mercredi 9 novembre 2011

Essai - La musique (hongroise) adoucit-elle les moeurs? (3e partie)

"La dernière partie des réflexions de l'auteur [Pierre Waline] sur la musique et le nationalisme (voir les articles du 7 et 8 novembre)

A la décharge de mes amis Hongrois, ils me faut leur reconnaître la particularité de se sentir unis autour d’une même origine (du moins sur le principe) cimentée par une langue originale et unique, hermétique au reste du monde. De là un attachement très fort à leur spécificité, à leur "magyarité”, au-delà même de leurs frontières. Alors qu’il en va tout autrement pour nous autres Français, rassemblement de peuples tout aussi différents que latins, celtes, normands, germains, italiens, voire issus d’Afrique et d’Asie.

Un exemple: les rencontres inter-celtiques organisées chaque année en Bretagne (Lorient). Où participent des musiciens venus aussi bien de tous les coins de la Bretagne que d’Irlande, d’Écosse et du Pays de Galles, ou encore des Asturies et de la Galice, voire d’Acadie. Une exemple pour moi édifiant, modèle de la symbiose entre peuples partageant une même culture, certes, mais venus d’horizons très divers et n’en remettant pas pour autant en cause leur appartenance à des Etat différents." La suite sur lepetitjournal.com

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