"Le 17 février, le dirigeant hongrois a brossé “l’état de la nation”, alors que la grâce d’un homme impliqué dans une affaire pédocriminelle provoque une crise politique inédite. Entre discours mobilisateur et peur du pouvoir, l’allocution divise les médias magyars.
Samedi 17 février, une semaine après le retrait de deux cadres féminines du pouvoir magyar provoqué par un scandale de pédocriminalité (la
présidente Katalin Novak et l’ex-ministre de la Justice Judit Varga,
tête de liste du parti majoritaire Fidesz aux élections européennes), le
Premier ministre, Viktor Orban, prononçait son discours très attendu
sur l’état de la nation au Bazar du Château, à Budapest, barricadé pour
l’occasion. La veille, plusieurs dizaines de milliers de personnes
manifestaient “pour les enfants et les victimes” sur la place des Héros." La suite sur courrierinternational.com
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