Entre fermetures, licenciements et rationalisations, les médias gravitant dans la sphère du gouvernement de Viktor Orban traversent une période particulièrement compliquée, tant en Hongrie que dans les pays voisins, dont d’importantes parties appartenaient à la Hongrie jusqu’au traité de Trianon (1920). Une tendance palpable depuis la réélection triomphale du dirigeant magyar en avril dernier, relate une enquête du média anglophone Balkan Insight.

Les éditions imprimées du quotidien conservateur Magyar Hírlap et de l’hebdomadaire économique Figyelő “ont été arrêtées en juillet”. Les rédactions des quotidiens régionaux DélMagyar (comitat de Csongrad-Csanád, sud) et Zalai Hírlap (comitat de Zala, ouest) “ont été réduites au minimum”. La chaîne PestiTV, destinée aux jeunes générations, “n’émet plus depuis l’été dernier”. Même le quotidien sportif Nemzeti Sport, lecture favorite de Vik..." La suite sur courrierinternational.com (article payant)