“La Hongrie est devenue un pôle majeur de l’industrie mondiale du film, et le cinéma magyar indépendant bénéficie aussi de cette réussite”, salue un article du magazine Heti Vilaggazdasag (HVG). Prisée du septième art, Budapest a servi de décor à des “scènes emblématiques”, comme “Eddie Murphy et Owen Wilson suspendus au-dessus du tunnel du château de Buda” (dans Espion et demi, 2002) ou Bruce Willis tirant des coups de feu dans le centre de Pest” (dans Die Hard. Belle journée pour mourir, 2013).

Budapest “a pu chiper à Prague le titre de bastion de la production de films américains et ouest-européens grâce à une loi de 2004 qui a offert 20 % de déduction d’impôt” aux tournages en Hongrie, indique HVG. La ristourne est passée à “25 % en 2014” et “atteint aujourd’hui 30 %”.

L’État “trouve quand même son compte”, car “des milliers de personnes vivent de cette industrie, et les staffs étrangers consomment” sur place, ce qui “amortit largement les cadeaux fiscaux” La suite sur courrierinternational.com