"Le parlement a voté mardi une loi qui prévoit de priver de licence les
instituts d’enseignement étrangers qui ne disposent pas de campus dans
leur pays d’origine. La cible ne fait aucun doute.
Le blitzkrieg engagé par le premier ministre hongrois Viktor
Orbán contre sa bête noire, le milliardaire américain d’origine
hongroise George Soros, a fait 1500 victimes collatérales mardi 4 avril:
les étudiants inscrits à l’Université d’Europe centrale (CEU) de
Budapest, qui prennent conscience du caractère désormais très incertain
de la poursuite de leurs études.
Malgré la pluie de
critiques internationales, la mobilisation de 900 chercheurs, de 17 Prix
Nobel, et en dépit, surtout, de la marche de 10 000 personnes dans la
capitale hongroise dimanche, le parlement a adopté selon un dispositif
accéléré, par 123 voix contre 38, une loi visant à mettre un terme aux
activités de cette université anglophone prestigieuse." La suite sur letemps.ch
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