samedi 30 septembre 2023

La musique hongroise est mise à l’honneur cet automne. Découvrez et célébrez les célèbres compositeurs en Hongrie.

"La Journée internationale de la musique a lieu le 1er octobre. À cette occasion, pourquoi ne pas s’offrir un city break en Hongrie pour marcher sur les traces des grands musiciens hongrois et découvrir les trésors artistiques et historiques du pays ?

Des plus célèbres compositeurs comme Liszt, Bartók, Haydn et Kodály aux festivals de renommée internationale, en passant par une scène musicale contemporaine florissante, la Hongrie est profondément enracinée dans le monde de la musique." La suite sur infotravel.fr

Le meurtrier de Clément Bouly, étudiant lillois de 25 ans tué à Budapest, condamné à la peine minimale

"Le tribunal de Budapest a condamné à cinq ans de prison l'homme qui avait poignardé sans raison le jeune natif du Calaisis, venu fêter ses 26 ans avec son amoureuse dans la capitale hongroise. Une courte peine qui indigne la famille. Le parquet a fait appel.

"C'est une peine extrêmement légère." Voici la réaction de Me Jano, avocat de Clément Bouly, au lendemain du procès du meurtrier présumé du jeune Calaisien de 25 ans, poignardé à mort par un inconnu dans une rue de Budapest, samedi 8 février 2020.

Trois ans et demi après les faits, et aux termes de trois audiences, la justice hongroise a condamné l'auteur des coups de couteau à cinq ans de prison ferme, jeudi 28 septembre 2023. Soit la peine minimale pour ce genre d'affaire, de meurtre sans circonstance aggravante. La peine maximale étant de 15 ans." La suite sur francetyinfo.fr

Des opportunités d’emploi en Hongrie pour des travailleurs vietnamiens

"Le Vietnam est en train de négocier avec la Hongrie pour signer un mémorandum d'accord sur l'envoi et l'accueil de travailleurs vietnamiens dans ce pays.

La Hongrie apparaît comme un marché potentiel pour l’exportation de main-d’œuvre vietnamienne. Selon le Département de la gestion des travailleurs à l'étranger (ministère du Travail, des Invalides de guerre et des Affaires sociales), le Vietnam a commencé à envoyer des travailleurs en Hongrie depuis 2018, leur nombre total à ce jour atteignant plus de 2.700 personnes. Le nombre de travailleurs vietnamiens sur ce marché a augmenté progressivement d’une année sur l’autre : 465 personnes en 2021, 775 personnes en 2022 et 1.148 personnes au cours des neuf premiers mois de 2023." La suite sur lecourrier.vn

Société. Déclin de la religion en Hongrie : “l’échec de la chrétienté politique” de Viktor Orban ?

"Le nombre de croyants déclarés, notamment catholiques, dégringole en dépit du large soutien du pouvoir national-conservateur aux Églises et à l’instruction religieuse. Si certains plaident pour une remise en question du lien entre politique et religion, la presse progouvernementale martèle que la Hongrie demeure un pays de culture et de tradition chrétiennes.

Selon le dernier recensement national effectué en Hongrie, le pays compte 2,9 millions de catholiques romains et grecs déclarés, soit “un million de moins qu’au précédent pointage de 2011” et “deux fois moins que lors du recensement de 2001”, rapporte le média en ligne Telex. L’érosion touche également les protestants et les évangélistes, respectivement “944 000 aujourd’hui contre 1,6 million en 2011” et “176 000 au lieu de 300 000”.

Entre “les 3,85 millions de Hongrois qui n’ont pas spécifié de religion” et “les 1,55 million de non-croyants”, l’ensemble des croyants déclarés “passe pour la première fois sous le seuil des 50 % de la population” de 9,6 millions d’habitants, relève le magazine Hetek. Ces chiffres symbolisent “l’échec de la chrétienté politique” du gouvernement conservateut..." La suite sur courrierinternational.com

Selon le recensement 2022, les Hongrois se détournent en masse de la religion

"Selon les données du recensement 2022, les catholiques et les réformés ont diminué de presque moitié en Hongrie au cours des vingt dernières années . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)

Guerre en Ukraine : le Premier ministre hongrois Viktor Orban met en garde l'UE contre l'intégration d'un pays en guerre

"Bien que membre de l'Otan, la Hongrie entretient des relations tendues avec Kiev et maintient des liens avec le Kremlin.

Le Premier ministre hongrois Viktor Orban, réticent à accueillir l'Ukraine au sein de l'Union européenne, a mis en garde Bruxelles contre l'ouverture de discussions d'adhésion vendredi 29 septembre. "Est-il approprié de démarrer des négociations avec un pays en guerre ?" interroge-t-il. La Hongrie entretient des relations tendues avec Kiev : bien que membre de l'Otan, elle refuse de fournir toute contribution militaire et maintient des liens avec le Kremlin." La suite sur francetvinfo.fr

vendredi 29 septembre 2023

La Hongrie s’implique dans le développement du char allemand KF-51 « Panther », proposé par Rheinmetall

"Les ministres français et allemands, à savoir Sébastien Lecornu et Boris Pistorius, ont peut-être remis de l’ordre dans le programme MGCS [Main Ground Combat Main System – Système principal de combat terrestre] après la signature d’une fiche commune d’expression des besoins [High Level Common Operational Requirements Document – HLCORD], à Évreux, le 21 septembre.

Mais il n’en reste pas moins que, avec le KF-51 « Panther » et le Leopard 2AX, les industriels d’outre-Rhin se sont mis en ordre de marche pour développer un potentiel concurrent du char devant être issu du MGCS.

« Il n’y a pas de projet de char concurrent [au MGCS]. C’est, en mauvais français, une ‘fake news' », a cependant affirmé M. Lecornu, lors d’une récente audition à l’Assemblée nationale, en évoquant l’appel d’offres FMBT [Future Main Battle Tank] lancé par la Commission européennne et auquel les groupes allemands [Krauss-Maffei Wegmann/ KNDS et Rheinmetall] ont l’intention de répondre, en s’associant avec des industriels italiens, espagnoles et suédois." La suite sur opex360.com

La Chine et l'UE sont des partenaires et non des rivaux, selon le chef de la diplomatie chinoise

"La Chine et l'Union européenne (UE) sont des partenaires et non des rivaux, a déclaré mercredi le ministre chinois des Affaires étrangères Wang Yi.

Le développement de l'industrie manufacturière doit repose sur une concurrence loyale et non sur le protectionnisme, a-t-il affirmé lors d'un entretien téléphonique avec le ministre hongrois des Affaires étrangères Peter Szijjarto.

M. Wang, qui est également membre du Bureau politique du Comité central du Parti communiste chinois, a déclaré qu'il espérait que la partie hongroise continuerait à inciter l'UE à adopter une politique de coopération plus positive et plus ouverte envers la Chine, à travailler de concert avec la Chine pour pratiquer un véritable multilatéralisme, à sauvegarder le système international avec l'ONU en son centre et à promouvoir le développement sain et régulier des relations Chine-UE." La suite sur peopledaily.com

jeudi 28 septembre 2023

Phalsbourg - Itinera vous emmène dans le folklore hongrois au Cotylédon

"Itinera est un duo de musiciens hongrois. Anett et Adam, respectivement chanteuse et violoncelliste, arrivent de Budapest pour trois concerts en France. L’un d’entre eux aura lieu à l’espace culturel associatif le Cotylédon à Phalsbourg ce samedi 30 septembre.

Le duo arrive tout droit de Budapest pour trois concerts en France. L’un d’entre eux aura lieu à l’espace culturel associatif le Cotylédon à Phalsbourg ce samedi 30 septembre." La suite sur republicain-lorrain.fr (article payant)

Hongrie : Entre dirigeants d’extrême droite, Marine Le Pen et Viktor Orban affichent leur unité

"Nationalisme Avec les élections européennes en ligne de mire, les responsables politiques européens d’extrême droite entendent « donner une réponse forte à Bruxelles »

La cheffe de file de l’extrême droite française Marine Le Pen a été reçue ce mercredi à Budapest par le Premier ministre nationaliste hongrois Viktor Orban, affichant leur unité à neuf mois des élections européennes.

Les deux responsables, apparus tout sourire devant les drapeaux de leur pays, « ont fait un point sur la situation de la droite qui monte en puissance en Europe, en particulier dans l’optique du scrutin du Parlement européen » en juin 2024, a écrit sur X le porte-parole du gouvernement Zoltan Kovacs. Ils ont appelé à « donner ensemble une réponse forte aux ambitions impérialistes de Bruxelles, à ses politiques économiques peu judicieuses et à ses initiatives pro migrants »." La suite sur 20minutes.fr

mardi 26 septembre 2023

Transports. Entre Belgrade et Budapest, un “gigaprojet” ferroviaire qui déraille

"En 2020, Budapest et Pékin s’accordaient sur la construction de la section hongroise du chemin de fer express Budapest-Belgrade, financée à 85 % par un crédit chinois. Aujourd’hui, les travaux patinent et risquent de coûter bien plus cher que les 750 milliards de forints (1,9 milliard d’euros) du contrat initial, rapporte le site “Telex”.

La décision avait été prise en 2014 par le gouvernement de Viktor Orbán, discutée avec les gouvernements chinois et serbe en 2015, puis entérinée dans un contrat avec Pékin en 2020.

La Chine et la Hongrie s’étaient entendues sur la section hongroise d’une ligne ferroviaire express reliant Budapest à Belgrade, qui accélérerait dès 2025 le transit voyageurs et celui des marchandises du port grec du Pirée, sous pavillon chinois, vers le cœur du Vieux Continent.

Aujourd’hui, le “gigaprojet” sino-magyar patine, et sa réalisation “pourrait coûter des dizaines de milliards [de forints] supplémentaires” par rapport aux 750 milliards de forints (1,9 milliard d’euros) du deal conclu trois ans plus tôt, déplore un article du portail Telex.

Problème de normes...
La suite sur courrierinternational.com (article payant)

La Hongrie s'oppose à l'importation de céréales ukrainiennes en Europe

"Budapest affirme que l'Union européenne a "trompé" son pays sur les importations de céréales ukrainiennes. Elle estime que ces produits créent une concurrence déloyale pour les agriculteurs hongrois.

Les tensions grandissent entre l'Ukraine et la Hongrie. Le Premier ministre Viktor Orbán a affirmé que l'Union européenne a "trompé" son pays sur les importations de céréales ukrainiennes. Il réagissait ainsi au dépôt de plainte de Kyiv auprès de l'Organisation mondiale du commerce contre 3 pays d'Europe centrale pour avoir interdit les importations de produits agricoles ukrainiens." La suite sur euronews.com

Le Premier ministre hongrois critique l'Ukraine et déclare qu'il n'y a pas d'urgence à ratifier la candidature de la Suède à l'OTAN

"La Hongrie ne soutiendra l'Ukraine sur aucune question internationale tant que les droits linguistiques des Hongrois de souche n'auront pas été rétablis, a déclaré le premier ministre hongrois Viktor Orban au parlement lundi.

M. Orban a également déclaré que la Hongrie n'était pas pressée de ratifier l'adhésion de la Suède à l'OTAN, signalant ainsi un nouveau retard dans un processus qui est bloqué au parlement depuis l'année dernière. La demande d'adhésion de la Suède est suspendue à l'approbation de la Hongrie et de la Turquie." La suite sur zonebourse.com

20ème anniversaire des Mardis hongrois de Paris le 26 septembre 2023 au café Le Zimmer

 

Les Mardis hongrois de Paris fêteront leur 20ème année d'existence
le mardi 26 septembre 2023 à partir de 19 h
au café Le Zimmer
1, place du Châtelet 75001 Paris
Métro : Châtelet
 
Inscription recommandée sur
l'événement Facebook  

Kedves Mardis hongrois-látogatók,
A Magyar keddek huszadik évfordulója
szeptember 26. este 7-kor kezdődik
a Zimmer kávéházban
1 place du Châtelet 75001 Paris
Châtelet metro állomás

Legyenek szivesek feliratkozni a
Facebook eseményre


lundi 25 septembre 2023

Masterwork Emese Cuhorka, Csaba Molnár - mercredi 27 sept. | 19h La Briqueterie Vitry sur Seine


45 min 

tarif plein : 14 € l réduit1 : 10 € l réduit2 : 8 € | groupes : 8 € l -12 ans : gratuit 

La briqueterie 17, rue Robert Degert 94407 - Vitry-sur-Seine cedex

Masterwork opère comme la transmission de cartes postales figées émanant de l’inconscient collectif et se propose de restituer des états pétrifiés de l’humanité dans une transe rythmique et tamisée.

Cette pièce analgésique dansée s’inspire de l’histoire de l’école du Bauhaus pour explorer la course du temps. Le duo hongrois formé depuis 2010 par les danseurs et chorégraphes Emese Cuhorka et Csaba Molnár nous invite à examiner l’objectivation des corps. Les accessoires scéniques se font costumes, empêchent les danseurs dans leurs mouvements, freinent leurs trajectoires et empèsent leurs corps de leur signification marchande. Les morphologies, en tant que chefs-d’œuvre, portent la mémoire des pratiques et sont simultanément le terrain même de la mémoire. Elles définissent l’identité autant que ses possibles. Modifier le corps est une manière de manipuler l'environnement et d'invoquer la liberté de le redéfinir.

 Source : labriqueterie.org

8 Airbnb à Budapest pour se réveiller avec une vue sur le Danube

"Faites-vous plaisir et offrez-vous une chambre dans un des plus beaux Airbnb avec vue sur le Danube à Budapest.

Sommaire

dimanche 24 septembre 2023

«Quand on a de gros ennuis, il faut fuir en avant» - András Derdák, un gagnant dans la vie, comme jeu de puzzle

Traduction d'un article paru en langue hongroise sur 24.hu
Lengyel Nagy Anna 20.08.2023, 10:01h
https://24.hu/belfold/2023/08/20/derdak-andras-portre-montpellier-franciaorszag/


Cet homme a tout connu. À l'âge de 18 ans, il était une figure incontournable du changement de régime, puis, pendant des années, le créateur et le dirigeant d'une institution perpétuellement fauchée, mais follement innovante, qui attirait les foules et est devenue un culte. Il a ensuite été l'une des âmes du Sziget Festival, puis un attaché culturel en costume à Paris. Et puis, il y a une douzaine d'années, il est devenu un Hongrois qui s'est installé en France avec sa famille. Ancien directeur, riche, puis appauvri par l'épidémie de Covid. Plus récemment, il est propriétaire d'un château dans le sud de la France, les poches vides, au chômage. Pour lui, la vie est un jeu de puzzle. Cela demande du désir, de la foi, de la confiance en soi, de la patience et surtout de la persévérance. Et puis, tôt ou tard, ce que l'on veut construire se met en place. Voici l'histoire d'András Derdák.

- Vous êtes un grand francophile, András, n'est-ce pas ?
- Oui, je le suis.
- Vous parlez français comme si vous étiez né ici.
- Imaginez, j'arrive même à le faire croire aux Français, mais seulement pour un temps.
- Vous semblez vraiment aimer vivre dans cette ville.
- Montpellier est une ville charmante, typiquement méditerranéenne. Ni trop grande, ni trop petite. Tout le centre historique date du 16e au 17e siècle et est plein de culture, de musique et d'histoire. Vous pouvez également prendre le tramway jusqu'à la mer. Pour ma part, je m'y rends à vélo. Ce n'est pas par hasard que nous avons choisi cette ville en 2010.
- Aviez-vous encore un emploi ?
- À l'époque et pendant les dix années suivantes, bien sûr. Ma femme, Anita Földes et moi dirigions notre propre entreprise ici en France. Puis le Covid est arrivé, et tout s'est effondré. Nous ne pouvions même plus payer notre loyer. C'était la faillite totale. Mais il faut avancer d'une manière ou d'une autre, il faut avoir une sorte de vision. Sinon, c'est fini. Croyez-moi, je vous dis cela après un an et demi de profonde et grise dépression.
- Vous avez donc acheté un château de campagne à 60 kilomètres d'ici. Cela semble surréaliste, compte tenu de votre statut et de votre situation financière.
- Pour être plus précis, c'est nous qui l'avons acheté. L'idée, l'inspiration et la majeure partie de la responsabilité me reviennent, mais finalement nous étions douze à réunir le prix d'achat. J'ai de
grands projets avec ce château. Quand on a de gros ennuis, il faut courir en avant, n'est-ce pas ?
- Peut-être. Mais dans un château en cours de rénovation ?
- Par exemple.

András Derdák est un homme de grande taille, aux cheveux bouclés et au physique athlétique. Il a 51 ans. Il est possible que c'était le sport qui l'a rendu si déterminé, puisqu'il a fait de l'escrime, du ski et de l'équitation en compétition dans sa jeunesse. Mais cela n'a peut-être pas d'importance. Mais le fait qu'en 1990, à l'âge de 18 ans, il soit devenu, en tant que membre enthousiaste du Fidesz, le plus jeune conseiller municipal de la capitale, puis chef de groupe parlementaire, montre qu'il s'agit d'un homme également enclin à l'action et à l'engagement public. C'est un battant, un idéaliste, prêt à faire mieux, qui a profité de la période prometteuse du changement de régime en Hongrie. Et puis Banán est arrivé. Je veux dire, la fondation du club. Quelques adolescents et jeunes de vingt ans, menés par Derdák, ont transformé un ancien bâtiment du parti communiste en une institution emblématique presque à partir de rien, qui a fini par attirer des dizaines de milliers de jeunes avec ses programmes culturels de musique alternative et de nombreux autres genres, et avec ses festivals au nouvel esprit. András Derdák, alors âgé d'une vingtaine d'années, a permis à son personnel de s'épanouir grâce à une méthode de gestion démocratique unique. Les idées, issues d'un brainstorming, jugées réalisables étaient mises en œuvre par une équipe de 4 à 5 personnes. Le Banán était un grand projet créatif qui, contrairement à ce que l'on dit souvent, n'ennuyait personne. Mais, comme il le dit lui-même, c'était encore une sorte de maison pauvre, la plupart du temps sans aucune idée de comment et à partir de quoi ils allaient réaliser leur prochain événement, vivant d'appel à candidature en appel à candidature, mais la vision était si forte que l'image du puzzle, qui semblait impossible à voir au début, finissait toujours par s'assembler d'une manière ou d'une autre.
Quelques années plus tard, ils ont gagné le titre de « Meilleur club du pays ».
Année après année, le Banán Klub a monté sa propre scène de jazz au Sziget Festival, et c'était cette période du Banán qui lui a permis d'établir des contacts culturels internationaux, en particulier en France. À l'époque, il se rendait en France plusieurs fois par an.
En ce qui concerne les deux lieux de l'histoire, les choses semblent se mettre en place, mais on se doute qu'il y aura encore des rebondissements inattendus.
C'est l'après-midi, Anita, la femme d'András, et leur fille de cinq ans arrivent à la maison avec des sacs. Eszter est déjà née ici, à Montpellier, et elle babille en alternant le français et le hongrois. Elle court immédiatement vers son père et se blottit dans ses bras comme un chaton. Puis une jeune Espagnole apparaît dans le salon, avec qui ils échangent quelques phrases en français. Il s'agit en fait d'une résidente temporaire, arrivée en ville pour quelques semaines pour apprendre le français.
- Nous avons conclu un contrat avec une école de langues, explique András, et un de leurs étudiants étrangers vit et mange chez nous. Le concept de l'école est de mettre ses étudiants dans un environnement familial. Nous avons deux chambres, dont l'une leur est réservée, et nous, nous nous serrons un peu. Si vous n'avez pas de revenus réguliers, vous devez trouver quelque chose. Les étudiants sont gentils et apportent un peu de couleur à la maison, et l'argent que nous recevons de l'école de langues nous facilite un peu la vie. Par exemple, il nous aide à payer notre loyer, car c'est beaucoup d'argent. Il y avait des étudiants de toutes les nationalités et de tous les âges qui ont vécu avec nous. Anita demande à chacun d'apprendre à Eszter quelques mots dans sa propre langue.
- Ce n'est pas la première fois que vous laissez entendre que vous êtes au chômage depuis un certain temps et que vous devez serrer la ceinture. Vous avez également mentionné que votre entreprise
française avait fait faillite. Quel était le profil de cette entreprise ? Et qu'est-ce qui s'est passé ?
- Tout a commencé lorsque j'ai été nommé directeur de l'Institut hongrois de Paris en 2005. Je suis devenu attaché culturel. C'était un tout nouvel environnement pour moi, le rôle de diplomate, mais il ne m'était pas étranger : c'était essentiellement la même chose que j'avais fait toute ma vie, et que je préfère définir comme organisation ou promotion culturelle. Mais cette fois-ci à un autre niveau, dans un autre habit. Au lieu des jeans, c'était un costume.

Là, il faut faire un petit détour pour mieux comprendre le contexte. Derdák faisait probablement la même chose que ses prédécesseurs pendant son mandat, mais dans un style complètement différent. Il agissait comme une sorte d'agence, de producteur sur le marché français, considérant la culture hongroise comme une sorte de marque qu'il devait promouvoir. Il a fait venir de nouveaux talents hongrois dans des festivals français très populaires, a atteint 800 artistes avec le concours de la Fête de la musique, a lancé un site de littérature hongroise en langue française sur l'internet avec ses collègues, et a initié la création d'une section hongroise au sein du lycée international. Il a ouvert la terrasse de toit de l'Institut hongrois, auparavant fermé au public, et a lancé le cinéma silencieux.
Parmi les étudiants hongrois faisant leurs études en France et les jeunes Français se répandait de bouche à oreille la nouvelle d'un programme romantique pour les soirées d'été, un cinéma en plein air sur les toits de Paris, où le public peut regarder de grands films hongrois avec des écouteurs en buvant du vin à petites gorgées, sans déranger les voisins. Les célébrations nationales hongroises étaient parfois organisées à la Sorbonne, dans l'immense église de Saint-Sulpice ou à l'hôtel de ville de Paris. Avec ses collègues, il a invité des chanteurs de jazz hongrois à chanter devant les tableaux hongrois du Louvre, organisé une exposition de photos sur la révolution de 1956 dans des parcs publics, construit un rideau de fer de 20 mètres avec une exposition dans les jardins du Sénat ouverts au public pour marquer l'anniversaire de la chute du communisme, et organisé un défilé de Trabant sur les Champs-Élysées.
Il est possible qu'il soit né pour toujours trouver un espace et pour le remplir du contenu qui serait un aimant pour attirer les gens.

Mais revenons à l'essentiel : l'entreprise d'András qui a fait faillite.

 - Nous avons vécu à Paris pendant cinq ans, mon mandat a expiré en 2010. Après la victoire du Fidesz, j'étais sûr que je n'aurais pas beaucoup de chances de trouver un emploi convenable en Hongrie. J'ai quitté le parti en 1993, à l'âge de 21 ans. À la même époque, Gábor Fodor, István Hegedűs, Klára Ungár et beaucoup d'autres ont également rompu avec eux. Nous avions déjà constaté à l'époque que l'élite du Fidesz glissait vers un leadership autocratique, en contradiction avec tous les principes démocratiques que nous avions imaginés ensemble quelques années plus tôt.
C'était une grande cassure pour nous, nous avons donc changé de voie, ce qui nous a mis sur leur liste noire en tant que « traîtres ». Et nous y sommes toujours.
Donc en 2010, pour des raisons essentiellement pratiques et existentielles, ma femme et moi, nous avons décidé de rester, même si nous savions déjà à l'époque que nous ne voulions pas vivre à Paris,
mais plutôt dans le Sud, à un endroit plus petit et moins cher. Au même moment, une invitation est arrivée. C'était comme si mon ancien monde m'appelait à nouveau : organiser des festivaliers français pour le Sziget Festival et Balaton Sound. Il s'agissait d'un terrain vierge, d'une affaire bien complexe, alors dès le début, nous avons créé une société avec six employés, et Anita - qui est une spécialiste de communication - s'est également impliquée activement. Nous avons proposé un package complet : publicité, organisation de voyages, hébergement, billets, programmes, nous avons délégué des journalistes français, créé des partenariats et nous étions également responsables du marketing. Cela a duré onze ans et, ces dernières années, nous avons amené 80 000 jeunes Français au Sziget Festival. Comme ce type de travail n'est pas entièrement local, nous étions une sorte de famille dioïque, faisant des allers-retours entre Budapest et Montpellier. Une moitié de l'année ici, l'autre moitié de l'année là. Puis le Covid a frappé et l'un des plus grands festivals d'été d'Europe a fermé ses portes pendant deux ans. Nous ne pouvions plus attendre, nous avons dû fermer la boite et licencier le personnel. C'était fini. Et notre existence aussi. Comme si elle avait été coupée.

Bien que, grâce à l'État français, tous les employés des entreprises touchées par le Covid, y compris l'épouse d'András, aient reçu pendant longtemps les 80 % de leur salaire, cette mesure ne s'appliquait qu'aux employés, et non aux directeurs généraux. L'allocation de chômage d'Anita constituait donc le revenu régulier de la famille. En outre, ils recevaient quelques milliers d'euros de l'État pour entretenir les infrastructures, dans l'espoir que l'entreprise soit un jour relancée. Mais ce n'a pas été le cas.

Pendant un an et demi, il n'y a eu aucun espoir, aucune raison de se lever ou à quoi penser.

C'est alors que l'idée du château a surgi. Ou du moins celle d'une immense maison de campagne qui serait un logement à sa famille, ainsi qu'un lieu de travail et un espace communautaire. Et elle pourrait également assurer leur subsistance. Disons qu'une des ailes pourrait être transformée en une maison d'hôtes de 5 à 6 chambres pour les clients payants. Cette combinaison a été et est encore à l'étude dans sa tête.
La région des Cévennes est formidable, sauvage, tout autant que la Provence limitrophe, mais beaucoup moins branchée. On y trouve de vieux manoirs et châteaux à vendre. Les prix commencent à 500 ou 600 mille euros et montent jusqu'au ciel.

Mais de quoi ?

András Derdák semble être revenu à la vie. Après tout, il était sur le point de partir dans la direction où il avait toujours été chez lui. Et c’est alors que le plus grand casse-tête de sa vie a commencé.
Il a commencé par contacter des amis et des connaissances dont il savait qu'ils avaient de l'argent.
Curieusement, ils ne se sont pas montrés intéressés et n'ont pas vraiment compris ce qu'il voulait. Il a également envisagé de gérer le lieu comme une commune moderne, de sorte que les investisseurs y
vivent en permanence. Cela n'a pas marché non plus. Entre-temps, il parcourait imperturbablement la campagne à la recherche de biens immobiliers d'au moins 500 à 600 mètres carrés. Un an s'est écoulé jusqu'à ce qu'il ait finalement senti l'avoir trouvé. Il s'agit d'un vieux manoir de 400 ans, avec des murs d'un mètre d'épaisseur, des colonnes, un escalier décoratif et le fleuve Hérault qui chemine juste à côté de son parc. La propriétaire était une Française qui avait acheté la maison avec son mari déjà décédé. Il était en vente depuis longtemps, et a été considéré par de nombreux intéressés. C'est la plus grande et la plus belle bâtisse du village de 1500 habitants. La dame a changé d'avis plusieurs fois, a dit que finalement elle ne le vendrait pas, et entre-temps deux agents immobiliers ont été consommés. Mais l'acheteur et le vendeur ont fini par réussir à trouver un compromis, et dans les semaines qui ont suivi, András a pu prendre les clés.

Pour cela, il fallait bien sûr que le soutien financier soit en place. Entre-temps, András a convaincu de nombreuses personnes, jusqu'à ce qu'un groupe de 12 familles et entreprises se soit officiellement
constitué en société anonyme. Il ne s'agit pas nécessairement de personnes fortunées, chacune a des motivations et des moyens financiers différents, mais toutes convaincues que l'idée d'András
fonctionnera et qu'avec le temps, leur investissement sera rentabilisé. En attendant, ils peuvent y aller en vacances, y faire du télétravail ou s'en servir comme base pour visiter le sud de la France.
Enfin, une fois que ce bâtiment patiné, mais bien sûr historique aura été restauré.
- Avez-vous déjà décidé ce que vous feriez dans cette maison, quelle vie lui donneriez- vous ?
- Cela moutonne encore dans ma tête. Tout d'abord, je visiterai souvent le site : l'espace physique est important pour réaliser les rêves, et la disposition des pièces et des couloirs vous dira, tôt ou tard, à quoi ils vont servir. C'est ainsi que nous avons créé le Banán Klub, à l'époque. Cela peut être n'importe quoi : un café, un festival, un atelier, une salle de conférence, un cercle de couture ou d'art, un centre touristique, un espace d'exposition, un programme pour les enfants ou même un lieu de rencontre pour le groupe d'agriculteurs locaux. La fonction de maison d'hôtes est la seule certitude : j'aimerais aménager des appartements sophistiqués et un grand dortoir commun pour les touristes moins aisés. L'écotourisme est déjà une activité importante dans la région. Les bases économiques ne doivent pas être laissées à la culture, c'est une autre valeur. J'ai construit de bonnes relations avec le maire du village et tous les autres habitants, et bien sûr, notre nouvelle a très rapidement passé dans cette petite communauté. Par exemple, lors de notre premier déjeuner dans le restaurant local, le propriétaire nous a accueillis avec l'hymne national hongrois. Ensuite, tout le monde s'est levé et a chanté quelques lignes de la Marseillaise. C'est un sentiment formidable d'être accueilli avec autant d'amour et que tout le monde est content que nous soyons là. Ou plutôt que c'est nous qui avons acheté ce bâtiment et que nous voulons en faire quelque chose qui profitera certainement au village.
- C'est un vieux bâtiment qui n'aurait pas été touché depuis une centaine d'années. Comment vous aurez de l'argent pour la rénovation ?
- Pour l'instant, il y a un sérieux trou dans le puzzle. Après avoir acheté la propriété pour un demi-million d'euros, il ne reste plus grand-chose dans le budget. Je dois préciser qu'aujourd'hui, on peut
probablement acheter une maison de taille moyenne à Szentendre pour cette somme. Ou une maison de vacances sur le lac Balaton. La modernisation coûtera à peu près la même somme. Nous avons donc encore besoin d'au moins 300 à 400 000 euros. Nous ne pouvons envisager qu'un prêt bancaire. Malheureusement, les banques françaises n'accordent plus de prêts à 1 % d'intérêt. C'était la routine jusqu'à récemment, mais nous avons juste manqué l'occasion. Certaines institutions financières ont même fermé leur service de prêt. Je frappe à la porte de la vingtième banque environ, mais je suis confiant. J'ai récemment rencontré un banquier qui est d'ici, et qui est un peu partial envers la région, alors il y a peut-être une lueur d'espoir. Je ne dois pas être impatient. Nos investisseurs ne le sont non plus ; l'important, c'est que nous avons déjà un cadre pour notre vision.
Et si ce n'est pas maintenant, je suis sûr que je trouverai la bonne pièce du puzzle dans deux semaines. D'ailleurs, je compte vraiment sur des bénévoles. Les investisseurs, leurs amis et leurs familles qui sont déjà en visite cet été, et bien sûr mes amis d'ici et d'ailleurs - y compris moi-même - prennent la brosse pour peintres, la perceuse et le marteau, car pour l'instant, la première chose est de rendre cet espace habitable.
Mais en attendant, la famille Derdák doit vivre, ou plutôt gagner sa vie. Leurs réserves ont été épuisées pendant ces deux dernières années. Ce qui reste fixe dans leur budget, c'est l'allocation de chômage d'Anita, les invités occasionnels de l'école de langues et le loyer de leur appartement loué à Budapest. Ils font leurs courses sur le marché arabe pas cher, et réfléchissent même s’il y a besoin que tous les trois rentrent à Budapest.
- J'ai déjà gagné beaucoup d'argent dans ma vie, raconte András, alors que je n'avais pas besoin de regarder les prix dans le magasin. Mais je suis convaincu que la véritable pauvreté n'est pas nécessairement liée au manque d'argent. Il s'agit plutôt d'un manque d'accès. Il s'agit d'être capable de chercher ce que tu veux trouver, d'être intelligent et logique dans ses choix, d'être capable d'apprendre et d'interpréter les informations et les règles et d'être capable de les appliquer. Par exemple, la dernière fois que nous nous sommes rendus à Budapest, où actuellement nous n'avons pas de logement, nous avons séjourné gratuitement chez une famille étrangère hongroise, au lieu d'aller à l'hôtel, ce qui aurait été inabordable pour nous. Je suis allé sur Internet et j'ai vu qu'il existait un programme d'échange de maisons. Ce n'était pas facile, mais j'ai trouvé une famille hongroise très sympathique qui a pris notre maison à Montpellier pour ces deux semaines.

András Derdák appartient à la génération qui, dans l'euphorie du changement de régime, a cru à juste titre que la Hongrie serait bientôt comme les autres pays de l'Europe occidentale. Pendant la majeure partie des 18 années passées en France, il commençait chaque journée par lire la presse hongroise. Il ne le fait plus aussi régulièrement. Lorsqu'il se rend dans son pays, il constate que les gens sont de plus en plus maussades et agressifs.

- Je pense que l'Europe de l'Est ne pourra jamais faire partie de l'Occident. Pour des raisons objectives, historico-socio-psychologiques. Je m'en suis rendu compte lorsque j'étais à Bergen, la ville hanséatique de Norvège. Nous savons ce qu'était la Ligue hanséatique. Il s'agissait d'une association commerciale internationale très puissante, influente et souveraine, principalement en Europe du Nord, pendant 500 ans.
Leur expérience montrait qu'il est possible de travailler ensemble dans différentes langues, d'embrasser d'autres cultures et qu'une poignée de main est sacrée. À l'Est, en revanche, ce n'est pas la culture de la poignée de main qui prévaut, et l'alliance n'a pas la même signification, nous avons une culture du pouvoir. C'est une culture de la flexibilité infinie, de l'adaptation constante au pouvoir actuel, indépendamment de son type.
- Ce que vous dites est déprimant. Vous avez quand même laissé quelque chose derrière vous, même si ce n'est pas pour toujours...
- Ma famille. Mes amis d'enfance les plus importants. Ce qui est impossible à reproduire à cet âge, dans un nouvel environnement. C'est aussi une question de culture. À la maison, une demi-phrase suffit, et l'autre la termine. Chez nous, il y a une mémoire collective, ici il n'y en a pas. Je n'ai pas été adolescent ici, je ne connais pas le nom des groupes de rock, je ne connais pas et ne comprends pas toujours les blagues, je n'ai pas regardé de dessins animés ici, et je dois donc m'expliquer. Même si je parle bien le français, je ne serai jamais français. Il y a donc un prix à payer pour tout cela.

Choses à faire à Budapest

"Située au nord-ouest de la Hongrie, Budapest est une ville culturellement riche avec une histoire longue et mouvementée. La capitale de la Hongrie a été le point central de nombreuses occupations et révolutions au cours de son histoire moderne et des traces de ce passé peuvent encore être observées aujourd’hui.

La ville est devenue ce qu’elle est aujourd’hui après la fusion de Buda et de Pest en 1873 et Budapest est aussi fascinante que turbulente. Les rangées de bâtiments Art Nouveau préservés et les avenues verdoyantes cachent les cicatrices laissées par les régimes nazi et communiste et Budapest est aujourd’hui une ville animée de culture, d’art et de caractère.

Les attitudes sociales évoluent lentement à Budapest et être LGBT+ devient progressivement plus facile. Ceci, associé à une vie nocturne gay florissante, fait de Budapest une excellente destination pour les voyageurs gays." La suite sur mygayprides.com

samedi 23 septembre 2023

La Hongrie reporte son soutien à l'adhésion de la Suède à l'OTAN suite à la controverse suscitée par un film

"Les partis au pouvoir en Hongrie suspendent leur soutien à l'adhésion de la Suède à l'OTAN cette année, après qu'une télévision publique suédoise a produit un film controversé sur la Hongrie.

Mate Kocsis, chef de groupe du parti Fidesz du Premier ministre Viktor Orban, a exprimé jeudi ses réserves lors d'une conférence de presse dans la ville d'Esztergom, dans le nord de la Hongrie.

Se référant au film suédois qui présente la Hongrie comme un mauvais exemple de démocratie dans l'Union européenne, M. Kocsis a souligné la nécessité de clarifier davantage le film, une production pédagogique destinée aux écoliers, avant de prendre une décision." La suite sur peopledaily.com.cn

5 villes pour explorer les influences culturelles étrangères de Hongrie

"Explorez les influences culturelles étrangères en Hongrie et plongez dans un voyage captivant à travers ses villes historiques.

Sommaire

vendredi 22 septembre 2023

Les arts du cirque envahissent les rues de Veszprém en Hongrie

"Pendant quatre jours, quatre spectacles de cirque contemporain apparaîtront dans l'espace public de la ville de Veszprém en Hongrie.

Insolite, passionnant, innovant. Pendant quatre jours, quatre spectacles de cirque contemporain apparaîtront dans l'espace public de la ville de Veszprém en Hongrie... Ici, ce sera par exemple sur les murs du château : des spectacles sont composés sur mesure pour les lieux, avec la participation du public." La suite sur euronews.com

György Vashegyi chef d'orchestre.

"Passionné de musique baroque, György Vashegyi est particulièrement engagé en faveur des relations culturelles franco-hongroises. Décès du ténor Stephen Gould. Disque de légende : Christian Ferras et Herbert von Karajan jouent Sibelius.

György Vashegyi

Vashegyi a commencé ses études musicales en tant qu'instrumentiste. Il a d'abord joué du violon, de la flûte à bec, du hautbois et du clavecin. À l'âge de 18 ans, il entreprend des études de direction avec Ervin Lukács à l'Académie de musique Franz Liszt de Budapest, obtenant son diplôme avec mention en 1993. Il approfondit ses études en dirigeant des classes de maître avec John Eliot Gardiner et Helmuth Rilling. De 1994 à 1997, il a étudié le continuo avec John Toll à Dresde. En 1990, il fonde le Purcell Choir à Budapest et l'Orfeo Orchestra. En 2015, il a reçu la Croix du Mérite de l'Ordre des Chevaliers hongrois. En 2017, il est élu président de l'Académie hongroise des arts (MMA, Magyar Művészeti Akadémia), fondée en 1992. Le 9 février 2022, c'est l’ambassadrice Pascale Andréani qui lui remet les insignes de Chevalier des Arts et des Lettres. Il a développé en 2014, une coopération étroite entre le Chœur Purcell, l’Orchestre Orfeo et le Centre de Musique Baroque de Versailles qu’il quitte cette année après 9 ans de collaboration." A écouter dur radiofrance.fr (1 h 34)

Le chef de la banque centrale hongroise et le ministre des finances se disputent au sujet de l'économie en proie à l'inflation

"La banque centrale hongroise s'est montrée prudente quant à de nouvelles baisses de taux jeudi, tandis que le gouvernement a évoqué une augmentation du déficit et une nouvelle taxe sur les banques pour compenser la baisse des recettes fiscales, alors que l'inflation la plus élevée de l'Union européenne entrave l'économie.

La suggestion d'une nouvelle taxe sur les banques hongroises, dont environ la moitié sont détenues par des étrangers, a fait chuter les actions du plus grand prêteur indépendant d'Europe centrale, OTP Bank, de 7 % à la Bourse de Budapest à 9 h 56 GMT." La suite sur zonebourse.com

Immigration en Hongrie :travailleurs "invités" contre "migrants" indésirables

"En Hongrie, le gouvernement, ouvertement hostile à l'immigration, facilite le recours à la main-d'œuvre étrangère dans les entreprises. Au sein de la population, certains dénoncent la présence de ces travailleurs dits "invités".

La journée de travail se termine dans une entreprise étrangère installée en Hongrie qui n'a pas souhaité être identifiée. Elle est de celles, de plus en plus nombreuses dans le pays, à recruter des travailleurs étrangers. Une situation qui peut sembler ironique alors que son gouvernement est résolument hostile à l'immigration.

Cette usine emploie une centaine d'ouvrières philippines. Nous sommes autorisés à parler à quelques-unes d'entre elles dans l'un des hébergements fournis par leur employeur direct, une entreprise de recrutement hongroise." La suite sur euronews.com

L'Institut démocratique chrétien, poisson-pilote de Budapest sur le continent

"Créé en 2019, l'Institut démocratique chrétien compte parmi les relais sur lequel mise le gouvernement de Viktor Orban pour exercer son influence en Afrique. En mission au Cap-Vert, le think-tank hongrois s'est efforcé d'y étoffer son réseau auprès des partis conviés à la grand-messe africaine de l'Internationale démocrate centriste. [...]" La suite sur africaintellignce.fr (article payant)

jeudi 21 septembre 2023

Hongrie: deux morts, dont un policier, dans une explosion

"Un policier a été tué mercredi 20 septembre au soir en Hongrie et plusieurs autres blessés par un forcené qui a fait exploser une bouteille de gaz avant de mourir, ont rapporté les médias. La police et les pompiers n'ont pas confirmé dans l'immédiat les circonstances de ce drame survenu dans la ville d'Esztergom, à une quarantaine de km au nord de Budapest, à la frontière avec la Slovaquie." La suite sur lefigaro.fr

L'intégration des réfugiés ukrainiens en Hongrie : le rôle essentiel de "Budapest Helps!"

"Depuis un an, le centre "Budapest Helps!" aide des milliers de réfugiés ukrainiens à accéder à l’éducation, aux soins, à l’emploi et au logement.

Depuis son inauguration il y a un an, le centre communautaire "Budapest Helps!" a joué un rôle crucial en offrant son soutien à près de 12 000 réfugiés ukrainiens.

Cette initiative conjointe entre la municipalité de Budapest, l'Organisation internationale pour les migrations et l'ONU a été mise en place pour aider les réfugiés ukrainiens à accéder à l'éducation, aux soins de santé, à l'emploi et au logement. 

Alors que la Hongrie n'a pas été directement impliquée dans l'aide militaire pour l'Ukraine, elle a ouvert ses bras aux réfugiés ukrainiens en leur offrant un soutien humanitaire essentiel. "Budapest Helps!" est devenu un point d'ancrage vital pour ceux qui ont fui leur pays d'origine pour chercher refuge en Hongrie." La suite et vidéo sur euronews.com

Vu de Budapest. Le rapport franco-allemand sur la réforme de l’UE aurait “un effet significatif sur la Hongrie”

"Le gouvernement Orban pâtirait grandement de la réforme des institutions européennes proposée dans un rapport commandé par la France et l’Allemagne et présenté le 19 septembre, estime l’hebdomadaire libéral “HVG”.

Mardi 19 septembre, à Bruxelles, douze politologues ont remis aux ministres des Affaires européennes les conclusions d’un rapport, commandé par la France et l’Allemagne, sur la réforme de l’Union européenne. Si leurs conclusions étaient adoptées par l’UE, cela “pourrait refondre son processus de décision et sa composition”, et “avoir un effet significatif sur la Hongrie”, souligne l’hebdomadaire libéral magyar HVG.

Et pour cause : le rapport “instaurerait une UE à plusieurs vitesses dans laquelle les États membres qui n’appliquent pas les valeurs fondamentales resteraient en marge”, “supprimerait le droit de veto [souvent utilisé par Budapest] sur la plupart des décisions des États membres” et “lierait encore plus strictement le versement des fonds européens au respect de l’état de droit..." La suite sur courrierinternational.com

mercredi 20 septembre 2023

Hongrie : La pénurie d’enseignants en chiffres

"Syndicat des enseignants a dévoilé, lundi 18 septembre, des chiffres attendus pour illustrer la grave pénurie de personnels enseignants dans les écoles de Hongrie . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)

Agriculture. “Guerre ouverte” : la Hongrie bloque les céréales ukrainiennes et défie l’UE

"Comme Bratislava et Varsovie, Budapest continue d’interdire certains produits agricoles ukrainiens malgré la levée des restrictions décidée par la Commission européenne. Un choix qui préserve les intérêts des exploitants magyars, clame le gouvernement Orban.

Vendredi 15 septembre, la Commission européenne levait les restrictions d’importations de céréales ukrainiennes en Hongrie, en Pologne, en Slovaquie, en Roumanie et en Bulgarie. Le 2 mai, ces cinq pays inquiets pour leurs marchés avaient obtenu le droit d’interdire les arrivées de blé, de maïs et de colza tout en continuant à permettre le transit des produits. Mi-avril, la Hongrie, la Pologne et la Slovaquie imposaient un embargo sur les produits agricoles venus d’Ukraine.

Hostile au déblocage, le Premier ministre magyar, Viktor Orban, promettait sur Facebook, puis lors de son interview hebdomadaire sur la station publique Kossuth Radio, une “réaction” si “les bureaucrates de Bruxelles refusent de prolonger le moratoire”. La riposte n’a pas traîné. Dès le 16 septembre, un décret bannissait vingt-quatre produits ukrainiens, “dont le vin, la viande de bœuf, le maïs, les graines de tournesol et l’orge, transit excepté”, note le site 444.

“Nos hangars déborderaient”

La veille, dans un entretien accordé au quotidien économique Vilaggazdasag, le ministre de l’Agriculture, Istvan Nagy, considérait que “Bruxelles n’a pas écouté l’appel au secours des agriculteurs d’Europe centrale”, puis justifiait le maintien et l’élargissement du blocage des produits ukrainiens par la “défense des exploitants magyars”. Si la Hongrie suivait la volonté europénne..." La suite sur courrierinternational.com (article payant)

8 étapes pour s’immerger dans la vie locale à Budapest

"Vous désirez plonger dans la vie locale de Budapest comme si vous y habitiez ? Nous vous proposons ces 8 étapes pour une immersion authentique.

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Budapest, la capitale hongroise, est une ville riche en culture et en traditions. Dans cet article, nous vous guidons à travers les principaux aspects de la vie quotidienne à Budapest, en mettant en lumière les habitudes et les expériences appréciées par les locaux.

De la dégustation de spécialités culinaires hongroises dans des restaurants typiques, à la visite de lieux culturels emblématiques, vous vivrez une journée passionnante comme un véritable habitant de Budapest ! Venez également découvrir des traditions folkloriques uniques, telles que les festivals traditionnels et les bains thermaux, qui font partie intégrante de la vie locale à Budapest." La suite sur generationvoyage.fr

Combustible, R&D, maintenance… Framatome signe un accord de coopération avec la Hongrie

"Le 12 septembre 2023, Framatome a signé un protocole d’accord (MoU) avec le ministère hongrois de l’Énergie pour le développement d’une relation stratégique globale dans le domaine nucléaire et notamment du combustible.

Dans communiqué de Framatome publié le 12 septembre, l’entreprise française annonce la signature d’un accord visant « à faciliter l’extension de la coopération entre Framatome et la Hongrie dans divers domaines d’intérêt du nucléaire incluant l’éducation et les compétences, la R&D, la mise en œuvre de nouvelles technologies, l’approvisionnement en combustible et les produits nucléaires associés, ainsi que le fonctionnement à long terme ». La Hongrie compte aujourd’hui une centrale nucléaire de quatre tranches d’une puissance totale de 2 GW . Elle a assuré 47 % de la production électrique du pays en 2022. Mis en service entre 1982 et 1987, le premier réacteur vient tout juste de passer la barre des 40 ans." La suite sur sfen.org

À la frontière serbo-hongroise, les exilés entre deux feux

"C’est le « game » : franchir la clôture anti-migrants que la Hongrie a érigée à la frontière serbe en 2015, puis espérer échapper à la violence des patrouilles hongroises. Environ un millier d’exilés attendent leur tour à Subotica, dans des squats ou dans la forêt, en jouant au chat et à la souris avec la police serbe. Reportage.

« J’ai déjà tenté dix fois de passer en Hongrie, ça n’a pas marché », confie Arman. « Mais je n’abandonne pas ! » Assis sur un vieux tapis poussiéreux, sous une tonnelle bricolée avec du bois et une grande bâche bleue de récupération, le jeune Afghan d’une vingtaine d’années, qui espère rejoindre le Royaume-Uni, décortique des pistaches en écoutant de la musique sur une petite enceinte portable avec deux de ses amis. C’est là qu’ils ont trouvé un refuge temporaire, entre les lignes de chemin de fer et un vieux bâtiment abandonné de la gare de Subotica, au nord de la Serbie, à la frontière avec la Hongrie. Pour le moment, en cette fin de matinée chaude et ensoleillée, Arman et ses deux compagnons de route patientent. Mais le soir venu, c’est sûr, ils tenteront une fois de plus le « game ».

Le « game », c’est-à-dire quitter la ville de Subotica, atteindre la forêt qui jouxte la frontière, puis tenter de franchir le « mur anti-migrants », formule du Premier ministre hongrois, Viktor Orbán : il s’agit d’une double barrière de plus de trois mètres de haut, dont l’une est surmontée de barbelés Concertina, longue de 175 kilomètres, dotée de caméras et de détecteurs de mouvements, et surveillée par de multiples patrouilles de la police hongroise. Quelque 800 millions d’euros ont été nécessaires pour ériger ce dispositif construit à la fin de l’été 2015, alors que des milliers d’exilés cherchaient à se réfugier en Europe, fuyant la guerre en Syrie ou la violence et la pauvreté dans leur pays." La suite sur courrierdesbalkans.fr

mardi 19 septembre 2023

Marie - Un film de Márta Mészáros - Lundi 16 octobre 2023 à 20 h Cinéma Reflet Médicis


Cinéma Reflet Médicis
3 rue Champollion 75005 Paris 01 46 33 25 97

Marie
Un film de Márta Mészáros
Edith vivait dans l'opulence à côté de son mari, proche du pouvoir, jusqu'à ce qu'elle devienne veuve ; depuis, elle doit faire face à son passé. Son fils István, qui perçoit son désir d'abandonner sa vie de luxe comme un signe d'hystérie, demande à sa fiancée Kati de la surveiller. Entre les deux femmes une curieuse relation s'installe.

Atelier de traduction avec Judith et Pierre Karinthy 29 septembre 2023 à16:00 - Inalco

Lieu: Institut national des langues et civilisations orientales (Inalco) Pôle des Langues et Civilisations, salle 3.16

65, rue des Grands Moulins, 75013 Paris
L’Institut Liszt, en coopération avec la Section hongroise de l’Inalco, continue sa série d’atelier-rencontres, dirigés par des traducteurs littéraires reconnus, à l’intention des aspirants traducteurs et des étudiants intéressés par cette activité. Comme auparavant, les séances se diviseront en deux parties : entretien avec le traducteur invité (évocation de son parcours ainsi que des problèmes concrets rencontrés lors de sa pratique personnelle) et travail en groupe sur un texte hongrois que les participants ont préalablement traduit en français (analyse de texte, identification des difficultés, comparaisons de solutions).
L’atelier est gratuit et ouvert à tous. Si vous souhaitez y participer, veuillez TÉLÉCHARGER l’extrait à traduire du roman de Ferenc Karinthy Ősbemutató (Szépirodalmi Könyvkiadó, 1972) et envoyez votre version à l’adresse g.orban@instituthongrois.fr avant le 22 septembre 2023. Par la suite, un mail vous sera adressé confirmant votre participation.

Vous pouvez assister à la séance en simple public sans envoyer de texte au préalable, mais l’enregistrement par e-mail est indispensable.
 
Source ; culture.hu

Céréales ukrainiennes: Kiev veut poursuivre Varsovie, Budapest et Bratislava

"DÉCRYPTAGE - L’Ukraine menace de saisir l’OMC car ces pays refusent les importations malgré la levée des restrictions.

Le feuilleton continue autour des céréales ukrainiennes qui bénéficiaient d’un accès au marché européen sans droit de douane depuis juin 2022. Dans ce dossier éminemment complexe, aux enjeux très lourds pour la sécurité alimentaire mondiale, c’est désormais un bras de fer dans le bras de fer qui se profile.

Plusieurs responsables ukrainiens ont fait savoir, lundi, que Kiev avait l’intention de poursuivre «dans un avenir proche» la Pologne, la Hongrie et la Slovaquie devant l’Organisation mondiale du commerce (OMC). «Il est important de prouver que ces actions sont juridiquement répréhensibles. C’est pourquoi nous entamerons une procédure judiciaire demain», confiait dimanche soir à Politico le représentant ukrainien du commerce, Taras Kachka. En cause, la décision des gouvernements de ces trois pays de passer outre la levée des restrictions d’importations de céréales ukrainiennes sur leur sol, annoncée vendredi soir par la Commission européenne." La suite sur lefigaro.fr (article payant)

Un politicien hongrois évoque un retard probable dans la candidature de la Suède à l’OTAN

"La Hongrie n’est pas sûre de devoir approuver la candidature de la Suède à l’OTAN, a déclaré dimanche soir le président du Parlement à la télévision locale, signalant ainsi de nouveaux retards dans le processus.

L’approbation de la Hongrie est bloquée au Parlement depuis juillet 2022, en raison des inquiétudes suscitées par les critiques des politiciens suédois à l’égard des normes démocratiques de la Hongrie.

« Il n’est pas sûr que nous devions approuver cette candidature », a déclaré à HirTV le président du parlement Laszlo Kover, un haut responsable du parti Fidesz au pouvoir, en faisant référence à la Suède." La suite sur laminute.info

IFUA Horváth et Grape Solutions concluent un accord important

"BUDAPEST, Hongrie, 18 sept. 2023 (GLOBE NEWSWIRE) -- Un partenariat stratégique de long terme a été mis en place entre la filiale hongroise de l'entreprise internationale de conseil indépendant IFUA Horváth & Partners Ltd. et la société hongroise de développement logiciel Grape Solutions Plc.

La transformation technologique joue un rôle de plus en plus important dans l'activité quotidienne des entreprises. Ces dernières requièrent donc de solutions qui répondent aux besoins de leurs utilisateurs finaux de manières innovantes et tournées vers l'avenir. L'informatique et les demandes des consommateurs gagnant en complexité, il devient nécessaire d'associer diverses compétences des entreprises dans différents segments.

L'importance de la coopération stratégique entre IFUA Horváth et Grape Solutions implique que ces entreprises ont consenti à explorer ensemble le potentiel de systèmes avancés d'appareils IdO intelligents pour les acteurs de l'industrie nationale et mondiale.

IFUA Horváth est une société de conseil internationalement reconnue comptant plus de 1 300 employés dans 18 pays différents, qui apporte une aide professionnelle à des clients mondiaux dans les domaines financier, commercial et informatique. Leur bureau hongrois se concentre sur le développement de la veille économique, l'IdO et la durabilité dans les secteurs du pétrole, de la vente au détail, de la banque, de l'énergie et des télécommunications." La suite sur ecranmobile.fr

VRAI OU FAUX. Giorgia Meloni et Victor Orban sont-ils les premiers à régulariser des travailleurs sans-papiers, comme le dit Agnès Pannier-Runacher ?

"La ministre de la Transition énergétique Agnès Pannier-Runacher a rappelé vendredi 16 septembre que, derrière leurs discours anti-immigration, l'Italie et la Hongrie avaient de plus en plus recours à des travailleurs étrangers pour pallier la pénurie de main d'œuvre dans certains métiers. 

Cette mi-septembre 2023, des milliers de migrants sont arrivés sur l'île de Lampedusa, en Italie, relançant les débats sur l'accueil des étrangers dans les pays européens. Jordan Bardella, le président du Rassemblement national, a appelé Emmanuel Macron à s'engager à ne pas accueillir "un seul migrant"

En réponse, la ministre de la Transition énergétique Agnès Pannier-Runacher a voulu mettre l'extrême-droite européenne face à ses contradictions et à une certaine hypocrisie qui consiste, selon elle, à tenir des discours anti-immigration tout en profitant de la main d'œuvre que représentent les immigrés. Elle prend les exemples italien et hongrois : "Vous savez que Madame Meloni est la première à parler de régularisation de sans papier. Monsieur Orban, qui est pourtant le grand défenseur, l'allié de Madame Le Pen est le premier à régulariser des sans-papiers", a-t-elle déclaré vendredi 16 septembre sur Europe 1. Vrai ou faux ?" La suite sur francetvinfo.fr

lundi 18 septembre 2023

Orbán réunit la famille traditionnelle à Budapest

"Le 5e Sommet démographique de Budapest réunit les alliés politiques de Viktor Orbán jeudi et vendredi, d’Aleksandar Vučić à Giorgia Meloni . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)

Itinéraire royal sur les traces de Sissi l’Impératrice à Budapest

"Vous désirez vous imprégner de la vie de Sissi l’Impératrice à Budapest ? Suivez cet itinéraire royal et découvrez les lieux clés de sa vie.

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