"L’Été où mon père est mort est le premier roman de l’économiste hongroise Yudit Kiss, publié aux éditions L’Antilope. À travers l’histoire d’un père disparu, l’auteure parle de l’identité juive, plus particulièrement des populations juives des pays de l’ex-bloc communiste. De la Hongrie à la France, des enfants de Budapest ont également foulé le sol de nos facultés rennaises…
Que de beauté entre Buda et Pest, et les flots bleus du Danube ! Et pourtant quelle faille, quelle faillite de l’histoire dans cette capitale, naguère, de l’empire austro-hongrois ! Et que de misères affrontées, que de tragédies sous quelque idéologie qu’on la contemple : nazis, croix fléchées, soviétiques, impérialistes… Pour son premier roman, l’économiste hongroise, désormais genevoise, mais qui considère toujours Budapest comme sa « Maison », Yudit Kiss, fait défiler l’éprouvante histoire de l’Europe centrale et de l’est, entre les deux cancers de son père, et cet été où son père est mort. Répétant comme leitmotiv cette phrase qui donne son titre au récit, au rythme de toutes les couleuvres que cet homme aura dû avaler au cours de son existence d’ardent communiste." La suite sur unidivers.fr
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