"La Commission européenne a ouvert une procédure d’infraction visant Budapest.
Romona Lakatos est âgée de 8 ans. Jusqu’à l’année dernière, elle
allait dans l’école de son quartier rom de Nyiregyhaza, une grande ville
du nord-est de la Hongrie. « Je m’ennuyais, dit-elle en coiffant une poupée Barbie. Une fois, mon maître m’a tapée sur la tête. »
Depuis la rentrée, elle est scolarisée dans un autre établissement, où
tous les élèves ne sont pas de la même origine ethnique qu’elle.
Avec son frère et sa sœur, elle fait partie des rares enfants qu’une
association d’aide à la minorité rom a réussi à retirer du groupe
scolaire Huszar-telepi, géré par l’Eglise grecque-catholique hongroise.
Installé dans des locaux d’aspect peu engageants, il ne dispose pas des
mêmes installations qu’un autre établissement de la même obédience dans
le centre-ville et que la belle et grande école publique. Son
enseignement y semble aussi plus pauvre. Il accueille 95 % de Roms et a
refusé de recevoir Le Monde." La suite sur lemonde.fr (version payante)
lundi 26 septembre 2016
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