à partir de 20 h
au café Le Zimmer
1, place du Châtelet 75001 Paris
Métro : Châtelet
2024 december 17.-én este 8-kor kezdődik
a Le Zimmer kávéházban
1, place du Châtelet 75001 Paris
Métro : Châtelet
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"La France a pris le meilleur sur la Hongrie ce mardi (30-27) et finit le tour principal de l'Euro 2024 de handball féminin à la première place. Les Bleues préparent idéalement leur demi-finale de vendredi.
19:45 - Le résumé du match
La
France domine la Hongrie et sécurise la première place (30-27). Les
Bleues font une bonne entame face à des Hongroises particulièrement
maladroites qui mettent neuf minutes à marquer leur premier but. Les
Bleues en avaient profité pour prendre jusqu'à quatre longueurs
d'avance. Le premier but hongrois va débloquer les bras magyars. Les
Hongroises vont parvenir à surprendre à plusieurs reprises Glauser et la
défense française mais les attaquantes françaises parviennent, elles
aussi, à maintenir la cadence. En fin de première période, la Hongrie
revient, notamment, grâce à sa gardienne auteure d'une première période
solide. Au retour des vestiaires, Sako prend la place de Glauser dans
les cages et elle va faire vivre un calvaire aux Hongroises avec des
arrêts déterminants. Dans le secteur offensif, les Français gèrent le
chrono et l'avantage qu'elles ont pu recréer. L'expérience des joueuses
de Sébastien Gardillou fait une vrai différence en fin de match car
elles vont parfaitement finir en gardant leurs adversaires à distance.
Elles joueront la demi-finale face au Danemark ou les Pays-Bas ce
vendredi. " La suite sur linternaute.com
"Avant d'affronter les Hongroises ce mardi dans la ferveur de Debrecen, la demi-centre des Bleues raconte les liens forts qui l'unissent à la terre magyare, où elle évolue depuis huit ans.
Les applaudissements nourris du public de la Fönix Arena et un gros bisou de David, son chéri hongrois, à la fin du match contre la Suède, dimanche (31-27) : Estelle Nze Minko a droit à un supplément de tendresse dans ce tour principal en Hongrie, où elle évolue depuis huit ans, à Siofok (2016-2019) puis à Györ. Avant de défier la sélection hôte ce mardi soir, l'arrière gauche et capitaine des Bleues (33 ans) raconte sa longue histoire avec ce qui est « un peu (son) deuxième pays », dont elle commence même à parler la langue si difficile. " La suite sur lequipe.fr (article payant)
"L'entraîneuse adjointe des Bleues, Amandine Leynaud, qui a terminé sa carrière à Györ, évalue les bienfaits d'évoluer en Hongrie. L'équipe de France affronte les Magyares ce mardi (18h), dans la chaleur de Debrecen, pour son dernier match du tour principal de l'Euro.
« Györ est un peu ma famille. » Ainsi parlait Amandine Leynaud en février 2023 quand elle est sortie de sa pourtant fraîche retraite,
afin d'effectuer une ultime pige avec le plus grand club hongrois
féminin où elle avait évolué de 2018 à 2022. Pourquoi replonger alors
qu'elle avait déjà tout gagné, avec les Bleues (Mondial 2017, Euro 2018,
JO 2021) et en club, dont la Ligue des champions, en 2019 avec Györ ? « Je n'ai pas eu à réfléchir longtemps car mon coeur m'a immédiatement dit de répondre oui », confiait encore l'ex-gardienne de but, adjointe de Sébastien Gardillou." La suite sur lequipe.fr
"Pierre Bellemare nous raconte l’histoire d’Olga Seymour, une femme médecin anglaise accusée et déclarée coupable, en 1949, d’être une espionne au service du renseignement britannique dans cet épisode intitulé « 50 000 km à pied sans sortir de son cachot ».
En 1949, Olga Seymour, une femme médecin de nationalité britannique, se rend à Budapest en Hongrie pour participer à un congrès médical. Mais à peine est-elle entrée dans sa chambre d’hôtel que des agents de la police hongroise surgissent et la kidnappent. Elle ne le sait pas encore mais son passé vient tout juste de la rattraper.
Sa descente aux enfers commence : elle est accusée d’être un agent secret au service du renseignement britannique. Après un rapide simulacre de procès, la sanction s’abat sur elle, terrible : elle est condamnée à 15 ans de prison dans les geôles hongroises, explique Pierre Bellemare dans cet épisode du podcast Pierre Bellemare, ses histoires extraordinaires, qu’il a imaginé pour France Bleu." La suite sur radiofrance.fr"Le constructeur automobile chinois BYD a annoncé son intention de commencer la production de véhicules en Hongrie à partir de l’année prochaine. Cette décision stratégique s’inscrit dans un contexte marqué par l’imposition récente de droits de douane élevés par l’Union européenne sur les voitures électriques importées de Chine. Ces tarifs, qui peuvent atteindre jusqu’à 45,3 %, visent à contrer ce que l’UE considère comme des subventions déloyales accordées par le gouvernement chinois à ses fabricants automobiles. En réponse, plusieurs entreprises chinoises, dont BYD, cherchent à contourner ces mesures en localisant leur production au sein même du marché européen.
Ces droits de
douane ont été introduits après une enquête approfondie menée par la
Commission européenne, qui a révélé que les fabricants chinois
bénéficiaient d’aides substantielles sous forme de financements
préférentiels, subventions pour les matières premières et batteries,
ainsi que des terrains offerts à des prix inférieurs au marché. Ces
pratiques ont été jugées préjudiciables à la compétitivité des
constructeurs européens. L’UE a donc décidé d’imposer des mesures
correctives pour protéger son industrie automobile." La suite sur surnaal.com
'Le Premier ministre hongrois Viktor Orban, qui a rendu visite à Donald Trump dans sa résidence en Floride, poursuit sa « mission pour la paix » en Ukraine, a affirmé mardi le chef de la diplomatie du pays d’Europe centrale.
Aux Etats-Unis aujourd’hui. L’avenir est en marche ! » a déclaré Viktor Orban, le Premier ministre hongrois, en visite en Floride pour rencontrer le président élu américain Donald Trump, le milliardaire Elon Musk et Mike Waltz, le futur conseiller sécurité de la Maison Blanche. L’objectif : poursuivre sa nouvelle « mission de paix » en Ukraine.
Ces discussions d’une durée de trois heures lundi ont montré « que les
forces poussant pour la paix en Ukraine avaient raison de se réjouir de
la victoire de Donald Trump », a déclaré à la presse le ministre
hongrois des Affaires étrangères Peter Szijjarto, de retour à Budapest
après ce voyage éclair aux Etats-Unis." La suite sur lesoir.be
Contrairement à ce que l’on pourrait penser, ce ne sont pas les autorités locales mais bien les habitants eux-mêmes qui illuminent le ciel de Budapest lors du passage à la nouvelle année. Dès la tombée de la nuit, les feux d’artifice jaillissent aux quatre coins de la ville, offrant un spectacle éblouissant. Pour profiter pleinement de ce moment féerique, rendez-vous sur les hauteurs de Buda, au Bastion des Pêcheurs ou à la Citadelle, ou bien sur le mythique Pont des Chaînes reliant Buda à Pest.
Embarquez pour une croisière festive sur le DanubeEt si vous admiriez les feux d’artifice depuis les eaux du majestueux Danube ? Les croisières du Nouvel An sont une expérience incontournable à Budapest. À bord, profitez d’un dîner gastronomique, d’animations musicales et de la vue imprenable sur les monuments illuminés de la ville. Au moment du décompte, levez votre verre de champagne et laissez-vous porter par l’euphorie ambiante !" La suite sur viralmag.fr
"Des enquêteurs de l’Office européen de la lutte antifraude (Olaf) ont été placés sur écoute et pris en filature entre 2015 et 2017 pendant qu’ils épluchaient les projets d’éclairage public du gendre de Viktor Orban. L’affaire montre combien le pouvoir souhaite étouffer les dossiers délicats, relatent les médias magyars.
De 2015 à 2017, les autorités hongroises ont espionné des agents de l’Office européen de lutte antifraude (Olaf) s’intéressant aux projets d’éclairage public d’Istvan Tiborcz, gendre du Premier ministre magyar, Viktor Orban, révèle le média d’investigation Direkt36.
L’opération dépendait du Bureau d’information (IH), organisme chargé de “recueillir des informations étrangères sensibles”, qui “écoutait les échanges téléphoniques des agents”, précise le site spécialisé." La suite sur courrierinternational.com
"Europe. Conseiller controversé sous Trump I, cet Américano-Hongrois revient à la Maison-Blanche sous Trump II. Particularité : il déteste Viktor Orban, pourtant grand ami du président américain élu.
Huit ans ont passé… Le 20 janvier 2017, Sebastian Gorka figure parmi les invités à l’investiture de Donald Trump, dans le froid hivernal de Washington. On le remarque facilement : enfant d’immigrés hongrois élevé à Londres, ce pilier du mouvement MAGA arrivé aux États-Unis en 2008 porte un gilet traditionnel magyar agrémenté d’une médaille. Pas n’importe laquelle ! Il s’agit de l’ordre de Vitéz, fondé par Miklos Horthy, le dirigeant nationaliste et antisémite hongrois de l’Entre-deux-guerres, qui collabora avec le IIIe Reich.
Quelques jours plus tard, Sebastian Gorka, protégé de Steve Bannon, devient l’un des conseillers adjoints du président Donald Trump, sous la houlette de Bannon et de Jared Kushner, le gendre du président. Mais au bout de sept mois, John Kelly, le chef de cabinet de Donald Trump, congédie le personnage, connu pour ses diatribes anti-islam et ses erreurs de jugements. Peu avant l’attaque à la voiture-bélier de Charlottesville (Virginie), perpétrée par un suprémaciste blanc, Gorka estime par exemple que l’extrême droite "ne représente pas une sérieuse menace" aux États-Unis.
Sept
ans après son éviction, revoici donc Sebastian Gorka ! Sorti par la
porte, il revient par la fenêtre. Nommé conseiller adjoint à la Sécurité..." La suite sur lexpress.fr (article payant)
"Les thermes hongroises sont un lieu idéal et ludique pour se détendre après avoir exploré les marchés de Noël ou pratiqué les activités hivernales traditionnelles à Budapest mais aussi en région. En effet, aucune autre capitale ne possède autant de sources d’eau chaude que Budapest : ses bains thermaux sont un refuge parfait contre le froid hivernal.
Les célèbres bains Széchenyi et Gellért s’illustrent pour leurs eaux thermales apaisantes et leur architecture époustouflante.
Et cette année, une nouvelle expérience luxueuse est proposée aux bains Rudas, avec des ouvertures en nocturne. L’occasion d’admirer au chaud sur le rooftop la capitale illuminée aux couleurs de Noël.
A Budapest, les trois bains incontournables
Bains thermaux Széchenyi – Le spa le plus emblématique de Budapest." La suite sur laquotidienne.fr
"Le Real Madrid semble prêt à intensifier ses efforts pour recruter un défenseur de talent lors de la prochaine saison.
Après
avoir ciblé Alphonso Davies pour le poste de latéral gauche, les
dirigeants madrilènes se tournent désormais vers Milos Kerkez, un
international hongrois évoluant à Bournemouth. À seulement 21 ans,
Kerkez a montré un potentiel impressionnant cette saison, inscrivant un
but et délivrant deux passes décisives en 14 matchs. Selon Caughtoffside,
le Real Madrid aurait activé cette nouvelle piste après l’apparente
prolongation de contrat d’Alphonso Davies au Bayern Munich." La suite sur sport.fr
"Largué à 2 800 kilomètres du concurrent le plus proche, le Hongrois Szabolcs Weöres souffre de la situation. Qui n’est pas sans danger…
Szabolcs Weöres rêvait d'exploit solitaire, mais n'en demandait pas tant. Sur la route du Vendée Globe, le Hongrois de 51 ans pointe à 1 500 milles (2 800 kilomètres) de son concurrent le plus proche, le Chinois Jingkun Xu, et à 5 200 milles (9 700 kilomètres) du leader, Charlie Dalin. Au rythme où il navigue (7 nœuds de moyenne), « Szabi » sait qu'il n'est pas près de croiser une autre quille que la sienne.
La cartographie de la course montre
son monocoque (New Europe) à la traîne, comme oublié des autres, même de
la flotte de retardataires qui se tiennent chaud en meute. Tous savent
qu'ils pourront agiter un fumigène vers un voisin en cas de pépin. Le
peloton et les leaders aussi. Pas lui. Le novice du tour du monde en
solitaire affrontera seul les tumultes, dont ceux, terrifiants, du Grand
Sud." La suite sur latribune.fr (article payant)
C'est vers 2018 que mon amie Kati et moi-même avons visité l'Académie Liszt pour écouter un concert de la Société philharmonique de Budapest sous la direction de Gergely Madaras. Un très jeune chef d'orchestre enthousiaste s'est présenté et nous a immédiatement accrochés : il a fait une courte introduction intéressante et pleine d'humour avant le programme, qu'il a ensuite dirigé avec le même enthousiasme. Nous avons aimé ce qu'il a fait et comment il l'a fait. Depuis, nous nous sommes dits qu'il fallait que nous l'entendions à nouveau un jour. Nous avons fini par suivre son travail via medici.tv, mais nous ne l'avons rencontré en personne que six ou sept ans plus tard, en juillet de cette année, alors qu'il préparait le concert Jonathan Tetelman, ténor américain, avec l'orchestre de l'Opéra National de Hongrie sur l'île Margit. Nous avons fait connaissance dans la salle de répétition, en profitant de la pause, et j’avais déjà été impressionnée par la gentillesse et la franchise avec lesquelles il m’a accueillie, moi, une parfaite étrangère.
Nous pouvons maintenant lui parler d'un autre
événement important : l'Orchestre Philharmonique Royal de Liège, dont
Madaras est le directeur musical depuis six ans, a donné son premier
concert en Hongrie - dans trois lieux : à Budapest à l'Académie Liszt, à
Veszprém au Hangvilla et à Pécs au Centre Kodály." La suite sur jfb.hu
"L'agence de notation Fitch a révisé vendredi sa perspective sur la Hongrie de "négative" à "stable", citant la réduction des déséquilibres macroéconomiques due à une meilleure cohérence entre les politiques fiscales et monétaires.
"La Banque nationale de Hongrie (MNB) a maintenu une politique monétaire stricte, tandis que le gouvernement a pris des mesures pour réduire le déficit primaire depuis 2023", a déclaré Fitch dans un communiqué.
Le ministre hongrois de l'économie a déclaré en octobre
que le pays avait surmonté sa crise inflationniste, la croissance des
prix ralentissant vers l'objectif de la banque centrale après avoir été
la plus élevée de l'UE l'année dernière." La suite sur zonebourse.com
"Après avoir travaillé dans des étoilés, dont celui de Gordon Ramsay à Londres, Agnès Torma veut ouvrir son restaurant à Strasbourg. Mais pour cela, elle a besoin de soutien.
Agnès Torma a 20 ans d’expérience dans le métier. Elle a fait ses gammes dans de grands restaurants londoniens, dont celui de Gordon Ramsay, le Savoy Grill, le Clos Maggiore ou encore à la Maison des têtes à Colmar.
Mais la cheffe a choisi Strasbourg pour ouvrir son restaurant de 32 couverts… encore faut-il qu’elle recueille assez de soutien grâce à sa campagne de financement participatif.
Le premier restaurant de cuisine hongroise de StrasbourgAgnès
Torma avait économisé durant de nombreuses années pour réaliser son
rêve. Celui d’ouvrir un restaurant mettant à l’honneur la cuisine
hongroise, « mais bistronomique, raffinée, adaptée au goût français », confie-t-elle." La suite sur actu.fr
"La Hongrie opposera son veto au prochain projet de budget de sept ans de l’Union européenne si elle ne reçoit pas tous les fonds bloqués du budget de l’Union, a déclaré vendredi le Premier ministre hongrois Viktor Orban.
“Ces 12,5 milliards
d’euros [détenus sur les comptes de la Hongrie à Bruxelles] répondent
aux besoins de l’économie hongroise jusqu’à fin 2026. Nous avons droit à
plus d’argent en plus de cela, ce sera un problème après 2026. À mon
avis, nous les obtiendrons certainement aussi. Parce que les
négociations ont commencé sur un budget de sept ans après 2027. Il faut
l’unanimité pour l’adopter." La suite sur bamada.net
"Les constructeurs automobiles allemands ont accepté de ne pas fermer leurs usines en Hongrie, a déclaré vendredi le Premier ministre de ce pays d'Europe centrale, Viktor Orban.
De nombreux constructeurs automobiles européens ont récemment annoncé des fermetures d'usines et des licenciements massifs, alors qu'ils sont confrontés à la faiblesse de la demande, à des coûts élevés, à la concurrence de la Chine et à une transition plus lente que prévu vers les véhicules électriques.
La Hongrie doit créer un environnement économique compétitif afin
qu'aucune usine ne soit fermée dans le pays, a déclaré M. Orban dans une
interview à la radio publique Kossuth." La suite sur zonebourse.com
L’agence d’espionnage hongroise, Információs Hivatal (IH), aurait également recueilli des informations auprès de citoyens hongrois travaillant dans les institutions européennes, soit en les incitant à coopérer, soit en les espionnant à leur insu, selon le rapport.
Si les inquiétudes concernant l’espionnage
ciblant les institutions de l’Union européenne (UE) n’ont rien de
nouveau, ces informations sont inédites, car elles concernent
l’espionnage présumé de la part d’un État membre de l’UE, et non
d’adversaires plus prévisibles tels que la Russie et la Chine." La suite sur euractiv.fr
"Les derniers sondages confirment la chute inexorable du Premier ministre hongrois, tandis que son principal opposant, Peter Magyar, creuse l’écart. Du jamais-vu.
Le ciel s'assombrit pour Viktor Orban. Selon le dernier sondage de l'institut Median, réalisé du 20 au 26 novembre auprès de 1 200 personnes, son parti, le Fidesz, ne recueille plus que 36 % des intentions de vote, soit une chute de trois points en à peine trois semaines. Face à lui, le parti Tisza de Peter Magyar consolide son avance avec 47 % des intentions de vote. Un écart de onze points inédit en faveur d'un opposant tant Viktor Orban domine la scène politique depuis quatorze ans.
Plus inquiétant encore pour Viktor Orban, la proportion de Hongrois
souhaitant un changement de gouvernement a bondi de dix points en cinq
mois. Dans la population totale, le Fidesz tombe à 27 %, perdant cinq
points en quelques semaines. La présidence hongroise de l'UE et le sommet de Budapest organisé au stade Puskas dont
il s'est enorgueilli n'ont pas retourné la tendance. Les Hongrois le
jaugent aujourd'hui à ce qu'ils ont dans leurs assiettes…
Car cette mauvaise passe politique est nourrie par une situation économique plus difficile. L'inflation record de 2023 (17 %) reste haute cette année (près de 4 %) alors que la moyenne de celle-ci dans l'UE est retombée à 2,3 % en novembre 2024. Selon la Commission européenne, la dette devrait atteindre 74,3 % du PIB en 2024, sous l'effet d'une croissance nominale du PIB plus faible et d'un déficit budgétaire élevé : 5,4 % du PIB (la France n'a pas trop de leçons à donner)." La suite sur lepoint.fr
"Budapest semble traîner des pieds pour soumettre une image réaliste des perspectives économiques de la Hongrie, selon une lettre de la Commission européenne vue par Euronews - la dernière querelle potentielle dans un schéma de détérioration des relations avec Bruxelles.
Le programme budgétaire de la Hongrie manque d'informations importantes et est basé sur des données peu fiables. C'est ce qu'a déclaré le commissaire européen Valdis Dombrovskis dans une lettre d'avertissement adressée au ministre des Finances Mihály Varga, datée de jeudi (5 décembre) et vue par Euronews.
Budapest semble traîner des pieds pour soumettre des prévisions économiques réalistes à Bruxelles, ce qui fait partie d'une confrontation croissante entre les deux parties.
"A
ce stade, d'importants éléments manquent encore, ou nécessitent des
ajustements et des précisions supplémentaires, pour que la Commission
puisse finaliser son évaluation du plan budgétaire à moyen terme de la
Hongrie", a écrit M. Dombrovskis, qui est le commissaire européen chargé de l'économie." La suite sur euronews.com
"La Première ministre italienne Giorgia Meloni a accueilli le Premier ministre hongrois Viktor Orbán mercredi 4 décembre au Palazzo Chigi pour la deuxième fois en six mois afin de discuter de plusieurs questions, avec un accent particulier mis sur l’immigration irrégulière et la coopération européenne.
Dans une déclaration commune, les deux dirigeants ont réaffirmé leur engagement à lutter contre l’immigration irrégulière grâce à une « collaboration renforcée avec les pays d’origine et de transit », et ont souligné l’importance de s’attaquer aux causes profondes. À savoir, démanteler les réseaux de trafic d’êtres humains et prévenir les pertes de vies humaines en mer.
Un cadre juridique actualisé est nécessaire pour « faciliter, accroître et accélérer les retours depuis l’Union européenne »,
selon les deux responsables politiques, qui ont également déclaré qu’il
fallait se concentrer sur l’extension de la reconnaissance des « pays d’origine sûrs »." La suite sur euractiv.fr
"Budapest, vibrant coeur culturel de la Hongrie, est une destination incontournable pour tout amateur de concerts
et d'événements musicaux. Reconnaissant la richesse de son panorama
artistique, la ville accueille une myriade de performances en direct,
dans des lieux aussi iconiques que le Papp László Budapest Sportaréna, connu pour être le théâtre des plus grandes tournées internationales, et le Budapest Park, à ciel ouvert, qui vibre au rythme des festivals et des grands noms de la musique. Toujours avant-gardiste, Budapest offre une scène foisonnante qui reflète la diversité et le dynamisme de son patrimoine culturel local." La suite sur arena-tour.fr
"La Hongrie a demandé aux États-Unis d'exempter la banque russe Gazprombank des sanctions relatives au paiement du gaz naturel, car ces sanctions pourraient avoir des répercussions négatives sur certains alliés des États-Unis, a déclaré mercredi le ministre hongrois des affaires étrangères.
Les États-Unis ont imposé de nouvelles sanctions à la banque russe Gazprombank le 21 novembre, alors que le président Joe Biden renforce les mesures visant à punir Moscou pour son invasion de l'Ukraine avant de quitter ses fonctions en janvier.
Les sanctions
empêchent le prêteur contrôlé par l'État de traiter toute nouvelle
transaction liée à l'énergie impliquant le système financier américain." La suite sur zonebourse.com
"La csárdás est une danse exécutée par des couples composés d’un homme et d’une femme ou, dans certaines régions, de deux femmes. Plusieurs couples participent à la danse en même temps, formant un grand cercle ou plusieurs petits cercles. Chaque région a ses propres thèmes, gestes et figures, qui sont improvisés selon des règles et des schémas connus et établis. La csárdás est l’une des danses préférées des villageois comme des citadins. Elle est pratiquée lors des mariages et d’événements au sein des communautés."
Source : unesco.orgLe Premier ministre hongrois Viktor Orban a rencontré mercredi le pape François et de hauts responsables au Vatican, avec lesquels il a discuté des perspectives de paix en Ukraine.
"PORTRAIT - Évincé de la première Administration trumpiste, il a été rappelé comme conseiller à la sécurité nationale par le président élu auquel il est demeuré contre vents et marées fidèle.
Nombreux sont ceux, y compris au sein de la Maison-Blanche, qui ont probablement été soulagés lorsque, le 1er septembre 2017, Sebastian Gorka a débarrassé son bureau et chargé ses dossiers dans sa Mustang décapotable noire. Huit mois seulement après avoir fait son entrée dans l’Administration Trump, l’assistant adjoint du président était évincé par le chef de cabinet de la Maison-Blanche, John Kelly. Victime, selon lui, des « forces œuvrant contre le programme Maga de Trump ».
Le retour d’un Donald Trump plus véhément que jamais a un goût de revanche pour Sebastian Gorka, qui est connu du grand public pour ses diatribes islamophobes dans les médias. Dans un communiqué, le président élu a annoncé qu’en sa qualité de « défenseur infatigable de l’agenda America First et du mouvement Maga », il reviendrait à la Maison-Blanche en tant que conseiller du président pour les affaires de sécurité nationale, en charge de la lutte contre le terrorisme.
Hongrois réfugiés de 1956Il faut…" La suite sur lefigaro.fr
Café Le Zimmer 1, place du Châtelet 75001 Paris
Un
Mardi hongrois de Paris exceptionnel est organisé le 10 décembre 2024 pour la
remise des si précieux beiglis déjà commandés avant le 30 novembre 2024.
Évènement Facebook pour signaler votre intention de participer à la soirée.
"Dans un nouveau rapport le Comité européen pour la prévention de la torture et des peines ou traitements inhumains ou dégradants (CPT) a établi que les mauvais traitements physiques infligés par le personnel, y compris les coups de poing et de matraque à la tête et sur le corps, et la violence entre personnes détenues apparaissent comme « particulièrement problématiques » à la prison de Tiszalök. Non seulement les conclusions de la visite suggèrent que le personnel n’intervenait pas toujours rapidement, mais la délégation a également entendu des allégations crédibles selon lesquelles certaines personnes détenues étaient autorisées à maltraiter leurs codétenus, voire recevaient des instructions en ce sens de la part du personnel (voir le résumé du rapport).
La surpopulation et les ressources
limitées continuaient d'affecter négativement le régime pénitentiaire,
la plupart des personnes incarcérées, en particulier les prévenus et les
détenus de haute sécurité, n'ayant pas ou peu accès au travail, à
l'éducation ou à d'autres activités en dehors de la cellule." La suite sur coe.int
"La réunion des ministres de la Santé de ce mardi 3 décembre devrait confirmer les conclusions du Conseil européen sur les principales priorités de la présidence hongroise — les maladies cardiovasculaires et le don d’organes —, mais les difficultés pourraient se trouver ailleurs.
L’adoption d’une recommandation sur les environnements sans fumée et sans aérosols, axée sur certains espaces extérieurs, tels que les aires de jeux et les terrasses de restaurants, ainsi que sur les nouveaux produits émergents à base de tabac, comme les cigarettes électroniques et les produits du tabac chauffés, était considérée à l’origine comme relativement peu controversée par les diplomates de haut rang.
Cependant, bien qu’elle ait fait l’objet d’un accord au niveau diplomatique, la proposition non contraignante s’est heurtée à des difficultés au Parlement européen la semaine dernière." La suite sur euractiv.fr
"Ce 3 décembre, Auchan Retail a annoncé que le nouvel actionnaire de sa filiale hongroise est la société hongroise Indotek Group à qui le Français a cédé 47% du capital. Les deux groupes ont signé un partenariat qui donne à Indotek le contrôle d’Auchan Hongrie.
Indotek couvre un large éventail d'activités : centres commerciaux, entrepôts, immeubles de bureaux, hôtels, zones industrielles et propriétés résidentielles en Hongrie et dans 11 autres pays d'Europe. Auchan et Indotek ont des relations étroites depuis des années, certains Auchan étant situés dans des centres commerciaux appartenant à Indotek.
Auchan compte 30 magasins en Hongrie : 19 hypers, 5 supermarchés, 1 magasin de proximité et 5 drives. "Les
25 années de connaissance et d'expérience du groupe Indotek, acquises
sur les marchés nationaux et internationaux de la vente au détail, nous
aideront à faire d'Auchan Hongrie une entreprise encore meilleure, argumente le distributeur français.
Ce partenariat unique garantira notre succès et notre développement à
long terme, en pérennisant l’emploi des 6.000 collaborateurs d’Auchan en
Hongrie. (…) Nous allons encore renforcer la position de
l’enseigne sur le marché hongrois : en ouvrant de nouveaux magasins dans
tout le pays, en adoptant de nouveaux formats et en rendant nos
produits toujours plus accessibles au plus grand nombre." La suite sur lineaires.com (article payant)
En Tanzanie, l’Association des agriculteurs du Tanganyika (TFA) a conclu le lundi 2 décembre à Arusha, un accord de 130 millions $ avec l’entreprise Mkulima Coops Limited, filiale locale de la firme agro-industrielle Peter & Burg Ltd basée en Hongrie. C’est ce qu’a révélé Justin Shirima, directeur de la TFA dans des propos relayés par le quotidien local The Citizen.
Ledit accord
porte sur la réalisation d’un projet de construction d’une usine de
transformation de tournesol pour la production d’huile comestible.
D’après Bakari Duchi, directeur de Mkulima Coops Ltd, les travaux
devraient débuter à partir du mois de janvier 2025. Pour l’heure, la
capacité de transformation et le site d’implantation de l’usine ne sont
pas encore connus." La suite sur agenceecofin.com
"Les routes de plusieurs villes du Burgenland ont été fermées afin d'empêcher les travailleurs hongrois de se rendre en voiture en Autriche.
Dès l'aube, une longue file de voitures se dirige déjà vers le poste-frontière entre la Hongrie et l'Autriche, à Sopron.
Plus de 120 000 Hongrois travaillent en Autriche - principalement dans les secteurs des services et du commerce -, où ils sont payés jusqu'à deux fois plus qu'en Hongrie.
Ces dernières semaines, le trafic a considérablement augmenté sur l'axe de Sopron, car plusieurs routes du Burgenland, dans l'est de l'Autriche, ont été fermées ces dernières semaines face à l'afflux de travailleurs frontaliers." La suite sur euronews.com
"(Londres) Le Canada affrontera la Hongrie au premier tour des qualifications de la Coupe Davis en 2025, a annoncé la Fédération internationale de tennis lundi.
Les représentants de l’unifolié, qui se sont qualifiés pour les finales de la Coupe Davis le mois dernier, accueilleront les Hongrois à un endroit qui reste à déterminer.
Les formations de départ, ainsi que la surface de jeu choisie, seront annoncées à une date ultérieure, a mentionné Tennis Canada. Ce duel se déroulera du 31 janvier au 1er février, ou les 1er et 2 février.
Deux matchs de simple seront présentés en lever de rideau de la compétition, et ceux-ci seront suivis d’un match de double et de deux matchs de simple supplémentaires lors de la deuxième journée de l’évènement.
Ce sera le premier duel de l’histoire entre le Canada et la Hongrie dans cette compétition de tennis masculin par équipes." La suite sur lapresse.ca
"Viktor Orban, Premier ministre de la Hongrie depuis 2010, est l'un des rares supporters de Vladimir Poutine au sein de l’Union européenne. En 15 ans, les affaires de ses proches ont largement prospéré. Son père et son gendre ont notamment investi dans des golfs, des villas et un palais.
C’est un immense
palais, tenu secret, qui ne se dévoile que par les airs : 6 000 m²
habitables, dont profite déjà Viktor Orban, le Premier ministre
hongrois. "On peut voir plusieurs piscines. Il y a une palmeraie. C’est un mini-Versailles",
commente Ákos Hadházy, un député d’opposition. Grâce à son brevet de
pilote, il documente sans relâche l’avancement des travaux. Il y a
repéré un tunnel et un garage souterrain, une gigantesque bibliothèque
et une immense salle des fêtes." La suite sur francetvinfo.fr
"Lors d’une cérémonie solennelle organisée par le ministère hongrois des Affaires étrangères et du Commerce, l’ambassadrice du Vietnam en Hongrie, Nguyên Thi Bich Thao, a été honorée de l’Ordre du Mérite hongrois, croix d’officier à titre civil. Cette distinction prestigieuse récompense ses contributions remarquables au développement des relations globales entre le Vietnam et la Hongrie.
Au nom du président hongrois, la secrétaire d'État aux relations bilatérales, Illés Boglárka, a remis cette distinction à l’ambassadrice, soulignant son rôle de diplomate chevronnée, passionnée et hautement respectée. Selon Illés Boglárka, au cours de ses trois années de mandat, Nguyên Thi Bich Thao a été un acteur clé dans l’approfondissement du partenariat entre les deux nations, ouvrant de nouvelles perspectives de coopération.
La
responsable hongroise a rappelé plusieurs étapes marquantes des
relations diplomatiques et économiques bilatérales, auxquelles
l’ambassadrice a largement contribué." La suite sur lecourrier.vn
"En novembre 2020, l’eurodéputé hongrois József Szájer avait été surpris en train de participer à Bruxelles à une “orgie homosexuelle” et illégale du fait de la pandémie de Covid-19. Quatre ans plus tard, il effectue son retour à la vie publique en Hongrie, rapporte La Dernière Heure.
“Il était temps”. Comme le montre cette phrase prononcée par le chef de
presse de Viktor Orban, le retour de József Szájer était attendu en
Hongrie. “Le purgatoire de Szájer est terminé. Il peut à nouveau marcher
la tête haute dans le monde du Fidesz”, a commenté l’analyste politique
de droite Gábor G. Fodor. Il y a quatre ans, le scandale l’avait
contraint à démissionner de son mandat d’eurodéputé et de quitter
l’Alliance des jeunes démocrates (Fidesz) qu’il avait co-fondé en 1988." La suite sur 7sur7.be
"Malgré une politique visant à relancer la natalité, la population continue à diminuer en Hongrie. Plusieurs raisons sont avancées: les aides du Premier ministre Viktor Orban ne sont destinées qu'à une certaine catégorie de la population et le manque de moyens dans les écoles pousse souvent les jeunes parents à émigrer.
Depuis une décennie, le Premier ministre hongrois Viktor Orban cherche à relancer la natalité dans son pays en distribuant des primes aux parents, en leur allouant des réductions d’impôts et des conditions de crédit intéressantes.
Ces mesures sont très populaires, y compris chez le
futur vice-président américain JD Vance, qui aimerait que les
Etats-Unis s'en inspirent. Mais cette politique n’a pas eu le succès
attendu: le taux de fertilité a baissé à 1,39 (moins que la moyenne
européenne) et la population hongroise continue à diminuer." La suite sur rts.ch
"La bataille des KOM fait rage sur Strava. Ce dimanche 1er décembre, un jeune hongrois de 18 ans, Hancz Tamas, a effacé des tablettes un certain Tadej Pogacar.
Sur la montée du Port de la Vall d'Ebo (Espagne), le coureur évoluant
avec la formation Cannibal-Victorious U19 Development a grimpé 4
secondes plus vite que le champion du monde slovène." La suite sur ledauphine.com
"C'est la douzième fois depuis le début de l'invasion russe de l'Ukraine que le ministre des Affaires étrangères hongrois se rend à Moscou.
Péter Szijjártó était donc de retour à Moscou pour des entretiens ou, comme il l'a indiqué sur sa page Facebook, pour poursuivre une activité de "missionnaire".
Face aux critiques qui l'accusent de faire le jeu
de la Russie, le ministre des Affaires étrangères a écrit que "la
Hongrie [était] du côté de la paix. Au cours des mille derniers jours,
il a été prouvé une fois pour toutes qu'il n'y a pas de solution à la guerre en Ukraine
sur le champ de bataille, et que la solution doit donc être recherchée à
la table des négociations. Cependant, la rupture des relations
diplomatiques rend impossible une solution négociée, et donc la fin de
la guerre. Nous maintiendrons le dialogue, seul moyen de garantir le succès de la mission de paix." La suite sur euronews.com
Une
réhabilitation en bonne et due forme. Ces jours-ci, le visage de József
Szájer est affiché partout sur les colonnes Morris le long du grand
boulevard qui ceinture le centre-ville de Budapest, en couverture de
l'hebdomadaire conservateur Mandiner. La barbe de l'homme de 63
ans est toujours là, mais plus courte que la barbe de bûcheron qu'il
arborait dans les travées du parlement européen et au moment de son
arrestation à Bruxelles un soir de novembre 2020." La suite sur lalibre.be (article payant)
"Une délégation conduite par Lakhdar Madjene, président
de la Chambre de Commerce et d’Industrie (CCI) de la wilaya de Tizi
Ouzou, a effectué une visite de travail en Hongrie et en Tchéquie,
a-t-on appris de sources concordantes. Cette visite, qui s’est déroulée
du 17 au 22 novembre, avait pour objectif de prospecter des opportunités
de partenariat et de promouvoir les échanges commerciaux. La délégation
a eu l’opportunité de présenter des exposés sur le climat des affaires
et les opportunités d’investissement en Algérie. Des présentations qui
ont eu lieu en présence d’Abdelhafid Allhoum et Belkacem Zeghmati,
respectivement ambassadeurs d’Algérie en Hongrie et en Tchéquie, ainsi
que d’hommes d’affaires des deux pays." La suite sur lestrepublicain.com
"De la Hongrie à la Roumanie, en passant par la Slovaquie, des politiciens estampillés « prorusses » par leurs adversaires remportent de grands succès électoraux avec une rhétorique pacifiste à propos de l’Ukraine. Dans les discours, un clivage géopolitique Est-Ouest supplante les questions sociales.
« Ce soir, le peuple roumain a crié pour la paix » en Ukraine, s’est félicité Călin Georgescu, sorti en tête du premier tour de l’élection présidentielle en Roumanie le 24 novembre, avec 23 % des voix. « L’invasion de la Roumanie par la Russie a commencé », a réagi le journaliste et essayiste Cristian Tudor Popescu." La suite sur mediapart.fr (article payant)