"Ankara et Budapest continuent de retarder l’entrée de la Suède et de la Finlande dans l’Otan, huit mois après leur demande d’adhésion. Avec la guerre aux frontières de l’Alliance, le temps presse et les esprits s’échauffent.
Tout sourire, Jens Stoltenberg pouvait difficilement paraître plus optimiste qu’en juillet dernier. A l’époque, le Secrétaire général de l’Otan se vantait de la renaissance de l’Alliance atlantique face à la menace russe, après des années de "mort cérébrale". Mieux, la Suède et la Finlande, deux grandes puissances militaires européennes, mettaient fin à des décennies de "neutralité" et demandaient à rejoindre l’Alliance. "Nous assistons au processus d’adhésion le plus rapide de l’histoire de l’Otan", triomphait alors Stoltenberg.
Le délicat dossier suédoisSept
mois plus tard, l’Otan déchante. Si vingt-huit pays de l’Alliance ont
ratifié l’adhésion de la Suède et de la Finlande, deux autres manquent à
l’appel : la Turquie et la Hongrie. Le président turc, Recep Tayyip
Erdogan, avait prévenu d’emblée qu’il demanderait de fortes concessions aux Scandinaves pour les laisser rejoindre l’Otan. Les négociations avec la Turquie,..." La suite sur lexpress.fr (article payant)
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