens soient tués.” Depuis le début du conflit, les déclarations hâtives et les rétropédalages sont nombreux. Récemment, la France, l'Allemagne, l'Italie et les Pays-Bas ont déclaré suspendre leur participation à l’UNRWA, l’agence de l’ONU pour les réfugiés palestiniens, en l’attente d’une enquête, tandis que l’Irlande, l’Espagne et le Luxembourg l’ont conservé." La suite et à écouter (59MIN) sur radiofrance.fr

Se loger à Budapest : le guide complet

"En plein cœur de l'Europe centrale, la Hongrie s'est imposée comme une destination prisée des expatriés ces dernières années. Depuis son intégration à l'Union européenne en 2004, le pays a connu une transformation économique notable, attirant des niveaux d'investissement étranger significatifs. Associé à des coûts de vie abordables et à un marché de l'emploi dynamique, il n'est pas surprenant que tant de personnes aient choisi de s'aventurer dans ce charmant pays européen. Pourquoi pas vous ?

Budapest, capitale de la Hongrie, est souvent classée très haut parmi les meilleures villes du monde. Avec son ambiance vibrante qui attire les visiteurs et les expatriés, ainsi qu'une diversité de paysages comprenant des lacs, des rivières, des plaines et des montagnes, Budapest offre un large éventail de possibilités pour les amoureux de la nature. Alors, pourquoi attendre ? Le moment est venu de faire le saut et de vous installer à Budapest.

Quel type de logement privilégier à Budapest ?

Les appartements dans le centre-ville : 

Ces logements offrent généralement un accès facile aux principaux monuments historiques, aux restaurants et aux transports en commun. Bien que les prix puissent être plus élevés, la commodité de l'emplacement peut en valoir la peine pour ceux qui souhaitent se trouver au cœur du dynamisme de la ville. 

Les logements communautaires :

Présents dans de nombreuses grandes villes hongroises, il s’agit du logement de base dans le pays. Les logements communautaires sont de grands immeubles composés d’environ cinq appartements par étage, entourant une cour intérieure." La suite sur lepetitjournal.com

Hongrie : comment Viktor Orbán continue de piétiner les droits des LGBT+ et la liberté d’expression

"Le dernier rapport d’Amnesty International – « De la liberté à la censure » –, consulté par « Le Soir », analyse les conséquences de plus de deux ans de « loi sur la propagande » impulsée par le Premier ministre hongrois en 2021. Rencontre avec leurs auteurs, Eszter Mihály et Dávid Vig.

Il faut être résolument tenace pour continuer à défendre les droits des personnes LGBT+ dans la Hongrie de Viktor Orbán. C’est en tout cas ce que confirme le dernier rapport d’Amnesty International – « De la liberté à la censure » –, consulté en primeur par Le Soir, qui s’attache à analyser les conséquences de deux ans de « loi sur la propagande » impulsée par le Premier ministre hongrois en 2021. Dans la foulée, le 15 juillet 2021, la Commission européenne ouvrait des procédures d’infraction contre la Hongrie pour « atteintes aux valeurs fondamentales de l’Union européenne »." La suite sur lesoir.be

Otan : la Hongrie ratifie l’adhésion de la Suède, ultime pays à le faire

"Le Parlement hongrois a approuvé, lundi 26 février, l’accession de la Suède à l’Otan. Ce protocole d’adhésion, qui requiert l’unanimité des membres de l’Alliance atlantique, était en suspens depuis mai 2022.

Le parlement hongrois a ratifié, lundi 26 février 2024, l’adhésion de la Suède à l’Otan, ultime étape pour le pays nordique, désireux de rejoindre l’Alliance atlantique depuis l’invasion russe de l’Ukraine. La candidature de Stockholm a été approuvée à une écrasante majorité des députés (188 voix sur 199 sièges), après quasiment deux ans d’attente." La suite sur ouest-france.fr

La Hongrie élit un nouveau président après le scandale de la grâce controversée

"La Hongrie, qui a perdu son emblématique présidente après le pardon accordé dans un scandale de pédocriminalité, élit lundi au parlement son successeur pour tenter de clore ce retentissant scandale. Première femme à occuper ces fonctions dans le pays d'Europe centrale, Katalin Novak, nommée en mars 2022, a démissionné il y a deux semaines, reconnaissant une «erreur» dans la décision de gracier le complice d'un pédocriminel. Le premier ministre Viktor Orban, confronté à sa plus grave crise politique depuis son retour en 2010, a lui-même évoqué un «cauchemar» en évoquant le départ de cette proche.

Scandale

Pour la remplacer, le parti au pouvoir Fidesz a choisi un profil beaucoup plus discret, à savoir le juriste de 67 ans Tamas Sulyok, qui dirigeait la Cour constitutionnelle depuis 2016." La suite sur lefigaro.fr

Hongrie : faible participation au rassemblement anti-gouvernemental à Budapest

"Au moins 10 000 personnes avaient manifesté vendredi 16 février, après les révélations sur une affaire d'abus sexuels.

Réunis à Budapest dimanche, ces manifestants réclament la démission du gouvernement...Un rassemblement qui n’a pas déplacé grand monde. Il intervient quelques jours après la démission de la présidente hongroise, critiquée pour avoir gracié un homme, impliqué dans une affaire pédocriminelle.

"Nous sommes au cœur du plus grand scandale politique des 14 dernières années de gouvernement du parti Fidesz. Beaucoup de gens sont indignés, comme l'a montré l'énorme manifestation qui a eu lieu la semaine dernière. Malgré cela, les partis d'opposition n'ont réussi à rassembler que quelques milliers de personnes devant le Parlement", explique Ádám Magyar, journaliste d'Euronews." La suite sur euronews.com

lundi 26 février 2024

Élevage : Le Tchad et la Hongrie ensemble pour un avenir prometteur

"Dans une démarche visant à consolider les relations et à favoriser le progrès mutuel, une délégation éminente de l'Université hongroise baptisée University of Agriculture and Life sciences a récemment entrepris un voyage au cœur du Tchad. Cette visite marque le début d'une collaboration d'envergure entre les deux nations, axée sur le partage de connaissances et l'intégration de technologies novatrices dans le domaine crucial de l'élevage. 

L'élevage occupe une place prépondérante dans l'économie tchadienne, et c'est dans ce contexte que la mission hongroise s'est engagée à apporter son expertise, notamment dans le domaine de l'insémination artificielle, afin de moderniser et d'optimiser les pratiques d'élevage au Tchad.

Dans la même démarche, l'Institut de Recherche, en Élevage pour le Développement (IRED) a servi de cadre d'une session de formation intensive, où les étudiants ont eu le privilège d'assimiler les dernières avancées technologiques et les méthodologies innovantes en matière d'élevage, grâce aux enseignements prodigués par les éminents professeurs hongrois." La suite sur alwihdainfo.com

Le constructeur automobile chinois BYD livre son premier lot de véhicules à énergie nouvelle en Hongrie

"SHENZHEN, 25 février (Xinhua) -- Le constructeur automobile chinois BYD a livré son premier lot de BYD ATTO 3, voitures de tourisme à énergie nouvelle, en Hongrie, ouvrant un nouveau chapitre de son développement sur le marché d'Europe centrale et orientale, d'après la société.

Depuis son entrée en Hongrie en octobre 2023, le secteur des voitures de tourisme de BYD a connu une expansion et un développement rapide sur le marché hongrois. En collaboration avec les principaux concessionnaires locaux, la société offre aux consommateurs des services intégrés allant de la consultation pour l'achat d'une voiture à l'entretien après-vente." La suite sur xinhuanet.com

Salon de l’agriculture : pas de podium pour le braque de Douadic

"Le braque hongrois à poil court de Douadic, Pallas des Quêtes du Berry, n’obtiendra pas de prix au Salon de l’agriculture, samedi 24 février 2024. Les chances de médailles pour l’Indre reposent sur un chien de Saint-Christophe-en-Bazelle et du Magny.

Pallas des Quêtes du Berry, braque hongrois à poil court âgé de 4 ans, a un palmarès long comme une patte, y compris à l’international – il a été titré en Espagne et en Suisse. Mais rien n’est jamais acquis, surtout lorsqu’on découvre le Salon de l’agriculture et son ambiance unique, cinq années après la participation de sa mère Leto. Samedi 24 février 2024, dans le groupe 7, celui des chiens d’arrêt (où la concurrence est rude avec 22 animaux, des braques, des épagneuls, des setters), le représentant de l’élevage de Douadic n’a pu accéder au podium.

« Il a eu peur de la moquette »

La suite sur lanouvellerepublique.fr

La Hongrie consent enfin à l’adhésion de la Suède à l’Otan

"Le Parlement de Budapest, aux ordres de Viktor Orban, doit voter en ce sens lundi.

Scène saisissante que celle qui s’est déroulée le 5 février au Parlement hongrois. Sur les bancs de l’Assemblée, socialistes, sociaux-démocrates, libéraux et nationaux-conservateurs, unis pour condamner l’entêtement du Fidesz de Viktor Orban à bloquer l’élargissement de l’Otan à la Suède. Face à ces députés, une Assemblée aux deux tiers vide, boycottée par le Fidesz, et sous l’œil des ambassadeurs des Pays-Bas, de Norvège, du Danemark, de Pologne, de Slovaquie et surtout des États-Unis.

Cela, près de deux ans après la demande d’adhésion suédoise, déposée le 18 mai 2022, et alors que tous les autres membres avaient ratifié l’élargissement de l’Alliance atlantique à l’été-automne 2022, à l’exception de la Turquie, qui a traîné les pieds jusqu’au 25 janvier dernier. «En quoi cela est-il bon pour le peuple hongrois que Viktor Orban et le Fidesz soient devenus les marionnettes de Poutine et servent les intérêts nationaux russes?», a lancé Koloman Brenner, député du Jobbik, car même ce parti…" La suite sur lefigaro.fr (article payant)

dimanche 25 février 2024

Deux rencontres littéraires à Toulouse

Deux rencontres auront lieu à Toulouse, à l’initiative de l’Association Franco-Hongroise Midi-Pyrénées :


Le samedi 9 mars à 15h, rencontre avec Catherine Fay autour du Journal de Márai et de sa traduction, salle Marguerite Dilhan (3, rue Escoussières Arnaud-Bernard) à 31 - Toulouse


Le samedi 6 avril à 15h à la librairie Ombres Blanches 50 Rue Léon Gambetta, 31000 Toulouse, rencontre avec Guillaume Métayer autour de son livre A comme Babel, traduction, poétique.
 
Les deux événements seront suivis d’un atelier de traduction, animé par les intervenants, dans le cadre d’un cycle-découverte, Panoráma, de traduction littéraire.
Et le 12 mars, le club lecture d’écrivains hongrois fêtera ses 20 ans !
Voilà donc un programme dense et joyeux, comme on les aime !

La nouvelle exposition du musée Ludwig de Budapest rend hommage à la plasticienne Vera Molnár du 10 février au 14 avril 2024

"Le musée d’art contemporain Ludwig de Budapest rend hommage dans sa dernière exposition à Vera Molnár qui aurait fêté ses cent ans cette année. L’exposition A la recherche de Vera Molnár - Oeuvres et réflexions contemporaines de Vera Molnar est accessible au public depuis ce samedi 10 février jusqu’au 14 avril 2024. L’exposition a été réalisée avec le concours de Stiftung Für Kunst und Kultur et la Galerie Vintage.

L’hommage à l'artiste plasticienne française née à Budapest se fait en deux temps. Dans une première partie sont exposées les œuvres importantes de son travail comme le tableau Hypertransformation. Dans une seconde partie le musée à permis à des artistes internationaux qui ont été inspirés par Vera Molnár de proposer une pièce unique créée spécialement pour l'exposition. Nous retrouvons notamment dans cette deuxième partie l’impressionnante sculpture musicale et lumineuse en trois dimensions du collectif parisien u2p050 nommée Asking a shadow to dance. La sculpture a été créée en s’inspirant du carré magique sur lequel a travaillé Vera Molnár en 1948." La suite sur jfb.hu

25 février : la Hongrie se souvient des victimes du communisme

"Il ne s’agit pas d’un jour férié, mais d’une simple journée commémorative faisant l’objet d’une cérémonie au Parlement, de publications dans la presse et d’interventions dans les lycées.

C’est en 2000, sous le premier gouvernement de Viktor Orban que ce Jour du souvenir des victimes des dictatures communistes (A kommunista diktatúrák áldozatainak emléknapja) a été institué en souvenir de l’arrestation d’un dirigeant politique d’opposition par les autorités communistes hongroises, premier pas vers l'instauration d'une dictature totale à parti unique en Hongrie. Ce fut une étape de la « tactique du salami » inventée par l'homme politique hongrois Mátyás Rákosi, chef du Parti communiste, pour décrire l'élimination progressive des pouvoirs extérieurs au communisme (Église, autres partis, etc.), « tranche après tranche, jusqu'à ce qu'il ne reste plus rien ». " La suite sur bibliomonde.fr

samedi 24 février 2024

La Hongrie va acquérir 4 avions Gripen de plus et ratifier l’entrée de la Suède au sein de l’Otan

 Photo : Ministère hongrois de la Défense

 "Au regard de ses griefs à l’égard de Stockholm, notamment au sujet de l’asile donné aux membres du Parti des travailleurs du Kurdistan [PKK, considéré comme terroriste], et de l’opposition d’une partie de Congrès des États-Unis à son projet d’acquérir des chasseurs-bombardiers F-16 Viper, on aurait pu penser que la Turquie allait être le dernier pays à donner son accord à l’adhésion de la Suède à l’Otan… Or, cela n’a pas été le cas, la Hongrie s’étant avérée plus coriace à convaincre.

Pourtant, la Suède et la Hongrie cultivaient jusqu’ici de bonnes relations dans le domaine militaire. Ainsi, au début des années 2000, le ministère hongrois de la Défense signa un accord avec le constructeur suédois Saab en vue d’acquérir 14 avions de combat Gripen C/D, via un crédit-bail d’une valeur de 555 millions d’euros. Contrat qui fut par la suite reconduit jusqu’en 2026.

Seulement, le gouvernement hongrois, emmené par le conservateur Viktor Orban, n’a pas apprécié ce qu’il a qualifié de « politique de dénigrement » de la Suède à son égard. À plusieurs reprises, il a dénoncé « l’attitude ouvertement hostile » de responsables suédois, par ailleurs accusés de « d’user de leur influence politique » à Bruxelles « pour porter atteinte aux intérêts » de la Hongrie." La suite sur opex360.com

Hongrie, "Illibéralisme"

 "Avec

  • Antonela Capelle-Pogăcean Chargée de recherche Sciences Po au CERI (Centre d’Etudes et de Recherches Internationales) et enseignante à Sciences Po Dijon
  • Gábor Erőss Docteur en sociologie membre de la direction du parti écologiste Párbeszéd et adjoint au maire du 8e arrondissement de Budapest

Au pouvoir depuis 2010, largement réélu en 2022, Viktor Orbán a engagé des réformes mettant à mal plusieurs principes démocratiques en Hongrie. Qualifiant lui même sa politique d'"illibérale", comment analyser cette notion ? La Hongrie peut-elle se définir par "l'illibéralisme" ?

Le terme illibéralisme, inventé en 1990 par Fareed Zakaria, un journaliste et chercheur états-unien, a connu un essor considérable depuis une quinzaine d’années. Repris par le premier ministre hongrois Viktor Orbán pour désigner sa propre politique, il définit la Hongrie qu’il dirige sans discontinuer depuis 2010 avec l’expression de « démocratie illibérale ».

Mais l’imprécision du terme, comme celui de populisme, permet-elle de rendre compte de la situation des droits dans ce pays, des rapports de pouvoir entre la société civile et le gouvernement de M. Orbán ?

Ce terme imprécis permet-il de comprendre également, à quelques mois des élections européennes, pourquoi l’Union européenne n’a pas été plus radicale dans ses sanctions, déjà nombreuses, contre la Hongrie ?" A écouter sur radiofrance.fr (38MIN)

Avant le vote sur l'OTAN au parlement hongrois, la Suède et la Hongrie renforcent leur coopération militaire

"La Hongrie a annoncé vendredi l'achat de quatre avions de combat à la Suède, affichant une volonté de coopération militaire renforcée trois jours avant le vote prévu au parlement hongrois pour permettre au pays nordique d'adhérer à l'OTAN.

Le Premier ministre Viktor Orban, dernier à barrer la route de l'alliance atlantique à Stockholm, a dévoilé ce contrat à l'occasion de la visite très attendue de son homologue suédois à Budapest.

"Aujourd'hui, nous avons conclu un accord pour ajouter quatre avions à la flotte de chasseurs-bombardiers Gripen des forces de défense hongroises", en plus des 14 déjà exploités en leasing, a-t-il déclaré en conférence de presse." La suite sur rtbf.be

vendredi 23 février 2024

Reportage. En Transcarpatie, dans l’ouest de l’Ukraine, “bientôt, il n’y aura plus de garçons”

"Depuis deux ans, malgré son éloignement des combats, cette région frontalière de la Hongrie, et qui abrite la minorité magyare d’Ukraine, ressent profondément la douleur de la guerre et l’angoisse de la mobilisation, raconte ce reportage du quotidien hongrois de gauche “Nepszava”.

Entrer dans un territoire en guerre serre l’estomac. Entendre une alerte aérienne aussi, même si personne ne sursaute au son assourdissant de la sirène. Pourtant, ce n’est pas un exercice. Des bombes pleuvent sur le pays. L’Ukraine subit aussi des attaques verbales et cyniques du gouvernement hongrois. La prochaine fois, nous arriverons avec un drapeau ukrainien en Transcarpatie. L’Ukraine a déjà assez de soucis sans nous. Elle enterre des héros de guerre. Des garçons, des pères. L’Ukraine se bat parce qu’elle ne peut faire autre chose. En direction de Beregsurany (village [hongrois] frontalier de l’Ukraine), l’autoroute ressemble à une apocalypse zombie. Aucun véhicule à l’horizon pendant de longues minutes. Presque zéro attente à la frontière.

“Tout va bien ? Pas d’arme ?” demande le douanier ukrainien pratiquant son magyar avec un accent slave. “Cigarettes ?” enchaîne l’officier frigorifié. Il ne cherche pas de marchandise de contrebande, car en Ukraine les cigarettes coûtent le tiers du prix hongrois. L’homme se contente d’une clope puis retourne piétiner dans le froid qui vous gèle jusqu’aux os. “Le petit papier ?” nous demande-t-on au dernier poste de douane. Nous remettons le certificat confirmant que, depuis cinq minutes et au terme des cent mètres parcourus, nous ne sommes ni plus ni moins de personnes dans la voiture. Après tout, qui voudrait se faufiler illégalement sur une terre de guerre ?

Les jeunes n’imaginent pas leur vie sur place

À Berehove, la nuit tombe sur le parc mémorial de l’agression russe de 2014. Un écran géant projette de la propagande guerrière entre deux réclames souriantes. Les opinions alternatives se trouvent sur Telegram. Nous regardons les visages des victimes de l’époque, dont des héros de la 128e brigade d’assaut de montagne de Transcarpatie, siégeant à Oujhorod. Toutes les bougies sont consumées. Elles avaient été allumées lors d’une prière en hommage aux neuf morts du bombardement du 3 novembre 2023 à Zaporijjia. Un missile russe Iskander-M s’était abattu sur une cérémonie de remise de décorations.

Triste réalité : les premiers morts transcarpates des guerres de 2014 et de 2022 appartiennent à la minorité hongroise. Roland Popovitch, originaire de Berehove, s’est éteint à 19 ans en 2014. Sandor Kis, soldat de marine, est mort le 24 février 2022, au premier jour de la guerre lancée par Vladimir Poutine. Sur la place des Héros, les victimes de l’“opération militaire spéciale” russe s’accumulent.

Malgré le froid piquant et bien que nous soyons un dimanche soir, nous trouvons un kiosque ouvert non loin de là. Des jeunes sirotent des bières. Un garçon et une fille nous proposent aimablement de les suivre vers un lieu abrité histoire de se “réchauffer les esprits”. Miklos fréquente le lycée François II Rakoczi. Ses études terminées, il prévoit de partir en Hongrie et vise Sarospatak ou Debrecen. Virag, elle, s’installerait à Budapest. Les plans de Miklos sont plus solides. Une fois majeur, il contournerait l’armée et l’éventualité du front en tant qu’étudiant, mais ne pourrait quitter le pays qu’avec une raison exceptionnelle. Exemple : travailler pour une organisation humanitaire. Selon Miklos et Virag, la plupart de leurs contemporains n’imaginent pas leur vie en Transcarpatie, et s’exprimer en hongrois n’est pas particulièrement apprécié dans la région." La suite sur courrierinternational.com (article payant)

Quel rôle Einstein a-t-il vraiment joué dans la mise au point de la bombe atomique ?

"Albert Einstein doit une grande partie de sa célébrité auprès du grand public à l'équation E=mc2, qui a mis en évidence l’interchangeabilité de l'énergie et de la masse, ouvrant ainsi la voie à l'énergie nucléaire et aux armes atomiques.

Son rôle dans le drame de la guerre nucléaire aurait pu s'arrêter là. Mais dans les années 1920, alors qu'il vivait à Berlin, le physicien collabora avec le Hongrois Leo Szilárd pour mettre au point et breveter un réfrigérateur écoénergétique. Bien que leur projet n'ait jamais été commercialisé, le travail du duo impliqua Einstein, fervent pacifiste, dans la course à la création d'une bombe atomique pendant la Seconde Guerre mondiale.

Plus tard dans sa vie et alors même qu’il luttait contre les conséquences mortelles de sa création scientifique, Einstein plaida avec véhémence en faveur de l'interdiction des armes nucléaires dans le monde entier." La suite sur nationalgeographic.fr

Colère des agriculteurs: "Stop à la bureaucratie", scandent les Polonais, Tchèques, Slovaques, Hongrois et Lettons, les manifestations gagnent l'Europe centrale

"La colère du monde agricole contre les instances européennes se répand sur le continent.

Des agriculteurs tchèques, slovaques et polonais ont bloqué ce jeudi des points de passage à la frontière entre la République tchèque et la Slovaquie pour protester contre ce qu'ils considèrent comme un trop-plein de "bureaucratie" et contre les nouvelles normes européennes.

Les agriculteurs ont notamment perturbé le trafic routier pendant plus d'une heure au poste-frontière de Hogonin-Holic, dans le sud de la République tchèque, avec une centaine de tracteurs.

Les manifestants, parmi lesquels se trouvaient des agriculteurs hongrois venus en bus, ont brandi des drapeaux nationaux et des pancartes sur lesquelles on pouvait lire : "Stop à la bureaucratie" ou "Stop aux céréales ukrainiennes"." La suite sur lindependant.fr

jeudi 22 février 2024

Concert : Ramona Horvath trio and guests - Vendredi 8 mars 2024 à 20 h - Le Son de la Terre

Le Son de la Terre : Port Montebello 75004 Paris

C'est la journée des femmes ! Venez fêtez la flamboyante Carmen, avec Ramona Horvath et son trio. Faisons ensemble un voyage dans le monde de la latinidad, de Bucarest à la Havane.

Pour ce concert nous vous ferons voyager dans trois univers différents : celui des influences de Ramona avec des compositions et arrangements originaux qui puisent leur inspiration dans les chefs-d’œuvre de la musique classique.
Puis, avec l’expressive chanteuse Clotilde Rullaud et l’excellent guitariste et fin accompagnateur Jean-Philippe Bordier, nous entrerons dans l’univers de la chanson roumaine des années 40′, et pour clore la soirée façon caliente … nous ferons un passage par la Havane et ses boleros, grace à la voix de velours de Carlos-Miguel Hernandez.
Concert organisé en partenariat avec l’Institut Culturel Roumain de Paris .
Ramona Horvath piano
Nicolas Rageau contrebasse
Antoine Paganotti batterie
Guests :
Jean-Philippe Bordier guitare Clotilde Rullaud chant
Carlos-Miguel Hernandez chant

Les joyaux de l’immobilier industriel hongrois présentés au MIPIM à Cannes

"La Hongrie présentera ses développements immobiliers industriels et logistiques les plus significatifs, pertinents pour les flux de capitaux de travail étrangers, lors de l’exposition de développement immobilier la plus importante au monde, MIPIM, à Cannes du 12 au 15 mars. Cette initiative vise à promouvoir les investissements hongrois et à présenter les tendances de développement, avec la participation conjointe de l’Agence Hongroise de Promotion des Investissements (HIPA) et de l’Association de la Table Ronde des Développeurs Immobiliers (IFK). Des villes telles que Békéscsaba, Debrecen et Kaposvár seront également représentées, soulignant l’importance de cette exposition pour attirer les investissements étrangers et renforcer la capacité de la Hongrie à attirer des capitaux dans la compétition mondiale pour les investissements.

Un point de rencontre entre l’Ouest et l’Est

La position géographique de la Hongrie, servant de point de rencontre entre l’Ouest et l’Est, est particulièrement avantageuse. Cela est confirmé par la présence de cinq des dix plus grandes entreprises de batteries au monde en Hongrie, attirant des fabricants automobiles allemands majeurs et des fournisseurs de batteries asiatiques. Cette dynamique unique place la Hongrie au centre de l’attention internationale, stimulant ainsi les activités des développeurs immobiliers professionnels et attirant l’attention des investisseurs internationaux." La suite sur yourtopia.fr

Politique de l’UE. La Cour des comptes dénonce les marchandages avec Orbán sur l’État de droit

"Les efforts de Bruxelles pour convaincre les membres rebelles comme la Pologne et la Hongrie sont loin d’être infaillibles, a déclaré l’organisme de surveillance du budget.

L’accord visant à offrir au Premier ministre hongrois Viktor Orbán des fonds européens dans le cadre d’un accord sur le soutien à l’Ukraine a été critiqué par l’organisme de surveillance budgétaire du bloc dans un rapport publié aujourd’hui (22 février).

Bruxelles devrait faire respecter l’État de droit sur la base d’une analyse solide et non de marchandages politiques, a déclaré la Cour des comptes européenne (CCE).

La Commission européenne est depuis longtemps préoccupée par l’indépendance judiciaire en Pologne et en Hongrie, mais les nouvelles règles qu’elle a introduites sont loin d’être étanches et sujettes à cocher des cases, indique le rapport." La suite sur observatoiredeleurope.com

Reportage «Nous n’aurons rien à part la pollution» : en Hongrie, climat électrique près des usines de batteries chinoises

"A Debrecen, dans l’est du pays, la plus grande fabrique de batteries pour voitures électriques d’Europe sort de terre, en dépit de l’inquiétude des habitants. Aidé d’entreprises asiatiques, Viktor Orbán accélère ainsi son plan de production de masse, malgré des risques environnementaux.

Plongée dans le brouillard et balayée par des bourrasques de neige, la carcasse de l’usine paraît interminable. Les grues et les piliers de béton se succèdent sans relâche, formant une silhouette fantomatique traversée par les flashs orange des engins de chantier. D’ici à moins de deux ans, la plus grande usine de batteries de Hongrie et d’Europe se dressera ici, à l’extrémité sud de Debrecen, dans une ancienne plaine agricole transformée en zone industrielle dans l’est du pays. «Les autorisations ont été délivrées en quelques mois à peine et les travaux vont à une vitesse folle», s’inquiète Eva Kozma, présidente de l’association de riverains Miakö, qui s’oppose au projet.

Depuis 2020, la Hongrie va effectivement très vite sur les batteries. Le Premier ministre Viktor Orbán a lancé un plan national pour faire du pays un producteur d’ampleur mondiale. Sa stratégie repose sur deux données. D’une part, toutes les voitures neuves vendues dans l’Union européenne à partir de 2035 devront être électriques, et donc dotées d’une batterie. D’autre part, l’économie hongroise dépend assez largement de la construction automobile, qui représente au moins 6% de son PIB. Pour garder dans le pays les nombreuses marques allemandes qui y ont élu domicile, le gouvernement sait qu’il faudra produire sur place les batteries pour raccourcir les chaînes logistiques." La suite sur liberation.fr (article payant)

mercredi 21 février 2024

Adhésion de la Suède à l'Otan : le Premier ministre en visite à Budapest, dans l'attente du feu vert de la Hongrie

"Alors que la Suède avait annoncé sa candidature à l'Otan en mai 2022, après le déclenchement de la guerre en Ukraine, et qu'elle finalement obtenu le feu vert de la Turquie en janvier dernier, elle attend désormais celui de la Hongrie. Si son Premier ministre s'y est montré favorable, il n'a pour l'instant pas ratifié l'adhésion de Stockholm dénonçant la politique de « dénigrement » menée à l'égard du gouvernement hongrois. La situation pourrait toutefois se débloquer lundi. 

Derniers échanges avant la décision finale. Vendredi, le Premier ministre suédois, Ulf Kristersson, se rend à Budapest en Hongrie. Il y rencontrera Viktor Orban. Un déplacement à l'initiative de ce dernier qui a demandé à son homologue de lui rendre visite pour discuter de l'entrée de la Suède à l'Otan, a annoncé ce mardi, le gouvernement suédois précisant que « la défense et la coopération en matière de sécurité » seront au menu des discussions.

La Suède avait annoncé sa candidature à l'Organisation du traité de l'Atlantique Nord en mai 2022, dans la foulée de l'invasion russe de l'Ukraine, en même temps que la Finlande, devenue en avril 2023 le 31e membre de l'organisation. Les deux pays voisins ont ainsi rompu avec des décennies de neutralité post-Seconde Guerre mondiale, puis de non-alignement militaire depuis la fin de la Guerre froide." La suite sur latribune.fr

Adhésion de la Suède à l'Otan: le vote au Parlement hongrois est prévu lundi

"La Hongrie, dernier pays de l'Otan à ne pas avoir ratifié l'adhésion de la Suède dans l'Otan, s'apprête à procéder au «vote final» qu’elle «compte soutenir», a déclaré le président du Fidesz.

La Hongrie, dernier pays de l'Otan à ne pas avoir ratifié l'adhésion de la Suède dans l'Otan, s'apprête à procéder au vote lundi, selon une requête formulée mardi par le parti au pouvoir. «Je demande au président du Parlement d'inscrire à l'agenda de la session du 26 février le vote final sur le protocole d'adhésion de la Suède au traité de l'Alliance atlantique, que nous comptons soutenir», a déclaré sur Facebook le président du groupe parlementaire du Fidesz, Mate Kocsis." La suite sur lefigaro.fr

Hongrie. Orban remobilise son camp, fragilisé par un scandale de pédocriminalité

"Le 17 février, le dirigeant hongrois a brossé “l’état de la nation”, alors que la grâce d’un homme impliqué dans une affaire pédocriminelle provoque une crise politique inédite. Entre discours mobilisateur et peur du pouvoir, l’allocution divise les médias magyars.

Samedi 17 février, une semaine après le retrait de deux cadres féminines du pouvoir magyar provoqué par un scandale de pédocriminalité (la présidente Katalin Novak et l’ex-ministre de la Justice Judit Varga, tête de liste du parti majoritaire Fidesz aux élections européennes), le Premier ministre, Viktor Orban, prononçait son discours très attendu sur l’état de la nation au Bazar du Château, à Budapest, barricadé pour l’occasion. La veille, plusieurs dizaines de milliers de personnes manifestaient “pour les enfants et les victimes” sur la place des Héros." La suite sur courrierinternational.com

mardi 20 février 2024

Prochaine rencontre des Mardis hongrois de Paris le 27 février 2024 à partir de 20 h au Café Le Zimmer

 

Prochaine rencontre

le mardi 27 février 2024
à partir de 20 h
au café Le Zimmer
1, place du Châtelet 75001 Paris
Métro : Châtelet
 
 
A legközelebbi összejövetel
2024 február 27.-én este 8-kor kezdődik
a Le Zimmer kávéházban
1, place du Châtelet 75001 Paris
Métro : Châtelet
 





Tous les pays de l'UE, à l'exception de la Hongrie, appellent à un cessez-le-feu à Gaza

"Tous les pays de l'Union européenne, à l'exception de la Hongrie, ont appelé conjointement à un éventuel cessez-le-feu à Gaza et ont exhorté Israël à ne pas lancer l'assaut prévu sur la ville de Rafah.

Budapest a refusé de soutenir l'appel voulu par le reste des Etats membres de l'UE, malgré la pression exercée par d'autres capitales.

La Hongrie a par la même occasion pait échouer les projets de l'UE visant à imposer collectivement des sanctions aux colons israéliens violents, proposés pour la première fois en décembre à la suite d'une nouvelle série d'attaques contre des Palestiniens en Cisjordanie." La suite sur euronews.com

Hongrie : le pays de l'eau

"En s'approchant à peine, on peut percevoir la chaleur des eaux du lac naturel. En plein hiver, la vapeur qui s'en dégage lui donne un caractère presque envoûtant, mystérieux. Il fait 0 °C à l'extérieur, 25 °C dans l'eau. S'y baigner est une expérience très agréable. À l'ouest de Budapest, Hévíz est le plus grand lac thermal du monde. Son eau n'est pas seulement chaude, elle a des effets curatifs." La suite sur tv-programme.com

Veolia acquiert une centrale électrique en Hongrie

"(AOF) - Veolia via sa filiale hongroise a signé un accord avec Uniper pour l’acquisition d’une centrale électrique d’une capacité installée d’environ 430 mégawatts. Située à Gönyű, dans le nord-ouest de la Hongrie, la centrale électrique à cycle combiné gaz est "la plus moderne et la plus performante du pays", selon le groupe. Elle joue un rôle déterminant pour la régulation et l’équilibrage du réseau électrique hongrois grâce à des technologies de pointe qui rendent flexibles ses capacités de production." La suite sur optionfinance.fr

10 activités incontournables à faire en toutes saisons à Budapest

"Forte d'un riche héritage culturel et architectural, la capitale hongroise sait aussi se montrer innovante. Voici nos propositions pour découvrir une ville qui ne cesse de se réinventer.

Varsovie qualifie d'"inacceptable" la position de la Hongrie

"Le Premier ministre polonais Donald Tusk a critiqué lundi la Hongrie pour son blocage de la ratification de l'adhésion de la Suède à l'OTAN, qualifiant ce retard d'"inacceptable", Budapest étant le dernier pays de l'Alliance atlantique à devoir ratifier.

"Il est inacceptable, et pas seulement de mon point de vue, qu'un pays puisse bloquer l'autre, surtout dans le contexte de la guerre avec la Russie en Ukraine", a déclaré M. Tusk lors d'une conférence de presse commune avec son homologue suédois Ulf Kristersson à Varsovie. 

Budapest, qui a accordé son soutien de principe mais traîne des pieds depuis des mois, appelle Stockholm à cesser sa politique de "dénigrement" à l'égard du gouvernement hongrois, accusé de dérive autoritaire." La suite sur lorientlejour.com

lundi 19 février 2024

La Hongrie est prête à approfondir son amitié avec la Chine (Viktor Orban)

"La Hongrie est prête à approfondir son amitié avec la Chine, a déclaré vendredi 16 février le Premier ministre hongrois Viktor Orban lors de sa rencontre avec Wang Xiaohong, conseiller d'État et ministre de la Sécurité publique chinois.

Lors de leur rencontre, M. Orban a rappelé que la Hongrie et la Chine se sont toujours respectées, traitées sur un pied d'égalité et soutenues mutuellement en ce qui concerne leurs intérêts fondamentaux et leurs préoccupations majeures.

Dans la nouvelle situation, a-t-il ajouté, la Hongrie est disposée à approfondir son amitié traditionnelle avec la Chine, à renforcer la coopération pratique et à renforcer davantage le partenariat stratégique global entre les deux pays.

De son côté, M. Wang a souligné que la Chine et la Hongrie jouissent d'une amitié traditionnelle et sont de bons amis et de bons partenaires capables de résister aux épreuves." La suite sur lecourrier.vn

Hongrie : le gouvernement décline l'offre d'une rencontre de sénateurs américains

"Une délégation bipartisane de sénateurs américains a effectué une visite officielle dans la capitale hongroise dimanche et a appelé le gouvernement nationaliste à approuver immédiatement la demande d'adhésion de la Suède à l'OTAN. Le gouvernement hongrois n'a pas donné suite à cette visite.

La Hongrie est le seul des 31 membres actuels de l'OTAN à ne pas avoir ratifié la candidature de la Suède. Le gouvernement hongrois face à une pression croissante a retardé la demande pendant plus de 18 mois, car l'admission d'un nouveau pays au sein de l'alliance militaire requiert une approbation unanime.

Les sénateurs en visite ont annoncé qu'ils soumettraient au Congrès une résolution commune condamnant les prétendus recul démocratique en Hongrie et exhortant le gouvernement du Premier ministre Viktor Orbán à lever son blocage sur l'intégration transatlantique de la Suède." La suite sur euronews.com

Viktor Orban déclare «vraiment vouloir» la réélection de Donald Trump

"À neuf mois des élections américaines, le premier ministre hongrois a apporté son soutien à l’ancien président américain.

Ces deux-là ne se lâchent plus. En janvier 2022, Donald Trump appelait à réélire Viktor Orban, «grand leader respecté de tous», à la tête de la Hongrie. Ce samedi 17 février, Viktor Orban, lui a rendu la pareille en déclarant «vraiment vouloir» que «le président Donald Trump» (qui n’est plus président) revienne à la Maison-Blanche lors des élections américaines de novembre «et instaure la paix ici en Europe de l’est»." La suite sur lefigaro.fr