"Dans le village ukrainien de Siurte, où réside une importante minorité hongroise, les hommes se cachent. Par peur d'être entraînés dans une guerre qui n'est pas la leur, en écho au récit martelé par Viktor Orban.
A la pizzeria du centre, on préfère éviter les discussions politiques et dehors, les langues se délient seulement sous couvert d'anonymat.
«Mon mari est cloîtré à la maison» depuis deux ans: «il n'ose pas sortir, faire des courses, conduire les enfants à l'école, car il a peur d'être enrôlé dans l'armée», confie à l'AFP une jeune habitante.
Elle
appelle à un cessez-le-feu dès que possible, reprenant à son compte le
discours du Premier ministre nationaliste hongrois, persuadé que
l'Ukraine ne pourra vaincre la Russie et qu'il faut des pourparlers de
paix au plus vite." La suite sur bluewin.ch
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