Chaque matin, l’actualité vue au travers de la presse étrangère. Aujourd’hui : Malgré les protestations, la Hongrie a promulgué une loi controversée contre les universités étrangères, considérée comme dirigée contre l'Université d'Europe centrale (CEU).
Si, aujourd'hui, la politique du mensonge et de l'intimidation est
généralement associée au nouveau président américain, on oublie parfois
un peu trop vite qu'en Europe, aussi, l'unilatéralisme (sinon
l'obscurantisme) de certains dirigeants a quelque chose de sidérant. Ou
quand les bouffonneries devraient cesser de nous faire sourire, dès-lors
qu'elles témoignent d'une dérive autoritaire du pouvoir. C'est le cas
en particulier en Hongrie où, depuis 2010, celui qui aura été le premier
populiste à prendre la tête d’un gouvernement européen, Viktor Orbán, a
affaibli tous les contre-pouvoirs, réduit le pluralisme des médias et
créé un système de capitalisme de copains. De sorte qu'avec le nouveau
locataire de la Maison Blanche, ce fan de la première heure de Donald
Trump en Europe se plaît, désormais, à imaginer qu’il pourrait se
présenter en tant que dirigeant d’une nouvelle internationale
anti-libérale, au sens d' « illibéral », précise l'éditorialiste du
journal suisse LE TEMPS." La suite sur franceculture.fr
mercredi 12 avril 2017
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