vendredi 19 juin 2009

Vélib, Villo, développement durable mais... pas très éthique

Comme le "Vélib" parisien, le "Villo" bruxellois est produit en Hongrie. Il sort d'une usine où les ouvriers sont payés deux euros de l'heure et gagnent à peine 350 euros par mois, bien en-dessous du salaire moyen hongrois.
...Pour un salaire horaire de 2 euros, les 400 ouvriers de Toszeg produisent plus de 200 000 vélos par an. Ils gagnent moins que le salaire moyen hongrois dans un pays où il n'existe pas de salaire minimum garanti.
En d'autres termes, s'il permet de promouvoir la mobilité douce et participe au développement durable, le "Villo" de la firme JCDecaux n'a, en revanche, pas grand chose d'éthique."
Extrait d'un article paru sur rtbf.be

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