Prochaine rencontre
à partir de 20 h
au café Le Zimmer
1, place du Châtelet 75001 Paris
Métro : Châtelet
2024 július 2.-án este 8-kor kezdődik
a Le Zimmer kávéházban
1, place du Châtelet 75001 Paris
Métro : Châtelet
Prochaine rencontre
"TOUT SAUF LE RN•La capitaine des Bleues du handball, Estelle Nze Minko, qui évolue dans un club hongrois, a évoqué sa situation personnelle pour expliquer son engagement contre la victoire du RN aux élections législatives.
Elle se dit « touchée » « en tant que citoyenne » par la situation politique. La capitaine des Bleues du handball, Estelle Nze Minko, appelle à « lutter contre l’extrême droite », en évoquant son expérience depuis huit ans dans la Hongrie de Viktor Orban. « Je sais qu’on parle beaucoup du fait que les sportifs n’ont pas forcément leur place dans le débat politique mais je pense qu’il y a un moment où le silence n’est pas une option ».
Sportive engagée, qui
s’est notamment insurgée du tabou des règles dans le sport en 2020, Nze
Minko se dit « touchée par la situation qui est critique, dangereuse ».
« Je suis frustrée, en colère, ça rajoute de la tension, de la pression
en tout cas pour moi », ajoute-t-elle." La suite sur 20minutes.fr
"En ce milieu d’après-midi, aucune activité n’anime cette maison d’un
quartier familial de Mikepércs, dans l’est de la Hongrie. À gauche de la
porte d’entrée, un panneau en chinois indique «dortoir de
travailleurs». À travers une fenêtre du rez-de-chaussée, on devine des
lits superposés. «Une quinzaine d’ouvriers chinois dorment ici, mais ils ont été jusqu’à 70, entassés»,
glisse Éva Kozma, la présidente d’une association de riverains. Des
toilettes provisoires étaient alors installées dans le jardin, les repas
se préparaient sous un garage extérieur. Les voisins ont craqué, le
maire a saisi la justice et une descente de police a mis fin aux abus. À
la sortie de la ville, un motel à l’abandon affiche en lettres rouges
«Eladó» : à vendre. Il a lui aussi longtemps accueilli des travailleurs
immigrés. Officiellement, ils ne logent plus là, mais les voisins
remarquent toujours des va-et-vient. Un gardien peu avenant exige des
visiteurs qu’ils ne s’attardent pas." La suite sur usinenouvelle.com (article payant)
Lundi 1er juillet 2024 : la date est cochée depuis des années par tous les fonctionnaires européens. La Hongrie de Viktor Orban prendra ce jour-là les rênes du Conseil de l’Union européenne.
Six
mois de présidence pour un pays dont le dirigeant est populiste, proche
de la Russie, réticent à sanctionner Moscou, à aider l’Ukraine, à
accueillir Kiev parmi les 27, souvent très critique vis-à-vis des
institutions de l’UE, accusé par les ONG de multiples atteintes à l’état
de droit, très dur sur l’immigration… la liste est longue. Et elle
nourrit l’inquiétude des milieux européens." La suite sur radiofrance.fr
"Le bureau de protection de la souveraineté, récemment créé par le premier ministre Viktor Orban pour prévenir « les interférences étrangères », a ouvert une enquête contre l’ONG, a-t-elle annoncé.
L’ONG anti-corruption Transparency International et le site d’investigation Atlatszo ont annoncé, mardi 25 juin, faire l’objet d’une enquête du bureau de protection de la souveraineté de Hongrie, un organe récemment mise en place par le premier ministre Viktor Orban pour prévenir « les interférences étrangères ».
Transparency International dit avoir reçu la semaine dernière « une notification formelle » de l’autorité au sujet d’une « investigation approfondie » qu’elle qualifie de « totalement infondée ». L’ONG, accusée de « mener des activités financées par des subventions étrangères et de nature à influencer les décisions des électeurs », dispose de trente jours pour répondre à 62 questions. Elle pense ne pas avoir été « ciblée par hasard » car ses travaux dénoncent régulièrement la corruption en Hongrie, qui figure au dernier rang de son classement portant sur les 27 pays de l’UE. " La suite sur lemonde.fr
"Le Premier ministre hongrois Viktor Orbán s’est opposé à la méthode employée par certains États membres dans la répartition des top jobs de l’UE, les postes clés des institutions européennes, ces derniers ayant formé une majorité excluant les autres des négociations. C’est ce qu’il a déclaré lors d’une réunion à Rome avec la Première ministre italienne Giorgia Meloni, qui n’a pour sa part pas commenté la situation.
Lors d’un sommet informel la semaine dernière, le Parti populaire européen (PPE) de centre droit, les Socialistes et Démocrates européens (S&D) et les libéraux de Renew ont proposé une liste de candidats pour les top jobs de l’UE lors de la prochaine législature européenne.
Cette liste comprend la présidente sortante
de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, pour mener le nouvel
exécutif, l’ancien Premier ministre portugais, António Costa, pour la présidence du Conseil européen, et la Première ministre estonienne, Kaja Kallas, pour le poste de Haute représentante de l’Union pour les Affaires étrangères et la Politique de sécurité." La suite sur euractiv.fr
Selon les
informations d’Europe 1, le Premier ministre hongrois Viktor Orban sera
reçu mercredi pour un déjeuner de travail par Emmanuel Macron à
l'Élysée, avant que le Conseil européen ne désigne jeudi et vendredi les
prochains leaders de l’Union européenne. La Hongrie doit prendre la
présidence tournante de l’UE à partir du 1ᵉʳ juillet prochain sous la
formulation trumpiste "Make Europe Great Again". Viktor Orban vient à
Paris pour présenter les grandes lignes de son semestre." La suite sur europe1.fr
"Le Premier ministre hongrois Viktor Orban a rendu visite à son homologue italienne Giorgia Meloni en tant que prochain président du Conseil de l’Union européenne. Les deux leaders d’extrême droite ont réaffirmé leurs accords, tout comme leurs divergences. Car le parti de Viktor Orban a refusé d’adhérer au groupe européen des Conservateurs et réformistes européens (ECR) mené par Giorgia Meloni. Car elle a ouvert les portes à un autre parti qu’Orban considére anti-hongrois.
La Giorgia Meloni s’est déclarée « particulièrement d’accord » avec Viktor Orban sur certaines priorités de la présidence de tour hongroise du Conseil européen. Notamment la relance de natalité qui est « une condition essentielle pour une Europe forte », et le renforcement de la lutte contre les migrants clandestins.
Elle a rappelé leurs divergences sur la question ukrainienne, tout en soulignant qu’elle appréciait la position de la Hongrie au sein de l’Union européenne et de l’Otan. Cela « car elle permet à d’autres Etat membres et alliés de prendre des décisions importantes ». « Nous savons très bien que nos positions ne coïncident pas toujours »,
a déclaré Mme Meloni, dont le pays fournit des armes à Kiev, applique
des sanctions contre Moscou et soutient fermement la position de l'Otan.
Cela quand le chef du gouvernement hongrois est resté proche du
Kremlin." La suite sur rfi.fr
"Dimanche soir, la Hongrie a battu l’Écosse lors de la troisième et dernière journée de la phase de poules de l’Euro 2024. Un précieux succès permettant aux Hongrois de garder espoir pour la suite de la compétition. Invité pour cette rencontre, le Premier ministre Viktor Orbán a été impliqué dans un grave accident de la route.
Comme le révèle AS, un accident a eu lieu alors
que l’escorte policière l’accompagnait à Stuttgart à l’aéroport lundi.
La police de Ludwigsburg, au nord de Stuttgart a fait l’état d’un «grave
accident de la circulation au cours de l’escorte d’un invité d’État»,
où un policier est décédé et un autre grièvement blessé." Source : footmercato.net
"Victime de plusieurs fractures au visage dans un violent duel aérien, l'attaquant hongrois Barnabas Varga a été opéré avec succès dans un hôpital de Stuttgart, ont annoncé la Fédération hongroise de football et le centre hospitalier lundi soir sur les réseaux sociaux.
Le joueur de la Hongrie Barnabas Varga a été opéré avec succès dans un hôpital de Stuttgart ce lundi. "Le
footballeur international hongrois Barnabas Varga a été opéré avec
succès cette après-midi à la clinique de Stuttgart. Il pourra très
probablement quitter l'hôpital mercredi. Nous lui souhaitons un prompt
rétablissement", a tweeté la clinique de Stuttgart lundi en début de soirée." La suite sur eurosport.fr
"Vainqueurs grâce à un but tardif contre l’Écosse (1-0) ce 23 juin après deux défaites contre la Suisse et l’Allemagne, les Magyars se sont donné une chance, avec l’aide du “Tout-Puissant”, de se hisser en huitièmes de finale de l’Euro 2024. Mais la qualification n’est pas encore acquise, relate le quotidien sportif “Nemzeti Sport”.
“Nous avons combattu avec générosité. L’espoir vit !” s’exclame le quotidien sportif Nemzeti Sport à sa une au lendemain de la victoire à la dernière seconde de la Hongrie contre l’Écosse ce 23 juin, lors du dernier match de poules de l’Euro 2024 pour les deux nations.
Ce succès arraché au bout d’un temps additionnel de dix minutes, grâce à un but de Kevin Csoboth sur un “excellent” jeu de contre, “couronne nos efforts dans les arrêts de jeu” et “maintient” les chances de qualification des Magyars pour les huitièmes de finale de l’Euro, salue le journal." La suite sur courrierinternational.com
"La rencontre Écosse-Hongrie a été marquée par la sortie sur civière de l'attaquant magyar Barnabas Varga, percuté par le gardien Angus Gunn. Marco Rossi, le sélectionneur hongrois a donné des nouvelles rassurantes de son joueur.
En toute fin de match, la Hongrie a battu l'Ecosse (1-0) à Suttgart,
dans le cadre de la dernière journée du groupe A. Mais au-delà de ce
résultat, qui permet au vainqueur du jour de rêver d'une qualification
pour les huitièmes de finale, la rencontre a surtout été marquée par la sortie sur civière de l'attaquant magyar Barnabas Varga, qui a été violemment percuté par le coude du gardien Angus Gunn." La suite sur lequipe.fr
Nicolas Wapler a le plaisir de vous
convier au vernissage des peintures d’Anna Stein qui aura lieu le 4
juillet 2024 à partir de 16 h
Exposition du 4 juillet au 18
juillet 2024 à visiter tous les jours de 10 h à 19 h.
"Qu’adviendrait-il de l’éducation si le rassemblement national arrivait au pouvoir ? Un détour par la Hongrie, sous l’autorité d’un parti national-populiste depuis 2010, permet de se faire une idée plus précise des changements qui se mettraient en place. Car en matière d’éducation, la Hongrie est un cas d’école, une sorte d’étude de cas pédagogique permettant de comprendre la bascule populiste.
Préambule
Le démantèlement du service public d’éducation hongrois est l’histoire d’un combat genré où s’affrontent des hommes et des femmes. Cette histoire hongroise met en évidence, de façon flagrante, le combat entre ceux qui sont au pouvoir (qui sont majoritairement des hommes) et celles qui résistent à la dislocation du service public (qui sont majoritairement des femmes). Pour prendre en compte de la façon la plus honnête possible l’aspect genré de ce combat, j’ai choisi de privilégier l’utilisation du genre grammatical féminin pour les enseignantes, selon la règle de la majorité énoncée en 2022 par le Haut Conseil à l’Égalité entre les Femmes et les Hommes.
Pour comprendre l’ensemble des dynamiques à l’œuvre permettant d‘expliquer l’évolution du système scolaire hongrois, il semble utile de remonter à la période post-communiste. Car le populisme n’est pas apparu en un jour, il prend ses racines dans les inégalités générées par la phase de dérégulation des années 1990." La suite sur blogs.mediapart.fr"Avec son slogan trumpiste et son logo patriotique, la Hongrie, qui assurera la présidence du Conseil de l’UE pour six mois à compter de juillet, a présenté, le 18 juin, son programme de travail. Si l’agriculture figure en bonne place, peu d’avancées majeures sont toutefois attendues. En cause : le renouvellement des institutions européennes.
En
plus de son logo en hommage au créateur du Rubik’s cube et de son
slogan aux accents trumpistes, la Hongrie, qui assurera la présidence
tournante du Conseil de l’UE à compter du 1er juillet, a également présenté le 18 juin, son programme de travail pour le second semestre 2024." La suite sur agra.fr (article payant)
"Rédigé par DG Trésor • Publié le
L’enquête conduite conjointement par le Service économique de l’Ambassade de France en Hongrie et la CCI France Hongrie.
L’étude Présence
française en Hongrie est une publication informative, concise et
pertinente, elle donne un aperçu rapide de l'importance des entreprises
françaises dans l'économie hongroise. La première partie de la
publication offre un aperçu général de la présence française en Hongrie,
tandis que la seconde partie fournit des analyses sectorielles
réparties en huit secteurs." A lire sur tresor.economie.gouv.fr
"Le Rubik's Cube, l'un des puzzle les plus célèbres du monde, devient le logo de la présidence hongroise du Conseil de l'Union européenne. Son inventeur nous en dit plus.
Le Rubik's cube, l'une des inventions les plus connues de Hongrie, puzzle que des générations de joueurs tentent de résoudre depuis 50 ans, passe d'icône nationale au symbole européen.
Un objet choisi pour l'ingéniosité, la créativité et la réflexion
stratégique qu'il nécessite pour sa résolution. En le transformant en
logo de sa présidence du Conseil de l'Union européenne, la Hongrie rend
hommage à son inventeur, le sculpteur hongrois Ernő Rubik." La suite sur euronews.com
"Les enseignants sous-payés et déconsidérés ont perdu leur statut de fonctionnaire et l’essentiel de leur droit de grève après un long mouvement de contestation, dans un pays où les programmes ont été réécrits pour se conformer aux valeurs «chrétiennes et conservatrices».
C’est l’une des premières décisions que Viktor Orbán a prise en arrivant au pouvoir. Dès 2010, à peine les élections remportées, le Premier ministre hongrois a fait supprimer le ministère de l’Education. Le symbole était clair : à quoi bon donner ne serait-ce qu’un minimum de reconnaissance à des dizaines de milliers d’enseignants réputés plutôt libéraux et donc loin de sa base électorale ?
A l’époque, Orbán était encore vu comme un conservateur. Il n’avait pas fait de «l’illibéralisme» son mantra, ni profondément abîmé l’Etat de droit et la liberté de la presse. Aujourd’hui, avec sa haine des migrants et des personnes LGBT+, son alignement sur la Russie et son euroscepticisme,
le Premier ministre hongrois est de plus en plus largement considéré
comme un dirigeant d’extrême droite. Comme la plupart d’entre eux, il
s’est employé à réformer l’éducation publique pour qu’elle véhicule ses
valeurs, présentées comme «chrétiennes et conservatrices»." La suite sur liberation.fr (article payant)
"Le dirigeant hongrois a critiqué un pays totalement transformé, avec des "centaines de milliers" de migrants bénéficiant selon lui du récent assouplissement des conditions d'obtention de la nationalité.
Un dérapage pour un habitué du genre. Le Premier ministre hongrois Viktor Orban,
en visite à Berlin, a dénoncé ce vendredi 21 juin les méfaits à ses
yeux de l'immigration massive en Allemagne, "qui ne ressemble plus" à ce
qu'elle était.
"Si je
compare au pays d'il y a dix ans, le goût n'est plus le même, l'odeur
n'est plus la même", a-t-il déclaré sur la radio hongroise.
Le
dirigeant nationaliste, connu pour ses positions anti-immigration, doit
rencontrer dans l'après-midi le chancelier allemand Olaf Scholz, alors
que Budapest prend début juillet la présidence tournante de l'UE." La suite sur bfmtv.com
"Le Premier ministre hongrois a été accueilli à Berlin par le chancelier allemand Olaf Scholz mais sans honneurs officiels car les relations entre les deux pays sont glaciales.
Le Premier ministre hongrois Viktor Orbán s'est rendu à Berlin ce vendredi, avant que la Hongrie ne prenne la présidence tournante du Conseil de l'UE pour six mois.
Le dirigeant populiste s'est rendu à Stuttgart, aux côtés du chancelier allemand Olaf Scholz, mercredi, à l'occasion du match de football Allemagne-Hongrie de l'Euro 2024, mais la politique n'était pas à l'ordre du jour." La suite sur euronews.com
"Lors d'une émission de radio ce vendredi, à Berlin, le Premier ministre hongrois a déclaré que Manfred Weber, président du groupe PPE au Parlement européen, était "anti-hongrois".
Le Premier ministre hongrois Viktor Orbán a accusé vendredi le chef de la majorité au Parlement européen d'être anti-hongrois.
Le dirigeant d'extrême droite s'en est pris à Manfred Weber, le président du Parti populaire européen (PPE), en le qualifiant d'"hongarophobe".
"Manfred Weber n'a qu'un seul objectif qui lui tient vraiment à cœur : nuire à la Hongrie", a déclaré Viktor Orbán lors d'une interview à la radio vendredi, à Berlin." La suite sur euronews.com
"Mercato en hockey sur glace, il passe des Rouges aux Bleus. L’attaquant
international hongrois de 25 ans, Bálint Horváth, arrive pour la saison
prochaine chez les Rapaces de Gap. Formé en Suède, il a aussi évolué
avec l’équipe hongroise U20 qui avait à l’époque en coach Márton Vas,
l’entraineur des Rapaces de Gap. La saison dernière, avec le maillot des
Diables Rouges de Briançon, il avait été l’auteur de 17 assistances et
neuf buts en 44 matchs. " Source : alpesdusud.alpes1.com
"DÉCRYPTAGE - La relation avec la Russie a creusé un fossé entre l'Italienne Giorgia Meloni et le Hongrois Viktor Orban.
Vingt-huit mois après l'invasion de la Russie, l'Ukraine s'est imposée comme une grille de lecture déterminante de la politique dans les institutions européennes. Alors que Vladimir Poutine avait misé sur la division de l'Europe, elle est restée unie sur le sujet et s'est engagée à long terme aux côtés de Kiev. Dans le sillage des élections, le sujet est devenu un marqueur des principales formations, y compris, peut-être même surtout, dans les partis populistes. Il sera déterminant dans les alliances futures, qui font l'objet de difficiles négociations, dont l'issue déterminera les nouveaux rapports de force au Parlement et le choix des prochains dirigeants des institutions.
La relation avec la Russie a creusé un fossé entre les deux têtes de la droite dure en Europe, l'Italienne Giorgia Meloni,
dont le parti Fratelli d'Italia appartient, comme le PiS polonais, au
groupe des Conservateurs et Réformistes Européens (CER) et le Hongrois Viktor Orban. Confortée par les élections européennes…" La suite sur lefigaro.fr
Le
rôle que joue aujourd'hui internet dans les luttes d'influence entre
grandes puissances ne doit pas nous faire oublier que ce type de
propagande n'est pas nouveau. Parmi les exemples historiques les plus
connus, j'évoquerai dans cette chronique la polémique concernant la
"Radio Free Europe" qui a été accusée d'avoir encouragé la révolution
d'octobre-novembre 1956 en Hongrie. Cette radio, créée en 1950 par les
États-Unis, émettait depuis Munich dans cinq pays d'Europe de l'Est et
bénéficiait de taux d'écoutes importants, malgré les brouillages. Elle
était financée par la CIA, bien qu'elle ait été présentée comme une
organisation privée. Que fut le rôle de la "Radio Europe libre" dans la révolution hongroise de 1956 ?" La suite et à écouter (3MIN) sur radiofrance.fr
"Le gouvernement de Viktor Orban a profité du Covid pour orienter un flot inédit de subventions vers les groupes qui servent son agenda nationaliste, au plus grand bonheur des structures culturelles détenues par ses proches.
Le Forum d’union civile a des goûts musicaux éclectiques. À l’occasion des européennes et municipales du 9 juin en Hongrie, l’instance, financée par le Fidesz, le parti de Viktor Orban, n’a pas lésiné sur les moyens. Dans Budapest, s’affiche, en 4×3 m, une photo iconique du groupe punk, Dead Kennedys, le sigle dollar sur le torse.
Les visages ont été remplacés par ceux de représentants de l’opposition supposément biberonnés à l’argent occidental.
On peut y lire : « La gauche financée par le dollar, achetée au kilo. »
La réponse des Californiens fut aussi claire que cinglante : « Cette
photo nous a été volée par les fous furieux d’extrême droite qui
dirigeant la Hongrie. Aucun doute qu’ils volent aussi leur propre
peuple. »" La suite sur humanite.fr (article payant)
"Avec cette signature, ces cinq pays chargent la DGA de commander des missiles antiaériens très courte portée Mistral 3 auprès de MBDA. Cette initiative ne pourrait peut-être pas se limiter à ces cinq pays et devrait dépasser le cap des 1 500 missiles commandés.
Ce 19 juin, beaucoup de personnes s'étaient rassemblées sur le stand du ministère des Armées. Et pour cause, un arrangement de coopération cadre a été signé pour charger la Direction Générale de l'Armement à acheter des missiles antiaériens très courte portée Mistral 3 au profit de cinq pays :
Au total, MBDA devrait ainsi recevoir une commande de la DGA permettant de répondre aux besoins émis par ces différents pays. Le communiqué de presse précise que d'autres pays ont manifesté leur fort intérêt dans cette démarche et devraient alors rejoindre prochainement cette coopération. Une première estimation, annoncée par la DGA, avance le chiffre de plus de 1 500 missiles." La suite sur air-cosmos.com
"Les giga-usines de fabrication de batteries électriques asiatiques se multiplient en Hongrie. Viktor Orbán accueille à bras ouverts ces industries polluantes, quitte à sacrifier environnement et travailleurs étrangers.
Viktor Orbán déroule le tapis rouge aux entreprises asiatiques de
production de batteries pour véhicules électriques. Au cours des cinq
dernières années, les usines ont poussé par dizaines aux quatre coins du
pays, pour la plupart sud-coréennes et chinoises. Cette
industrialisation à marche forcée rencontre de fortes résistances
locales. Les riverains redoutent les nuisances, les rejets de produits
toxiques dans le sol et les nappes phréatiques, ainsi que l’accaparement
des ressources en eau. Le problème environnemental se double d’un
problème social, avec l’embauche de travailleurs étrangers exploités." La suite sur reporterre.net
"Vous cherchez les activités les plus cool à faire entre filles à Budapest ? Alors vous tombez bien ! Que vous aimiez la gastronomie, la culture, la fête ou le bien-être, vous trouverez certainement quelque chose à votre goût.
Les musées de Budapest ne se limitent pas aux expositions classiques : il existe de nombreuses expositions passionnantes et inhabituelles dans le centre ville. Au Musée des sucreries et des selfies vous pourrez prendre la photo parfaite de vos vacances entre filles grâce à des arrière-plans uniques et des installations colorées. IKONO est aussi une application insta-compatible : une fosse à balles, des peintures lumineuses spéciales, un toboggan et de nombreuses installations interactives t'attendent ! Et Cinema Mystica offre également une véritable expérience immersive : dans le musée de la lumière, vous pouvez entrer dans un tout nouveau monde où le son, la lumière et l'art sont combinés pour créer un véritable voyage sensoriel.
Conseil : vous pouvez acheter des billets à prix réduit pour Cinema Mystica avec la Budapest Card et Tourist Pass. Et avec le e-XPLORER Pass, vous pouvez entrer gratuitement." La suite sur budapestinfo.hu
"Viktor Orbán, Giorgia Meloni et Petr Fiala veulent avoir leur mot à dire sur l'attribution des postes de direction de l'UE. Mais les chiffres jouent contre eux.
Qui devrait diriger l'Union européenne dans les cinq prochaines années ? Dix jours après les élections, la question reste sans réponse.
Un sommet informel organisé lundi n'a pas permis d'obtenir les résultats escomptés, malgré l'existence d'un trio de tête
pour les postes les plus importants : Ursula von der Leyen pour la
présidence de la Commission européenne, António Costa pour la présidence
du Conseil européen et Kaja Kallas pour le poste de Haut représentant
pour les affaires étrangères et la politique de sécurité." La suite sur euronews.com
"Un peu plus tôt dans la soirée, l’Allemagne a validé son ticket pour les huitièmes de finale en s’imposant 2 buts à 0 face à la Hongrie.
Un succès qui ne reflète pas forcément la physionomie du match, tant
les Hongrois ont su créer des problèmes à l’équipe de Julian Nagelsmann.
D’ailleurs, le sélectionneur Marco Rossi estime que l’arbitre du match,
Danny Makkelie, n’a pas été à la hauteur." La suite sur footmercato.net
"Budapest, en délicatesse avec l'échelon européen depuis des années, assurera la présidence de l'UE au second semestre. La Hongrie veut accélérer l'intégration des Balkans et les retours des migrants illégaux.
On connaît le talent de Viktor Orban, le Premier ministre hongrois, pour la provocation . Il en a de nouveau fait une démonstration, ce mardi 18 juin, lorsque son ministre des Affaires européennes a dévoilé le slogan de la présidence hongroise de l'UE qui débutera le 1er juillet : « Make Europe great again ». Une référence directe à la formule trumpienne « Make America great again », qui a donné l'acronyme « Maga » pour qualifier la base électorale de l'ancien président américain .
Alors que les milieux européens envisageaient déjà le semestre de
présidence hongroise avec une pointe d'appréhension, compte tenu des
nombreuses stratégies d'obstruction de Budapest au cours des derniers
mois, le clin d'oeil à Donald Trump a fait se hausser bien des sourcils -
mais aussi fait sourire. On peut toujours arguer que « Make Europe
great again » résume la ligne générale de l'agenda stratégique pour le
cycle 2024-2029 que les Vingt-Sept veulent adopter à la fin du mois." La suite sur lesechos.fr (article payant)
"Né à Paris, formé à Nantes mais international hongrois : l'étonnant parcours de Loïc Nego, qui porte les couleurs de la sélection magyare pour son deuxième Euro consécutif, est la conséquence d'un pari sportif inattendu.
Se pencher sur le CV de Loïc Nego, c'est un peu comme traverser l'Europe
d'Ouest en Est... avant de revenir en Occident. Le natif de Paris, qui a
été formé du côté du FC Nantes, a en effet pris la décision, à un
moment où sa carrière peinait à décoller, de porter les couleurs du club
hongrois de l'Ujpest FC (2013-2015, puis du Fehervar FC (2015-2023)." La suite sur lequipe.fr
"La Hongrie est en quête de rebond après sa défaite concédée face à la Suisse (1-3). Mais à l'image de son sélectionneur Marco Rossi, elle sait aussi que l'Allemagne ne lui facilitera pas la tâche, mercredi soir, à Stuttgart (18 heures)." La suite sur lequipe.fr
"Après que Mark Rutte a confirmé que la Hongrie ne serait pas obligée de participer aux activités de l'Alliance en Ukraine s’il devenait secrétaire général, Viktor Orban a déclaré que son pays était prêt à soutenir la nomination du néerlandais.
Le premier ministre hongrois Viktor Orban, jusqu'ici opposé à la nomination du premier ministre néerlandais Mark Rutte à la tête de l'Otan, a finalement décidé de se rallier à sa candidature après avoir obtenu les garanties nécessaires." La suite sur lefigaro.fr
'Le Représentant permanent de la Hongrie va mener la présidence tournante de l'UE au second semestre. Une grande responsabilité alors que Budapest bloque de nombreux dossiers.
Il est rare qu'un ambassadeur bruxellois attire autant l'attention que Balint Odor en cette fin juin. La raison en est que le représentant permanent de la Hongrie auprès de l'UE sera chargé, au second semestre, de coordonner la présidence tournante de l'UE, confiée à son pays. Compte tenu des nombreux litiges qui opposent depuis des années Budapest à Bruxelles (soutien à l'Ukraine, Etat de droit, migration), sa mission sera, à n'en pas douter, exigeante.
A deux semaines de l'échéance du 1er juillet, le diplomate de
49 ans s'affiche serein. « Nous travaillons sur la présidence depuis 10
mois », explique-t-il aux « Echos » depuis son bureau, rue de Trèves,
entre le Parlement européen et la Représentation allemande. « Nous avons
quasiment doublé nos effectifs, à environ 250 personnes, et j'ai déjà
l'expérience de la première présidence hongroise de 2011 », ajoute le
docteur en relations internationales." La suite sur lesechos.fr (article payant)
"INTERNATIONAL - Alors qu’elle s’apprête à prendre la présidence du Conseil de l’UE, la Hongrie de Viktor Orban dévoile un slogan qui n’est pas sans rappeler… Donald Trump.
Un mot d’ordre qui donne le ton. Alors qu’elle s’apprête à prendre la suite de la Belgique à la tête du Conseil de l’Union Européenne le 1er juillet pour six mois, la Hongrie a présenté ce mardi 18 juin son logo et son slogan. Et la formule choisie par les autorités du pays gouverné par le nationaliste Viktor Orban vous rappellera sans doute quelque chose.
En effet, la Hongrie a choisi un Rubik’s Cube aux couleurs des drapeaux européen et hongrois, et la courte phrase « Make Europe Great Again ». Un choix qui n’est pas sans rappeler la devise « Make America Great again » popularisée par Donald Trump lors de sa campagne électorale en 2016." La suite sur huffingtonpost.fr
"Le premier cycle de négociations entre l'UE et l'Ukraine aura lieu le 25 juin.
L’ambition européenne de l’Ukraine pourrait connaître une pause de six mois, le temps de présidence hongroise du Conseil de l’UE.
Du 1er juillet au 31 décembre, le gouvernement de Viktor Orbán fixera l'ordre du jour hebdomadaire et présidera les réunions ministérielles à Bruxelles, décidant ainsi des sujets qui seront placés en tête de liste et de ceux qui seront relégués au second plan.
Le slogan officiel de la présidence sera "Make Europe Great Again", un clin d'œil à la formule employée par Donald Trump lors de sa campagne présidentielle en 2016." La suite sur euronews.com
"Alors que la droite radicale progresse en Europe, la Hongrie de Viktor Orban, vainqueur affaibli des élections européennes, assumera à partir du 1er juillet la présidence tournante du Conseil de l’Union européenne. Le pouvoir national-conservateur a dit vouloir un semestre “normal”, mais Budapest sera particulièrement scruté.
D’un côté, une forte progression de la droite radicale dans plusieurs grands pays européens (France, Allemagne, Italie, Autriche, Pays-Bas) lors des élections du 9 juin dernier. De l’autre, un résultat en demi-teinte pour le national-populiste Viktor Orban en Hongrie. Son parti, Fidesz, bien que vainqueur du scrutin avec 44,4 % des voix, n’avait jamais été aussi faible aux élections européennes depuis l’adhésion en 2004 du pays à l’Union européenne (UE). Notamment en raison de la percée du nouvel opposant Péter Magyar, qui a remporté sept sièges sur les 21 dont dispose la Hongrie au Parlement européen.
C’est dans ce contexte particulier que la Hongrie, qui ferraille depuis des années avec Bruxelles sur l’état de droit, va entamer le 1er juillet un semestre d’ores et déjà controversé à la présidence tournante du Conseil de l’UE, l’organe des 27 chefs d’État et de gouvernement. La Hongrie va succéder à la Belgique, dont la ministre des Affaires étrangères, Hadja Lahbib, demandait récemment la suspension du droit de vote au Conseil en réponse aux nombreuses obstructions magyares.
Priorité à la compétitivité, la sécurité, la défense, l’agriculture, la démographie, la protection des frontières, la politique de cohésion et l’élargissement aux Balkans occidentaux, a détaillé le ministre des Affaires européennes hongrois, Janos Boka, repris par la radiotélévision publique MTVA. “Nous savons que la présidence hongroise..." La suite sur courrierinternational.com (article payant)
"Le Premier ministre magyar, vainqueur affaibli, ne refaçonnera pas l'Union de l'intérieur, faute de déferlante populiste aux élections du 9 juin.
En Hongrie, lors des dernières élections européennes, la victoire du Fidesz, allié au Parti populaire démocrate-chrétien (KDNP), n'est pas étonnante. Mais avec 44,8%, le parti politique du Premier ministre Viktor Orbán perd deux de ses treize sièges d'eurodéputés gagnés en 2019 et enregistre son pire score lors du scrutin continental depuis l'adhésion du pays à l'Union européenne (UE) en 2004.
Le Fidesz s'était pourtant appuyé sur un déluge de propagande
comme il les affectionne. Des affiches présentaient le milliardaire
d'origine hongroise George Soros, le nouvel opposant Péter Magyar, le maire écologiste de Budapest Gergely Karácsony
et l'ancien Premier ministre Ferenc Gyurcsány (2004-2009) comme des
fauteurs de guerre. D'autres louaient Viktor Orbán comme étant le visage
de la paix." La suite sur slate.fr
"Les élections européennes du 9 juin ont apporté un profond bouleversement du paysage politique en Hongrie. Le poids politique des 21 députés hongrois au Parlement européen est limité ; mais ce scrutin a revêtu un enjeu majeur de politique intérieure, comme en témoigne le record de participation : 59,46 %, soit 15,88 % de plus qu’en 2019.
Les résultats indiquent un recul du Fidesz-KDNP au pouvoir, qui a obtenu 44,8 % des voix et 11 mandats contre 52,5 % et 13 en 2019. Mais c’est au niveau de l’opposition traditionnelle que le véritable séisme a eu lieu.
L’alliance de gauche Coalition démocratique (DK) – PS (MSZP) –
Dialogue (Parbeszed) a essuyé une nette défaite, n’obtenant que 8 % des
voix et 2 sièges, contre 16 % et 4 pour DK et 6,1 % et 1 pour
MSZP-Parbeszed en 2019. Pis encore, le parti libéral Momentum (2 sièges
en 2019) et le Jobbik, parti national-conservateur populiste (1 siège en
2019) se sont effondrés et n’ont obtenu aucun mandat. En revanche, le
parti d’extrême droite Notre patrie (Mi Hazank), créé en 2018 et qui ne
siège pas au Parlement européen (3,2 % en 2019), a obtenu 1 mandat avec
6,7 % des suffrages." La suite sur theconversation.com
"Le groupe de centre-droit du Parlement européen a ouvert les bras au mouvement politique de Péter Magyar, l'épine dans le pied de Viktor Orbán.
Le parti de Péter Magyar, principal adversaire politique du Premier ministre hongrois Viktor Orbán, rejoint le Parti populaire européen (PPE). La formation des chrétiens-démocrates au Parlement européen a pourtant abrité jusqu'en 2021 le parti Fidesz du dirigeant hongrois.
Le PPE a ouvert ses portes
au parti Respect et liberté (Tisza) de Péter Magyar lors d'un vote à
Bruxelles mardi. Les sept eurodéputés de Tisza élus lors des élections
européennes de juin siégeront donc au sein du plus grand groupe
politique du Parlement européen." La suite sur euronews.com
"La Hongrie succèdera à la Belgique à la présidence tournante du Conseil de l’UE le 1er juillet. Euractiv a pu consulter le plan indicatif de Budapest pour le Coreper 1 sur les questions d’énergie, de transports et d’environnement.
Les Hongrois hériteront des dossiers législatifs non achevés sous la présidence belge. Cependant, les six prochains mois s’annoncent plus calmes pour le Conseil au niveau législatif.
En effet, la présidence hongroise coïncide avec la fin de la législature quinquennale de l’UE, synonyme de grands changements au sein des différentes institutions. La nouvelle Commission européenne devrait prendre ses fonctions au début de l’automne et aura besoin de temps pour définir ses priorités et établir des plans de travail.
Voici néanmoins les domaines dans lesquels la Hongrie compte concentrer ses efforts :" La suite sur euractiv.fr
"Quel champion olympique a commenté après sa victoire : "le désir de survivre était plus fort que celui de gagner". Il s'agit d'un nageur, en 1896, pendant les premiers Jeux de l'ère moderne à Athènes. Alfred Hajos était surnommé le dauphin hongrois.
A l'époque, on était bien loin de la natation telle qu'on la connaît aujourd'hui. Elle avait presque un côté sport extrême. D'abord, les piscines olympiques chauffées, en 1896, on oublie, ça n'existe pas. Les Jeux d'Athènes se déroulent en avril. On nage dans la mer Égée. Température de l'eau, treize degrés. Et des vagues aussi, jusqu'à quatre mètres de haut ce jour de compétition.
Pour
le 100 mètres, ça se tente. Alfred Hajos commence justement sur cette
distance et il s'impose. Mais ensuite il s'attaque aux 1200 mètres. Et
là, franchement, c'est un défi." Source et à écouter (2MIN) sur radiofrance.fr
"Le ministre des Affaires étrangères a indiqué à son homologue hongrois qu'Israël acceptera la récente invitation, mais après que Budapest aura pris la présidence du Conseil de l'UE.
Le ministre des Affaires étrangères Israel Katz a déclaré lundi à son homologue hongrois qu’Israël accepterait la récente invitation à participer à la réunion du Conseil d’association entre l’UE et Israël, mais seulement après que Budapest aura pris la présidence du Conseil de l’UE en juillet.
Au début du mois, le chef de la politique étrangère de l’UE, Josep Borrell, avait invité Israël à une réunion ad hoc du Conseil d’association pour discuter de la « situation à Gaza » et du « respect des droits humains », la première depuis 2022. Certains craignaient que cette réunion ne serve à réprimander Israël à propos du conflit en cours contre le groupe terroriste palestinien du Hamas.
La Belgique occupe actuellement la présidence, et la Hongrie – qui
lui succédera le 1er juillet 2024 – est considérée comme beaucoup plus
favorable à Israël." La suite sur timesofisrael.com
"L'imposant attaquant hongrois Martin Adam, entré en jeu contre la Suisse (1-3) samedi à l'Euro 2024, n'était pas d'humeur autodérisoire au moment d'évoquer les moqueries subies sur les réseaux sociaux.
C'est peu dire que Martin Adam n'a pas la carrure de l'attaquant standard du foot moderne,
avec sa barbe rousse fournie, ses bras griffonnés, et son embonpoint
apparent. Entré en jeu en fin de match contre la Suisse (1-3) vendredi,
le buteur hongrois (23 sélections, 3 buts) a été la cible de nombreuses
moqueries, plus ou moins acerbes, sur les réseaux sociaux." La suite sur lequipe.fr
"Résumé
En 2022, les députés européens estimaient que la Hongrie n'était plus une véritable démocratie, qualifiant l'État de "régime hybride d'autocratie électorale". Une façon de condamner fermement la politique du gouvernement de Viktor Orban, arrivé au pouvoir en 2010. Mais dans son pays, le Premier ministre nationaliste et ultraconservateur du parti Fidesz continue d'être soutenu par une majorité de la population. Qui sont ses électeurs et pour quoi votent-ils précisément ? Dans la campagne hongroise, où la popularité du gouvernement est la plus forte, le réalisateur Aron Szentpéteri se lance dans une enquête menée sur plus d'un an, qui le mène à Tiszavasvari, petite ville désindustrialisée de quelque 13 000 habitants. Il y recueille la parole de ceux qui vivent loin de la capitale et tentent de faire entendre leurs voix.
Plus d'information sur tvmag.lefigaro.fr
"L’avant-centre au physique atypique est entré en jeu lors de la défaite de sa sélection contre la Suisse (1-3) samedi.
A l’Euro, la Hongrie ne marque pas forcément les esprits par ses performances, mais plutôt par ses personnalités. En 2016 en France, les Magyars avaient certes atteint les 8es de finale, mais on se rappelle surtout de Gabor Kiraly, son gardien quadragénaire, et de son pantalon de jogging (ou de pyjama, à vous de voir).
Cette année, c’est un avant-centre qui a frappé les téléspectateurs au moment de son entrée en jeu, dimanche à la 79e minute du match perdu contre la Suisse (1-3)." La suite sur 20minutes.fr
Zombor, Szanád, Palics, Novo Selo, Doroszló : entre villes et villages
joignables à pied, à charrette ou en fiacre par des routes hepehupás (bosselées), le monde de ce roman est un monde mélangé où l’on parle un peu ou beaucoup serbe, où l’utilisation du sparhert pour chauffer et cuisiner fait penser qu’il y a aussi de la présence souabe, où seuls les Hongrois fréquentent le Kaszinó tandis que les Serbes fréquentent leur Csitaonica.
C’est aussi un monde où il est tout à fait courant d’employer des
domestiques, à la ferme comme en ville et au bureau : c’est l’occasion
de se rappeler toutes sortes de mots inutiles (dans la vraie vie) pour
différencier tous ces inas, komornyik, cselédlány, hivatalszolga…
Pourtant, qu’ils soient valets, domestiques et garçons de bureau, tous
auront leur mot à dire et leur rôle à jouer pour arriver au bout de
l’intrigue." La suite sur passagealest.wordpress.com
"Pas de faux départ pour la Suisse. Les Helvètes ont pris le meilleur sur la Hongrie (3-1) ce samedi après-midi à l'occasion de leur entrée en lice dans l'Euro 2024. La Nati avait fait le break avant la pause, puis a résisté au réveil hongrois et a enfoncé le clou en toute fin de match grâce à Breel Embolo. Les hommes de Murat Yakin sont deuxièmes du groupe A, derrière l'Allemagne." La suite sur eurosport.fr
"Salaire important, budget pour des assistants, facilités pour les familles… Avant les élections européennes du 9 juin dernier, “HVG” détaillait les bénéfices qui sont attachés au mandat européen.
Organisées au milieu du cycle parlementaire hongrois, les élections européennes ne servent pas seulement à mesurer les rapports de force en politique intérieure. Les récompenses financières accompagnant la conquête d’un siège peuvent aussi être importantes pour les partis, surtout les mouvements d’opposition ne nageant pas dans l’abondance. Dans une interview, Peter Magyar [rival de Viktor Orban] déclarait que les politiciens ne voyaient jusqu’ici Bruxelles que comme un tiroir-caisse, d’où l’on peut rapporter 2 milliards de forints (5,2 millions d’euros) en cinq ans. Si les données publiques du Parlement européen permettent difficilement de donner des chiffres concrets, ce calcul semble plutôt excessif.
Les fonds que l’on peut obtenir dépendent de nombreux facteurs, dont le groupe dans lequel siège le candidat d’un parti, car les fonds que l’on peut dépenser le plus souplement viennent des groupes parlementaires. Selon notre source établie à Bruxelles, cette somme avoisinerait les 100 000 euros par an. Un montant permettant de commander des études, d’organiser des conférences ou même de fabriquer des stylos ou cahiers avec le logo du parti et autres cadeaux de représentation. D’après nos informateurs, c’est à partir de ce budget qu’ont été façonnées les affiches de Klara Dobrev [tête de liste de la gauche unie] prônant une “protection européenne de l’enfance”. Impératif : ne pas oublier de faire apparaître le logo du parti.
Autre aide d’envergure pour la campagne, les eurodéputés reçoivent 4 950 euros mensuels afin de pouvoir continuer à travailler dans leur pays d’élection. De quoi louer leur bureau local, payer les factures de téléphone et les envois de courrier, se procurer et entretenir des outils informatiques.
Théoriquement, l’UE surveille strictement
chaque dépense, censée être faite dans le cadre du travail lié au
Parlement européen. Sauf qu’en pratique il est quasiment impossible de
vérifier si le parti n’utilise pas un bureau pour une autre activité.
Reste un verrou : l’enveloppe est divisée..." La suite sur courrierinternational.com (article payant)
"Le joueur hongrois de 23 ans est devenu, lors du match contre la suisse ce samedi, le plus jeune capitaine d’une nation à l’Euro.
Dominik Szoboszlai entre dans l’histoire de l’Euro. Le joueur hongrois
de 23 ans est devenu ce samedi le plus jeune capitaine d’une nation à
dans la compétition continentale lors de la rencontre opposant les Hongrois à la Suisse." La suite sur lefigaro.fr
"La Cour Européenne des Droits de l’Homme (CEDH) a jugé que la Hongrie ne contrevenait pas à la Convention européenne des droits de l’homme en interdisant le suicide assisté ou l’euthanasie, ainsi que l’assistance pour le faire dans un pays étranger.
L’affaire jugée le 13 juin 2024 par la première section de la CEDH concerne le cas de Daniel Karsai (le requérant), avocat, atteint de la SLA ou maladie de charcot. M. Karsai souhaitait être autorisé à mettre fin à ses jours avant que sa souffrance devienne trop difficile à supporter. Il déplore l’impossibilité de le faire en Hongrie même lors d’une maladie terminale occasionnant des souffrances existentielles. Et qu’il soit interdit à toute personne de l’assister pour obtenir cette mort à l’étranger.
Compte tenu de sa situation de maladie avancée, le cas a été traité en urgence après que le recours a été engagé en août 2023." La suite sur alliancevita.org
"Budapest ne financera pas le programme de coordination de l’OTAN destiné à Kiev. Certains s’inquiètent de cette entorse au principe de consensus qui prévaut dans l’organisation.
Après l’Union européenne (UE), c’est au sein de l’Alliance atlantique que la Hongrie commence à sérieusement irriter ses partenaires. Alors que les alliés affinent le paquet d’aides que l’OTAN souhaite apporter à Kiev lors du sommet de l’organisation militaire qui se tiendra à Washington du 9 au 11 juillet, le secrétaire général de l’organisation, Jens Stoltenberg, a pris une décision en faveur de la Hongrie qui, à terme, pourrait ne pas rester sans conséquence.
Comme les Etats-Unis et l’Allemagne ne veulent toujours pas inviter l’Ukraine à rejoindre officiellement l’Alliance atlantique, M. Stoltenberg a proposé, en attendant, d’intégrer au sein de l’OTAN une partie des missions du groupe de contact pour la défense de l’Ukraine. Créée en avril 2022, cette structure sous direction américaine prépare, coordonne et livre à l’Ukraine l’ensemble des armes que les Occidentaux fournissent au pays en guerre.
Afin d’intégrer ces services dans l’OTAN, il faut que tous les alliés soutiennent la mesure. Or, un seul résiste à cette proposition : la Hongrie de Viktor Orban, hostile depuis le début du conflit à toute aide militaire à l’Ukraine. Courant mai, l’homme fort de Budapest avait même accusé l’Alliance atlantique d’entraîner ses membres « dans une conflagration mondiale ».
Dès lors, pour arracher son soutien, M. Stoltenberg a négocié avec lui
une dérogation. Et, mercredi 13 juin, il pouvait annoncer, après une
rencontre avec M. Orban, un « accord sur les modalités de la non-participation de la Hongrie au soutien de l’OTAN à l’Ukraine ». « Dans le même temps, précise M. Stoltenberg, le
premier ministre m’a assuré que la Hongrie ne s’opposerait pas à ces
efforts, permettant ainsi aux autres alliés d’aller de l’avant. »" La suite sur lemonde.fr (article payant)
"Du 19 au 21 juillet, les meilleurs pilotes du monde s'affronteront pour la 39e fois sur le légendaire Hungaroring. Le Grand Prix de Formule 1 de Hongrie n'est pas seulement un événement sportif, c'est aussi une expérience inoubliable. L'année dernière, plus de 300 000 passionnés de bolides ont assisté au week-end de course - cette année, votre place est dans les tribunes ! Encouragez vos favoris et vivez la véritable passion de la vitesse et de la compétition aux côtés de dizaines de milliers de spectateurs !
En 2024, en tant que détenteur de la Carte Budapest, vous serez non seulement en mesure de découvrir les attractions de la ville pendant le week-end de course de Formule 1, mais vous pourrez également utiliser votre carte pour emprunter les transports publics de façon illimitée et entièrement gratuite entre la capitale et le Hungaroring." La suite sur budapestinfo.hu
"Dans l’ombre des élections européennes, une autre bataille électorale se joue en Hongrie, pour la ville de Budapest. D’un côté, le maire écologiste sortant Gergely Karácsony, à la tête d’une coalition socialiste, écologiste et libérale. De l’autre Dávid Vitézy, l’ancien patron des transports publics de Budapest, soutenu in extremis par le Fidesz de Viktor Orbán. Le duel a tourné à l’avantage du maire sortant, mais avec un écart infime de 324 voix, à l’issue des élections municipales qui ont été organisées le même jour que les européennes du 9 juin.
Vendredi, après recompte de milliers de
bulletins nuls par la commission électorale, Gergely Karácsony a de
nouveau revendiqué sa victoire sur le fil du rasoir. « Les faits montrent que j’ai remporté cette élection, même après un recomptage des voix dans des conditions scandaleuses », a affirmé le maire sortant. « J’apprends maintenant que la majorité du Fidesz au sein de la commission électorale nationale a entamé une bataille juridique…" La suite sur lefigaro.fr (article payant)
"Les eurodéputés du parti hongrois Tisza, qui s'opposent ouvertement au Fidesz de Viktor Orbán, pourraient rejoindre le Parti populaire européen, après que son président Manfred Weber a déclaré que "la porte leur était ouverte".
Le parti hongrois Respect et Liberté (Tisza), mené par Péter Magyar, a réalisé un score historique lors du scrutin européen dimanche dernier, en obtenant 7 sièges avec près de 30 % des voix.
Ancien membre de Fidesz, Péter Magyar
a fait couler beaucoup d'encre lorsqu'il a publié des enregistrements
compromettants qui révélaient la corruption et les dissimulations au
sein du gouvernement de Viktor Orbán." La suite sur euronews.com
"A l’Euro, la Hongrie se plaît à jouer les trouble-fêtes. Ce samedi 15 juin (15h), elle défiera la troupe de Yakin en pleine confiance et sans aucun complexe.
Il faudrait avoir la mémoire bien courte pour sous-estimer la Hongrie. Certes, il a fallu patienter trente ans pour que la sélection fasse son retour au premier plan, trois décennies (1986-2016) sans la moindre qualification pour un tournoi majeur. Puis? Trois participations consécutives à l’Euro, tournoi dans lequel la Hongrie se plaît à jouer les trouble-fêtes.
En France, il y a huit ans, Király et compagnie avaient terminé en tête de leur groupe avec cinq points, devant l’Islande et le Portugal.
«Le pays était devenu fou! A Budapest, il y avait un demi-million de personnes dans les rues», témoigne le journaliste László Borsos. Et si l’aventure avait pris fin abruptement en 8e de finale devant la Belgique (0-4), le parcours n’en restait pas moins exceptionnel." La suite sur arcinfo.ch (article payant)
"Les responsables israéliens misent sur la poussée des partis d'extrême droite aux élections européennes pour atténuer l'isolement croissant de leur pays au sein de l'UE.
Les coups durs diplomatiques pour Benyamin Netanyahou se sont multipliés depuis le début de la guerre dans la bande de Gaza le 7 octobre. Son pays s'est retrouvé totalement isolé, notamment en Europe. Mais la poussée de partis populistes lors des élections européennes a donné un peu de baume au coeur du Premier ministre israélien.
Depuis des années, Benyamin Netanyahou cultive en effet ses relations
avec les dirigeants « illibéraux » dans le monde tels que Viktor Orban,
le Premier ministre hongrois, Geert Wilders, le leader de l'extrême
droite néerlandaise. Ou encore, en dehors du Vieux Continent, Javier Milei, le président argentin et Narendra Modi, le Premier ministre indien." La suite sur lesechos.fr