mercredi 17 juin 2015

Réaction de S.E.M. Georges Károlyi, Ambassadeur de Hongrie en France, à la lecture d’un article paru dans « Le Point » le 11 juin 2015

"J’ai lu avec intérêt l’Humeur d’Olivier Guez intitulée « Café New York » parue en dernière page du « Point » daté du 11 juin 2015, où l’auteur cite les propos que lui a tenus l’écrivain Péter Esterházy.
J’ai la plus grande admiration pour l’œuvre littéraire de Péter Esterházy, mon cousin au quatrième degré (sa grand-mère est née Károlyi), et l’exceptionnelle qualité des traductions françaises de ses ouvrages le rend particulièrement accessible au public français, ce dont je me réjouis.
En revanche, Péter s’avère être un piètre observateur de la vie politique hongroise. Je le cite : « La presse n’est pas libre, les médias publics sont les porte-voix du gouvernement, les pouvoirs publics insuffisamment séparés : le gouvernement occupe l’Etat hongrois. Il ne censure pas les artistes mais exerce indirectement sur eux des pressions en contrôlant les circuits financiers, les subventions aux théâtres, aux maisons d’édition et aux producteurs de films… »" La suite sur facebook.com

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