"Pour son premier film, le réalisateur Laszlo Nemes s'est attaqué à un sujet lourd : le quotidien dans un camp de concentration. Ce long-métrage suit Saul Ausländer, un membre des Sonderkommando, ces prisonniers utilisés par les nazis comme chevilles ouvrières de la solution finale. Une œuvre impressionnante de maîtrise, pour Claire Micallef.
C'est un geste de cinéma aussi saisissant que déconcertant, une
plongée sourde au cœur d'Auschwitz qui a ouvert la dernière édition du
festival de Cannes.
Éminemment palmable au vu de son sujet et de sa prouesse formelle, "Le fils de Saul", premier long-métrage de Laszlo Nemes, a dû finalement se contenter du Grand Prix.
Ce jeune Hongrois qui a fait ses études en France et ses gammes chez
Béla Tarr n'a pas tardé à être adoubé par le maître ès représentation de
la Shoah, Claude Lanzmann, qui a présenté le film comme "l'anti 'liste de Schindler'"." La suite sur nouvelobs.com
lundi 2 novembre 2015
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.