Puisque les traités ne disposent pas d'instrument
permettant de forcer un Etat à rentrer dans le droit chemin en matière
d'Etat de droit, les Européens s'apprêtent à utiliser une arme plus
informelle, et potentiellement plus efficace, dans leur bataille avec la
Pologne et la Hongrie : le chantage au porte-monnaie.
Alors que Varsovie avait passé des mois à moquer les mises en garde de Bruxelles
au sujet de ses réformes judiciaires, le ton a subitement changé au
cours des dernières semaines. Frans Timmermans, le premier
vice-président de la Commission européenne qui s'est rendu à Varsovie
début avril, a même fait état d'un esprit constructif sans précédent." La suite sur lesechos.fr
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.