"En Hongrie, les réfugiés ont la vie dure: depuis le début crise, le
gouvernement multiplie les mesures en leur défaveur. Cependant, face à
la dégradation de la condition des réfugiés, la société civile hongroise
se réveille. De nouvelles initiatives émergent pour proposer une voie
vers l'intégration. Explications à travers l'exemple de l'association
MigSzol.
Les fils de barbelés s’entortillent les uns dans les autres, formant une
structure opaque et difficilement franchissable. Ils s’étendent sur les
175 kilomètres séparant la Hongrie de la Serbie.
Depuis le 29 août 2015, la Hongrie a achevé la construction d’un mur
pour endiguer l’afflux de migrants à ses frontières. Tout comme dans le
reste du continent, le pays fait face à la crise migratoire, des vagues
de nouveaux arrivants, pour la plupart réfugiés fuyant les conflits. Si
l'Italie ou la Grèce font figurent de
principales portes d'entrée dans l'espace Schengen, le renforcement
progressif des contrôles aux frontières de ces deux pays a favorisé le
développement de nouveaux points de passage. Au nombre de ceux-ci, la
route des Balkans est devenue une voie d'accès
privilégiée vers l’UE. La Hongrie, elle, se retrouve au milieu et
constitue ce qu’on appelle un « pays de transit » pour les migrants qui
ne font qu'y passer, dans l'objectif d'atteindre finalement l’Allemagne ou le Royaume-Uni." La suite sur cafebabel.fr
mardi 11 avril 2017
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